Plan Turgot par Bretez (1739)
Une fois n’est pas coutume, l’intérêt de cette église n’est pas dans ses sépultures puisqu’elles sont inconnues à l’exception d’une. Il réside surtout par l’originalité professionnelle de ses fondateurs, des ménestrels, dénomination, avec celle des jongleurs, qui pouvait couvrir d’infinies variantes.
 
« Habent spem joculatores ? — Nulla ». Par cette formule lapidaire, Honoré d’Autun affirmait l’impossibilité pour les saltimbanques de faire leur salut et témoignait de l’ampleur du rejet de ceux-ci par toute une frange de la société du 12ème siècle. Artistes errants, le plus souvent sans sous ni maille, méprisés à cause de leurs mœurs dissolues, ils étaient pourtant recherchés pour les distractions qu’ils procuraient. Malgré la rigueur du discours clérical et le refus de l’Eglise d’accepter les jongleurs et les ménestrels dans la Societas Christiana, des confréries religieuses réunissant spécifiquement ces individus virent le jour à partir du 14ème siècle.
Les ménétriers diabolisés
Leur nombre et leur importance ayant augmenté, ils songèrent à se constituer une communauté comme l’étaient déjà la plupart des métiers. En 1321, un groupe d’entre eux présenta au prévôt de Paris un projet de statuts en onze articles qu’il avaient rédigé d’un commun accord. Le chef de la corporation prit le titre de prévôt de Saint Julien. Dorénavant, c’était à lui qu’il fallait demander des ménestrels.
Pour parvenir à leur but, celui du monopole de la profession, les ménétriers proclamèrent l’interdiction du jeu des instruments et le bannissement contre tout instrumentiste qui refuserait d’appartenir à l’association et d’en adopter les règlements. Du moment où naissait l’association, naissait aussi la nécessité de protéger ses membres.
Ménétriers et jongleurs
Cette corporation consolida son établissement dans les cours de cette période et ne cessa de se développer jusqu’au milieu du 17ème siècle.
 
Dix après la fondation de la corporation eut lieu celle de la confrérie dont le récit prit l’allure d’une véritable légende fondatrice.
En 1328, deux joueurs d’instruments de musique, Jacques Grare, dit Lappe, et Huet, guette (guetteur) du palais du roi, virent une pauvre femme, Fleurie de Chartres qui, jour et nuit, gisait paralysée sur une charrette ne vivant que d’aumônes. L’idée leur vint alors de construire un hospice dédié aux pauvres là où se trouvait Fleurie, place qui appartenait à l’abbaye de Montmartre qui leur vendit. Deux ans plus tard, par de nouvelles acquisitions, et grâce au soutien de la corporation des ménétriers, Grare et Huet purent établir un nouvel hospice placé sous l’invocation de saint Julien le pauvre, ou l’hospitalier, patron ordinaire de ces sortes de fondations, auquel fut associé saint Genès, mime romain martyrisé sous Dioclétien.
 
En 1334, à l’hospice, fut ajoutée une chapelle placée sous l’invocation des mêmes patrons. La première messe s’y tint l’année suivante.  
La chapelle Saint-Julien-des-Ménétriers par Millin
Comme témoignage de son origine, sa façade « pittoresque » et notamment son portail gothique s’ornaient d’un grand nombre de figures d’anges chantant et jouant de toutes sortes d’instruments. Les trois grandes statues du portail représentaient : le Christ, saint Julien et saint Genest tenant d’une main un violon et de l’autre un archet. Au-dessus de la porte, sur un marbre noir se lisait en lettres d’or :
Portail de Saint-Julien-des-Ménétriers par Millin
Devenu lieu de réunion de l’association, les confrères affichaient leur volonté de solidarité et d’entraide et leur souhait de former un corps soudé autour d’une cause charitable commune. Mais c’était aussi un moyen manifester en commun leur foi lors de fêtes qui participèrent à la construction d’une identité de métier et à son intégration religieuse dans la société de la fin du Moyen Âge. Le fait de posséder une église permettait une autonomie par rapport à la paroisse et mettait en valeur, non seulement la piété de la confrérie, mais aussi ses moyens financiers, puisqu’il était coûteux d’entretenir pareil établissement.
 
