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LES RUGGIERI : une famille d’artificiers
Monarchies, Empires et Républiques : les Ruggieri vont bientôt fêter leurs 300 ans de renommée…
© Grégory Yetchmeniza / MAXPPP
Versailles - Musée Lambinet
Ravi par la prestation, le roi honora le frère aîné, Pierre Ruggieri, du titre prestigieux d’Artificier du Roi. Lorsque Petronio reprit la charge, Louis XV lui octroya une coquette pension et lui donna le château des Porcherons qui se situait rue Saint-Lazare.
En 1785, après la mort de ses frères, Petronio resta seul propriétaire des Porcherons. Le jardin conserva longtemps la faveur du public. Mais, pour cause de Révolution en devenir, il ferma le 12 juillet 1789, soit l’avant-veille de la prise de la Bastille.
Depuis cinquante ans que la monarchie faisait appel aux services des Ruggieri si, avec la Révolution, Petronio fut sans doute un peu inquiet, il comprit vite qu’il allait tout simplement changer de client. Mais il mourut en 1794, année où ses enfants confièrent au sieur Ducy la direction du jardin qui rouvrit durant deux ans.
 
Petronio étant le seul à avoir des enfants, sa descendance reprit avec brio le flambeau familial de la pyrotechnie en amenant cette science au plus haut point de la perfection et en la vulgarisant.
Il laissait plusieurs enfants dont deux fils : Michel et Claude Fortuné qui furent les artificiers de Napoléon Ier, Louis XVIII et Charles X. En 1815, Michel rouvrit l’établissement et y offrit les mêmes plaisirs qu’auparavant en ajoutant des montagnes russes connues sous le nom de Saut du Niagara.
© Alamy
Feu tiré sur la Champs de Mars pour la fête du 15 août 1861
Par la suite, l’entreprise, jusque-là spécialisée dans la célébration de réjouissances publiques, s’adapta et participa à l’effort de guerre durant la Première Guerre mondiale durant laquelle elle fabriqua les propulseurs des fusées incendiaires Le Prieur destinées à attaquer les Zeppelin qui survolaient Paris.
En 1921, la maison, qui avait conservé le nom de ses cinq fondateurs,  devint une société anonyme et garda  les traditions de ses grands ancêtres. Grâce à elle, la pyrotechnie est devenue cet art monumental qui ne se démode jamais.
En 1997, son principal concurrent, le groupe toulousain Etienne Lacroix, racheta la société mais, quinze ans plus tard, réassocia le nom de Ruggieri à l’enseigne.
 
On ignore le lieu de sépulture des cinq frères Ruggieri, voire leur date de décès
-Pietro mourut avant 1786 à Paris
-Francesco mourut vers le 7 janvier 1771 à Paris
-Antoine mort avant 1786
-Gaetano mourut en 1782 à Londres, ses funérailles eurent lieu en la cathédrale de Canterbury
-Petronio (1724-1794) mourut à Paris et fut peut-être inhumé au cimetière de la rue Royale, dit aussi de Pigalle.
 
En revanche, pour les générations suivantes, composées de la seule descendance de Petronio, la chose est plus renseignée : elle se partage entre le cimetière du Père-Lachaise et celui de Montmartre.
 
Reposent au Père-Lachaise dans une même sépulture située dans la 45ème division :
 
Michel Marie Ruggieri (1765 - 1849)
Michel François Ruggieri (1796-1862)
© MCP
© MCP
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Puis tout cessa de nouveau en 1818/1819. En 1826, la construction de la rue Notre-Dame de Lorette entama sa destruction. Château et jardin disparurent en 1857 au profit d’un nouveau quartier. Claude Fortuné publia Eléments de pyrotechnie, divisés en cinq parties (1802) ; La Pyrotechnie militaire, ou Traité complet des feux de guerre et des bouches à feu (1812) et un Précis historique sur les fêtes, les spectacles et les réjouissances publiques (1830).
 
Michel eut un fils : Michel François qui, élève de Saint-Cyr, officier distingué, fut fait prisonnier à Dresde. Après sa libération, il quitta le service, intégra l’entreprise familiale, reprit du service et passa en Egypte où il devint l’artificier de Méhémet Ali, vice-roi d’Égypte.
 
Claude Fortuné eut un fils : Désiré François qui reprit l’entreprise familiale et devint l’artificier et le protégé de Napoléon III. Membre de la Commission scientifique de la Défense nationale, grand érudit, bibliophile, il fut l’élève d'Ingres avant de succéder à son père. En effet, souhaitant unir l'art et l'artifice, il entra à l'atelier du peintre pour apprendre les rudiments du dessin (1835). Devenu artificier à mort de son père, il exécuta tous les feux d'artifice tirés sur la place du Trône lors de la fête de Louis-Philippe.  Mais sa réputation datait surtout du Second Empire : le 15 août 1852 l'empereur lui confia l'exécution du feu d'artifice dont le principal sujet représentait Napoléon Ier au passage du mont Saint-Bernard.  La réussite et le succès de ce feu établit sa renommée. Reconnu comme le maître des artificiers, il exécuta tous les feux d'artifice officiels qui furent tirés de 1852 à 1870 à l'occasion de la fête de l'empereur ; du baptême du prince impérial ; du voyage de la reine Victoria (1855) : du roi d’Espagne (1864), etc.
Après 1870, ces feux les plus célèbres furent ceux composés pour le shah de Perse (1873) ; l’exposition universelle de 1878 ; les fêtes nationales du 14 juillet,…Il était le dernier grand Ruggieri. Mais le nom continue à flamboyer dans les plus beaux jeux pyrotechniques actuels.
© MCP
Reposent au cimetière de Montmartre dans des caveaux différents :
 
