RETOUR IIIe REPUBLIQUE
Elève brillant, professeur puis maître-conférencier, formé intellectuellement durant la difficile naissance de la IIIème République, il entra en politique comme candidat républicain aux élections législatives de 1885. Elu, il fut un des soutiens de Jules Ferry.
 
Privé de son mandat de député en 1889, un peu à l’écart de la politique nationale, cet intellectuel bourgeois et républicain social, s’orienta vers le socialisme auquel il adhéra définitivement à l’occasion de la grande grève des mineurs de Carmaux de 1892
La taverne du Croissant (à gauche). © MCP
Ironique hasard de l’histoire pour ce pacifiste, ses obsèques officielles furent organisées le 4 août 1914, premier jour de la guerre pour la France…
Jean Jaurès fut d’abord inhumé au cimetière des Planques d’Albi où sa tombe, plus exactement son cénotaphe, est toujours entretenu.
Si cette mise en terre, plutôt sobre, au milieu d'une forêt de drapeaux rouges, avait surtout été celle du leader socialiste, il en fut autrement de sa panthéonisation.
© Remi Jouan
La Dépêche du Midi (26/10/2009) Mme parmentier et M. Esquivin (conseiller municipal) devant le cénotaphe de Jean Jaurès
La panthéonisation de Jean Jaurès
 
La victoire du Cartel des gauches lors des élections législatives du 11 mai 1924 ouvrait la voie de la panthéonisation tant désirée et, dès le 9 juillet, le gouvernement présenta un projet de loi en ce sens. Malgré des débats houleux où les communistes accusaient le Cartel de confisquer le corps de Jaurès à son profit au détriment des travailleurs, le loi de panthéonisation fut votée. Après plusieurs propositions, la date du dimanche 23 novembre fut retenue.
 
Quant au style pas d’hésitation ! Les socialistes, membres d'un parti très attaché à la tradition républicaine des grandes fêtes civiques, voulaient une cérémonie la plus majestueuse possible. Leur enthousiasme se manifesta aussi par l'emphase mise sur l'aspect théâtral de l'événement. Le plan initial fut ébauché par le directeur du théâtre Firmin Gémier, qui en confia l'exécution à Gustave Charpentier. Mais le transfert était un événement funéraire particulier puisqu'il symbolisait une victoire remportée sur l'oubli et devait par conséquent s'ouvrir sur un ton de lamentation et conclure sur une note de triomphe. On proposa même des danseuses et des pleureuses !
 

23 novembre 1924
 
La veille de la cérémonie, le corps de Jaurès fut cérémonieusement exhumé et transporté jusqu'à la gare dans un corbillard rouge et or entre deux rangs de mineurs de Carmaux, vêtus de leur tenue de travail et brandissant des torches et entourés d’une assistance importante.
 
Le cercueil fut  acheminé d’Albi en train jusqu’à la gare d’Orsay, puis porté immédiatement par les mineurs de Carmaux à la veillée mortuaire au Palais-Bourbon, dans la salle Casimir-Perier, rebaptisée salle Mirabeau pour l'événement.
En plus de la famille et des proches, la veillée mortuaire réunit les officiels : le président du Conseil Edouard Herriot et ses ministres, les députés et sénateurs du Cartel, les délégations de la CGT et de la Ligue des droits de l’homme.
 