Bien évidemment, comme dans toutes les communautés, les siècles apportèrent leurs lots de difficultés internes et avec d’autres clergés pour le contrôle de l’église.
Dans le cadre de cette lutte, la plus grande complication vint des Pères de la Doctrine chrétienne. Suite à une sentence de l’official de Paris en 1642, ces derniers prirent possession de l’église en 1644 avec rattachement du revenu de l’hôpital. A coup de procès devant le Parlement et le Conseil d’Etat, donnant l’avantage à l’une ou l’autre des communautés, le match entre elles dura jusqu’en 1720 (!), date à laquelle les ménétriers furent maintenus dans leurs droits à Saint-Julien.
D’autres conflits éclatèrent entre la corporation les musiciens de l’opéra, les compositeurs, les instrumentistes les plus en vue, etc.
 
Lors de la suppression des confréries (1776) Louis XVI tenta, lui aussi, de récupérer  le contrôle de l’église pour la confier à l’Académie de danse, puis le curé et le chapitre de Saint-Merry eurent des visées sur la chapelle pour la transformer en charnier.
La Révolution régla définitivement le problème. En décembre 1789, la confrérie fit don à la nation de leur église qui, vendue en février 1792, fut abattue peu après.
 
Quant à l’intérieur de l’édifice, excepté, un très beau Christ du grand-autel de la main de Le Brun, selon des contemporains, l’intérieur de l’édifice n’offrait rien de remarquable, voire était « très vilain ».
 
En 1900, à l’occasion de l’exposition universelle, le dessinateur Albert Robida (1848-1926) réalisa une reconstitution d’une partie du Paris médiéval avec la chapelle Saint-Julien dont il fit des cartes postales colorées.
168 et 170, rue Saint-Martin © Google Earth
De nos jours, l’emplacement de de chapelle et de hôpital se situerait au niveau des 168 et 170 de la rue Saint-Martin.
Y furent inhumés, entre autres...
 
La confrérie manifestait un profond attachement à la commémoration des morts avec, entres autres, une célébration régulière de messes pour les défunts. Et bien qu’il soit fort probable que l’église ait servi de nécropole à quelques ménestrels, il n’existe plus, malheureusement, de preuves formelles de ces inhumations. Le peu de trace trouvé se résume en une sépulture !
 
►Bordier Jehan (? - ?)
« Référendaire de la duchesse de Milan », appartenant donc à la chancellerie de cette princesse, la preuve de sa sépulture en ce lieu se trouve dans un règlement de succession datant de 1513.
 
Pour le reste, seule est arrivée jusqu’à nous une plaque de marbre signalant la fondation de messes établie en 1715 par Nicolas Thibert, écuyer et conseiller du roi (également notaire ?) pour les défunts de sa famille, dont on ignore s’ils reposaient là ou pas.
Epitaphier du vieux Paris -Tome VII © MCP
Sources principales :
 
-Recherches sur l’histoire de la corporation des ménétriers, ou joueurs d’instruments, de la ville de Paris par Bernard Bernhard Bibliothèque de l'École des chartes (1842) : https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1842_num_3_1_451657
-Chroniques chartistes : une confrérie d’excommuniés ? L’église et l’hôpital Saint-Julien-des-Ménétriers par Pierre Pocard. Mise en ligne 23 juin 2017 : https://chartes.hypotheses.org/1762
-Epitaphier du vieux Paris -Tome VII
-Antiquités nationales ou recueil des monuments […] par Aubin-Louis Millin -Tome quatrième- (1792)
-Dictionnaire historique des arts, métiers et professions exercés dans Paris depuis le XIIIe siècle par Alfred Franklin -Bibliothèque des Arts, des Sciences & des Techniques (2004) (réimpression de l’ouvrage de H. Welter (1906)
(*) commentaire(s)
EGLISE ET HÔPITAL SAINT-JULIEN-DES-MENESTRIERS (MÉNÉTRIERS) (Paris) (disparus)
RETOUR LIEUX  DE SÉPULTURES
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
ACCUEIL
THEMES 
FACEBOOK
DE A à Z 
Chercher
CONTACT
NOUVEAUX ARTICLES
 

Pour s'abonner à la Newsletter : CLIQUER  sur "Contact" en précisant bien le sujet et votre adresse E.mail.
LIEUX D'INHUMATIONS
EN LIGNE
 
-Abbaye de Chelles (77)
-Abbaye de Cîteaux (21)
-Abbaye de Fontevraud (49)
-Abbaye de Longchamp (75) (disparue)
-Abbaye de Maubuisson (95)
-Abbaye de Montmartre (75)
-Abbaye de Port-Royal (75)
-Abbaye de Port-Royal-des-Champs (78)
-Abbaye St-Antoine-des-Champs (75) (disparue)
-Abbaye et église St-Germain-des-Prés (75)
-Abbaye, couvent et séminaire St-Magloire (75) (disparus en partie)
-Abbaye St-Victor (75) (disparue)
-Abbaye St-Yved de Braine (02)
-Abbaye Ste-Geneviève (75)
-Abbaye du Val-de-Grâce (75)
 