Claude-Fortuné Ruggieri (1777 - 1841)
Cimetière de Montmartre, 19ème division (Paris)
D’abord inhumé dans la 29ème division, à la suite de la vente de la concession en 1870, il en fut exhumé avec sa femme et transféré dans un caveau de la 19ème division. A défaut d’avoir pu établir le lien qui existait entre les Ruggieri et leur « famille d’accueil » d'origine, qui elle aussi a évolué avec le temps, je n’ai d’autre choix que de me fier aux informations données par la conservation du cimetière. La concession est actuellement au nom de la famille Heina.
Désiré-François Ruggieri (1818-1885) se situe dans la 29ème division
Datant de 1881, la réfection de la tombe a fait disparaître les noms des premiers occupants, même si d’autres Ruggieri y figurent, tel Paul Ruggieri (1880-1936) qui fut artificier durant la Première Guerre mondiale.
© MCP
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Sources principales :
-Nouvel Observateur : Notre Epoque : Trois siècles de d’artifices – article du 13 juillet 1984
-Désiré Ruggieri (1817-1885), premier pyrotechnicien d’Europe : article en ligne du 23 septembre 2019
-Article du 22 janvier 2023 https://actu.fr/occitanie/muret_31395/voici-l-incroyable-saga-du-roi-des-feux-d-artifice-a-toulouse-et-partout-en-france_56478187.html
-https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6263439h.image.r=RUGGIERI.f8.hl
-https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1265562p/f6.item.texteImage
(*) commentaire(s)
3 décembre 2023
En 1766, Petronio ouvrit dans ce château le « Jardin Ruggieri ». Premier jardin public payant, il réunissait des divertissements de toutes sortes et des feux d'artifice. Sans parler des bâtiments, l’établissement possédait un très beau jardin. Les spectacles, les jeux et les amusements qu'on y réunissait formaient un ensemble formidable auquel on donna le nom de fêtes champêtres. Un très beau feu d'artifice terminait les plaisirs de la soirée. Par la suite, à leurs feux d’artifices, les Ruggieri ajoutèrent des représentations de pantomimes qui augmentèrent le charme et l'attrait de ce nouveau genre d’établissement. Par exemple, on représenta la place Louis XV et son inauguration, la descente d'Orphée aux enfers ; Thésée délivré par Hercule, etc…
 
Parmi les célèbres feux d’artifice tirés sous l’Ancien Régime par les Ruggieri, on ne saurait oublier celui tiré, le 30 mai 1770, de la place Louis XV (act. place de la Concorde) lors des festivités lancées à l’occasion de mariage de Marie-Antoinette et du dauphin, futur Louis XVI. La chute d'une fusée provoqua un incendie et une panique responsable de la mort de 133 personnes qui furent piétinées et étouffées.
Le château des Porcherons d’après une gravure de 1880
Vers la fin du 15ème siècle, particulièrement employés pour les fêtes religieuses, les feux d’artifice prospéraient en Italie. Quand les artificiers italiens passèrent les Alpes, leurs merveilleuses inventions suscitèrent en France l’admiration générale.
 
La saga familiale des Ruggieri en France commença en 1739 lorsque les cinq frères originaires de Bologne, Pietro (Pierre), Francesco (François), Antonio (Antoine), Petronio et Gaetano, s'installèrent à Paris. A l’époque, la pyrotechnie française ne connaissait que deux couleurs :   l'or et l'argent. En introduisant les couleurs de l'arc-en-ciel, qu'ils tiraient des sels métalliques, mais aussi en produisant, pour la première fois en France, des pièces tournantes, compliquées, des comètes chevelues tout en tenant compte du décor, de ses dimensions, de son volume, les Ruggieri entraient dans l’Histoire.
Tous les cinq mirent d’abord leurs intérêts en commun : l’aîné, Pierre, se chargea de la partie administrative, Antoine et Petronio firent d’abord connaître leur talent par les feux qu’ils exécutèrent, en 1739, sur le théâtre de la Comédie-Italienne. Gaëtano, dont le talent fut apprécié du roi George II d’Angleterre, s’installa à Londres où il devint l’artificier du roi et de l’arsenal de Wolwich.
 
Le 26 août 1739, Louis XV mariait en grande pompe sa fille aînée, Louise-Elisabeth de France, à l’infant Philippe d’Espagne, devant plusieurs dizaines de milliers de personnes. Et c’est aux Ruggieri qu’il fit appel pour éblouir la fête par un feu tiré sur la terrasse du château de Versailles. Merveilleux spectacle pyrotechnique entré dans les annales des divertissements royaux.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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