Le dimanche matin le cercueil de Jaurès fut déposé au faîte d'un immense catafalque d'argent de forme pyramidale placé au sommet des escaliers, devant le Palais-Bourbon et flanqué de deux « pots à feu » repeints. Malgré le temps froid et le ciel gris, une foule importante défila devant le catafalque au son notamment d'œuvres de César Franck,Verdi, Saint-Saëns, Beethoven et Wagner, diffusées par haut-parleurs.
A une heure, dans le fracas des trompettes d'Aïda, le cercueil fut transporté jusqu'au corbillard, long de vingt-cinq mètres, une gigantesque structure gris argent, quelque chose entre la baleine et le tank. Un cénotaphe noir fut placé sur le toit, à la place du cercueil, caché, et un long ruban tricolore lui était attaché et descendait jusqu'à terre. Son extrémité était retenue comme une traîne de robe de mariée, par des écoliers qui marchaient derrière le corbillard. A chaque angle, une petite torche diffusait une « fumée symbolique » qui se voulait l'équivalent républicain de l'encens liturgique. L'engin avançait, porté par des roues masquées, poussé des deux côtés par soixante-douze mineurs de Carmaux, en bleu de travail, avec leurs outils, la pioche et la lampe, comme s'ils revenaient de la mine. Il montait lentement, majestueusement, comme par glissement, produisant un effet imposant, comme en témoigne la réaction des spectateurs figés dans une expression solennelle, les hommes, chapeau à la main, les femmes pleurant et jetant des bouquets de violettes au passage du convoi.
On pourrait encore en faire des pages…
Les mineurs de Carmaux.
A l'arrivée du corbillard au Panthéon, le cercueil fut transféré dans le monument et posé au pied d'un catafalque doré, situé à l'ancien emplacement de l'autel, qui portait le nom de Jaurès, contre une grande bannière tricolore. Une foule compacte suivait du regard les diverses délégations qui se succédaient devant le monument.
 
La procession du Cartel s'achevait à peine lorsqu’en plein élan révolutionnaire, le défilé communiste déboucha sur le square du panthéon. Il avait suivi la même route, tout en se tenant à distance de la fin du premier cortège, pour « éviter la promiscuité des politiciens » qui étaient les adversaires de Jaurès.
La seconde contre-manifestation de l'Action française n'eut pas autant de succès que celle des communistes.
 
La panthéonisation de Jaurès, en tant « qu'événement monstre », ne se réduisit pas à un lieu, et ne s'arrêta pas avec l'inhumation dans la crypte. Conçue comme un des premiers événements modernes à grand spectacle relayé par la presse parisienne et régionale, la radio d'État et les actualités filmées projetées dans les cinémas, la cérémonie eut une dimension véritablement nationale.
© MCP
14 mars 2012
VILLAIN  Raoul (1885 - 17 septembre 1936)
Cimetière de Sant Vicent de sa Cala d’Ibiza
Adhérent de la « Ligue des jeunes amis de l'Alsace-Lorraine », groupement d'étudiants ultra-nationalistes d'extrême droite où il jouait un rôle effacé, il reprochait à Jaurès de s'être opposé à la loi sur le service militaire de trois ans. Peu à peu, il se mit en tête de tuer le tribun qui s'opposait à la guerre et à laver l'affront de 1870.
 
Son assassinat commis, il fut arrêté et, en attente de son procès, fut incarcéré durant toute la Première Guerre mondiale. Ouvert le 24 mars 1919, son procès se termina le 29 par un acquittement alors que, quelques jours plus tôt, l’anarchiste Louis Cottin, qui avait attenté à la vie de Clemenceau, était condamné à mort !
http://lavieremoise.free.fr/
Sépulture des Villain au cimetière du Nord de Reims © MCP
Sources :
- Panthéonisation de Jean-Jaurès: Extrait d'un article d'Avner Ben-Amos, La « panthéonisation » de Jean Jaurès, publié dans la revue Terrain, (octobre 1990)
- Le procès de l’assassin de Jaurès, Éditions Pagala
(*) commentaire(s)
On a pu attribuer ce  verdict scandaleux  au jury composé exclusivement de « bourgeois » mais le mal était plus profond, plus politique, plus moral. On peut le résumer en quelques mots : puisque tous les débats tournèrent autour du patriotisme, celui de la victime et celui de l’assassin, Villain pouvait être présenté par ses défenseurs comme un patriote sujet
à un « moment d’égarement ». L’institution judiciaire elle-même permit cette manipulation en commençant par accepter le report du procès prévu en 1915, à la demande de l’accusé lui-même.
 