-Basilique St-Denis (93)
-Basilique St-Pierre de Rome
-Basilique St-Remi de Reims (51)
-Basilique du Saint-Sépulcre à Jérusalem (Israël)
 
-Catacombes de Paris
-Catacombes de Rome
 
-Cathédrale Notre-Dame (75)
 
-Chapelle Royale de Dreux (28)
-Chapelle de la Sorbonne (75)
-Chapelle des Incurables (75)
-Chapelle St-Aignan (75)
-Chapelle St Peter-ad-Vincula, (Tour de Londres)
 
-Chartreuse de Gaillon-lez-Bourbon (27) (disparue)
 
-Cimetière de Bonsecours (76)
-Cimetière du Calvaire (75)
-Cimetière de Clamart (75)
(disparu)
-Cimetière des chiens d'Asnières (92)
-Cimetière des enfants de Pen-Bron (44)
-Cimetière des Errancis (75)
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière "des fous" d'Evreux (27)
-Cimetière des Innocents (75) (disparu)
-Cimetière des Invalides (Invalidenfriedhof) Berlin
-Cimetière de la Madeleine
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière du Mont Herzl à Jérusalem (Israël)
-Cimetières parisiens (subtilités)
-Cimetière parisien d'Ivry (94)
-Cimetière parisien de Vaugirard (disparu)
-Cimetière de Picpus (75)
-Cimetières protestants
-Cimetière St-André-des-Arts (75) (disparu)
-Cimetières St-Benoît (75) (disparus)
-Cimetière St-Denis-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Etienne-du-Mont (75) (disparu)
-Cimetières de St-Eustache (75) (disparus)
-Cimetière St-Germain-l'Auxerrois (75) (disparu)
-Cimetière St-Gervais (75)
(disparu)
- Cimetière St-Jacques-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Jean-en-Grève (75) (disparu)
-Cimetière St-Landry (75) (disparu)
-Cimetière St-Laurent (75) (disparu)
-Cimetière St-Marcel (75)
(disparu)
-Cimetière St-Médard (75)
(disparu)
-Cimetière St-Nicolas-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetière St-Nicolas-du-Chardonnet (75) (disparu)
-Cimetière St-Paul-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetières St-Roch (75) (disparus)
-Cimetière St-Sulpice (75)
(disparu)
-Cimetière de la Salpêtrière (75) (disparu)
-Cimetière de Sapanta (Roumanie)
-Cimetière St-Sauveur (75) (disparu)
Cimetière et charniers St-Séverin (75)
Cimetière Ste-Catherine (75)
(disparu)
-Cimetière Ste-Marguerite (75)
 
-Collège de Beauvais ou de Dormans (75)
-Collège des Ecossais (75)
 
-Collégiale St-Georges de Vendôme (41) (disparue)
-Collégiale St-Honoré (Paris) (disparue)
-Collégiale St-Laurent de Joinville (52) (disparue)
-Collégiale St-Martin de Montmorency  (95)
-Colonne de Juillet (75)
-Commanderie  Saint-Jean-de-Latran (75) (disparue)
 
-Couvent de l'Ave Maria (75) (disparu)
-Couvent des Augustins-Déchaussés (75) (disparu)
-Couvent des Bénédictins anglais (75)
-Couvent des Blancs-Manteaux (75) (disparu)
-Couvent des Capucins de la rue St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Capucines (75)
(disparu)
-Couvent des Carmélites de la rue St-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Carmes-Billettes (75)
-Couvent des Carmes-Déchaussés (75)
-Couvent des Célestins (75) (disparu)
-Couvent des Cordeliers de Nancy (54)
-Couvent des chanoinesses de Picpus (75)
-Couvent des Cordeliers (75)
(disparu)
-Couvent des Chartreux de Vauvert  (75) (disparu)
-Couvent des Feuillants du Fg St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Grands-Augustins (75) (disparu)
-Couvent des Grands Carmes ou Carmes Barrés ou Carmes Maubert (75)  (disparu)
- Couvent des Jacobins réformés de la rue Saint-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des  Jacobins de la rue Saint-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de la place Royale (75) (disparu)
-Couvent des Pénitents du Tiers-Ordre de St-François ou Pénitents de Picpus (75)
(disparu)
-Couvent des Petits-Augustins (75)
-Couvent des Récollets (75)
-Couvent des Théatins (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie, rue St-Antoine (75)
 
-Crypte impériale des Capucins de Vienne (Autriche)
 