Libéré, arrêté dès 1920 dans une affaire d’écoulement de fausse monnaie, en 1932 il finit par arriver en Espagne dans l’île d’Ibiza, où il s’installa définitivement grâce à un héritage. Il y fit  construire une petite maison où il vivait en solitaire dans une crasse et une saleté repoussante, errant dans le coin en chantant Frères Jacques ou encore ayant fait ériger derrière sa bicoque une grande croix. Il est clair qu'il souffrait de déséquilibre mental.
 
Les années s’écoulèrent jusqu’à la guerre d’Espagne en 1936. Le 20 juillet, la garnison militaire et les gardes civils de l'île se rallièrent aux franquistes. Les républicains de Barcelone envoyèrent  un détachement qui  débarqua à Ibiza le 8 août. Les 9 et 10 septembre, une colonne de près de 500 anarchistes arriva à Ibiza et fit 114 morts. Les 12 et 13 septembre 1936, l'île était bombardée par l'aviation italienne.
Dans la confusion, Villain fut fusillé comme espion comme sans que l'on sache si son identité était connue de ses exécutants. Une autre hypothèse indique qu’il aurait été exécuté par Jean Coryn (1908-1984), engagé dans les brigades internationales et qui aurait ainsi fait justice.
 
Raoul Villain fut  inhumé au cimetière de Sant Vicent de sa Cala d'Ibiza. Une messe funèbre  fut  célébrée à sa mémoire en la basilique Saint-Remi de Reims dont il était natif.
Malgré plusieurs demandes familiales, il ne put jamais rejoindre la tombe de ses parents au cimetière du Nord de Reims sur laquelle son nom est néanmoins gravé.
31 juillet 1914. 21h 30. Jean Jaurès terminait son repas au café du Croissant (angle rue du Croissant et rue Montmartre) entouré d'amis et de collaborateurs. Deux coups de feu claquèrent. Jaurès s’écroula. Pendant qu’un policier courait après le meurtrier, Raoul Villain, on alla chercher un médecin qui constata le décès. Le défenseur de Dreyfus, des mineurs de Carmaux et de la paix était mort.
JAURÈS Jean (1859 – 31 juillet 1914)
Le Panthéon , caveau XXVI (Paris)
Soutenant de tout son poids le mouvement dans ses articles de la Dépêche de Toulouse, en 1893, il fut désigné par les ouvriers du bassin pour les représenter à la Chambre où il milita avec ardeur contre les lois scélérates. Ce fut pour lui, le départ d’une ferme et incessante défense des ouvriers en lutte.
 
En 1898, après avoir été convaincu de la culpabilité du capitaine Alfred Dreyfus, il révisa son opinion et en devint l'un de ses fervents défenseurs tout en s'imposant comme un homme politique à l'influence nationale.
Son appui à Dreyfus lui ayant valu d’être battu aux élections de la même année, il se consacra au journalisme et apporta son soutien au gouvernement de Défense républicaine de Waldeck-Rousseau.
 
En 1902, il participa à la fondation du Parti socialiste français et, la même année, il reconquit son siège de député de Carmaux qu'il conserva jusqu'à sa mort.
Grâce à ses talents d'orateur, il devint le porte-parole du petit groupe socialiste de l'Assemblée nationale, groupe avec lequel il s’engagea en faveur du Bloc des gauches dont le dynamisme finit par s’épuiser.
 
En 1904, non réélu à la vice-présidence de la Chambre, il fonda le journal l’Humanité qu’il utilisa pour accélérer l'unité socialiste qui se réalisa, en 1905, avec la création de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) dont il partagea la direction avec Jules Guesde.
 
Mais au-delà de sa carrière politique, on retiendra surtout sa lutte comme apôtre de la paix qui lui coûta la vie.
Très préoccupé et inquiet face à la montée des nationalismes et par les rivalités entre les grandes puissances, Jaurès sentait venir la catastrophe. Entre autres, il mena une campagne vigoureuse contre La Loi des trois ans (1913) qui augmentait la durée du service militaire de deux à trois ans en vue de préparer l'armée française à une guerre éventuelle avec l'Allemagne.
Le 28 juin 1914, l’attentat de Sarajevo mit fin au vague espoir de paix.
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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