-Eglise du Dôme des Invalides (75)
-Eglise du St-Sepulcre (75) (disparue)
-Eglise de La Madeleine (75)
-Eglise La Madeleine-de-la-Cité (75) (disparue)
-Eglise Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux (75)
-Eglise St-Barthélemy (75) (disparue)
-Eglise St-Benoît, la bien tournée (75) (disparue)
-Eglise St-Christophe (75) (disparue)
-Eglise et cimetière St-Côme-et-St-Damien (75) (disparus)
-Eglise St-Denis-de-la-Chartre (75) (disparue)
-Eglise St-Denis-du-Pas (75) (disparue)
-Eglise St-Eloi (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne-du-Mont (75)
-Eglise St-Eustache (75)
-Eglise St-Germain-l'Auxerrois (75)
Eglise St-Germain de Charonne (75)
-Eglise St-Germain-le-Vieux (75) (disparue)
-Eglise St-Gervais-St-Protais (75)
-Eglise St-Hippolyte (75) (disparue)
-Eglise St-Jacques-de-la-Boucherie (75)
- Eglise St-Jacques-du-Haut-Pas (75)
-Eglise St-Jean-en-Grève (75)
(disparue)
-Eglise St-Jean-le-Rond (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-des-Ménétriers (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-le-Pauvre (75)
-Eglise St-Landry (75) (disparue)
-Eglise St-Laurent (75)
-Eglise St-Leu-St-Gilles (75)
-Eglise (cathédrale) St-Louis-des-Invalides (75)
-Eglise St-Louis-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise et cimetière (disparu) St-Louis-en-l'Île (75)
-Eglise St-Marcel (75) (disparue)
-Eglise St-Martial (75) (disparue)
-Eglise St-Médard (75)
-Eglise St-Merry (75)
-Eglise St-Nicolas-des-Champs (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Chardonnet (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-des-Champs (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-St-Louis (75)
(ancien couvent des Jésuites)
-Eglise St-Pierre-aux-Arcis (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-aux-Boeufs (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-de-Montmartre
-Eglise St-Roch (75)
-Eglise St-Sauveur (75) disparue
-Eglise St-Séverin (75)
-Eglise St-Sulpice (75)
-Eglise St-Symphorien et St-Luc (75) (disparue)
-Eglise St-Thomas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise Ste-Croix (75) (disparue)
-Eglise Ste-Geneviève-des-Ardents (75) (disparue)
-Eglise Ste-Marine (75) (disparue)
-Eglises et cimetières de l'île de la Cité (75) (disparus)
 
-Escurial (monastère de l') (Espagne)
 
-Grottes vaticanes
 
-Hospice des Enfants-Rouges (75) (disparu)
-Hospice des Enfants-Trouvés (75) (disparu)
-Hospice des Quinze-Vingts St-Honoré (75) (disparu)
 
-Mausolée d'Auguste à Rome
-Mausolée d'Hadrien à Rome
-Mausolée de Mausole à
Halicarnasse (Bodrum) Turquie (disparu)
-Mémorial du Mt-Valérien (92)
 
-Noviciat de l'Oratoire (75)
 
-Oratoire St-Honoré ou du Louvre (75)
 
-Panthéon de Paris
-Panthéon de Rome (Italie)
-POMPES FUNÈBRES, AUTREFOIS et leurs métiers disparus
-Prieuré St-Martin-des-Champs (actuel CNAM) (75)
-Prieuré Ste-Catherine-du-Val-des-Ecoliers (75) (disparu)
-Prieuré Ste-Croix-de-la-Bretonnerie (75) (disparu)
 
-SAINTE-CHAPELLE DU PALAIS (75)
 
-SÉPULTURES DES BOURBONS
-SÉPULTURES DES ROIS D’ANGLETERRE (dynastie Anglo-saxonne)
-SÉPULTURES DES ROIS ET DUCS DE BRETAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS D'ESPAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS DE FRANCE ET DES EMPEREURS (résumé)
-SUPPLICIÉS Lieux d'inhumations
 
-Temple (enclos, église et cimetière du) (75) (disparus)
COPYRIGHT 2010 - 2024 - TOUS DROITS RÉSERVÉS - Ce site est propriétaire exclusif de sa structure, de son contenu textuel et des photos signées MCP.  Sauf accord du propriétaire du site, toute reproduction, même partielle, à titre commercial est interdite. Les reproductions à titre privé sont soumises à l'autorisation du propriétaire du site. A défaut, le nom du site et de son auteur doivent obligatoirement être mentionnés. Tous les droits des auteurs des oeuvres protégées reproduites et communiquées sur ce site sont réservés.