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►DUPUY Pierre (1582- 1651) et DUPUY Jacques (1591- 1656)
EGLISE ET CIMETIÈRE SAINT-CÔME-ET-SAINT-DAMIEN (Paris) (disparus)
Plan Turgot par Bretez (1739)
Cette église paroissiale fut bâtie en, ou vers, 1212 par l’abbé de Saint-Germain-des-Prés pour les habitants du bourg que la construction de l’enceinte Philippe Auguste avait coupé de leur paroisse. Craignant de perdre le domaine qui lui appartenait, l’abbé la fit bâtir près de la censive de l’abbaye et, pour les mêmes raisons, fit ériger l’église Saint-André-des-Arts.
Orientée normalement, elle se situait à l’angle sud des rues de la Harpe (act. bd St-Michel) et des Cordeliers (act. rue de l’Ecole de Médecine) dans laquelle, depuis le 17ème siècle, était son entrée principale composée d’un portail formé d’une simple arcade ogivale. Le fronton surbaissé qui le surmontait s’ornait de trois niches, celle du milieu abritant une statue de la Vierge.
Restitué par M. Hochereau d’après le plan Verniquet et un plan des bâtiments de l’Académie royale de chirurgie par Blondel (Architecture française t.II, liv. III, chap. XV, planche II) © MCP
Le portail
Sur un plan presque rectangulaire, elle ne possédait que cinq chapelles : celles de la Vierge et du Saint-Sacrement de chaque côté du sanctuaire, la chapelle des fonts, et seulement deux appartenant à des familles (Bouthillier et Talon).
 
Hâtivement construite, l’église seule ne formait qu’un édifice peu important qui dû être restauré au début du 15ème siècle et agrandie dans les dernières années du 16ème. Les restaurations aux 17ème et 18ème siècles furent fréquentes au point qu’en 1778, on songea à l’abandonner et de transformer le chœur du couvent des Cordeliers en église paroissiale. Le projet n’aboutit pas.
 
Supprimée en 1791, la paroisse Saint-Côme-Saint-Damien fut réunie à celle de Saint-André-des-Arts.
Fermée en 1793, l’église fut aliénée, avec le presbytère, le cimetière, et les maisons de la fabrique en 1797. Aux termes de l’adjudication, l’acquéreur était tenu de fournir gratuitement le terrain nécessaire au percement de la rue Racine. L’église, qui ne semble pas avoir posséder d'œuvres d'art notables, fut démolie vers 1836.
Une fontaine, dite de Saint-Côme, alimentée par l’aqueduc des eaux de Rungis, fut adossée à l’église en 1624. Elle faisait partie des fontaines édifiées sur la rive gauche et fut supprimée vers 1836.
Au n°1 de la rue de l’Ecole de Médecine, une boutique à l’emplacement de l’église © MCP
© MCP
Armoiries des chirurgiens de Toulouse (1544)
Le cimetière
Plan Turgot par Bretez (1739)
Restitué par M. Hochereau d’après le plan Verniquet et un plan des bâtiments de l’Académie royale de chirurgie par Blondel (Architecture française t.II, liv. III, chap. XV, planche II) © MCP
Un temps séparé de l’église par une petite place, le cimetière était en retrait de dépendances de l’église, deux maisons appartenant à la fabrique rue des Cordeliers. Toutes deux avaient vue arrière sur le cimetière rectangulaire et assez petit (12 mètres sur 8 environ) mais qui ne recevait qu’une trentaine de corps par an, sa fosse restant ouverte tant qu’elle n’était pas pleine. On y accédait par un passage ouvert entre le mur de l’église et la plus haute des deux maisons. L’église et les galeries des charniers recevaient une vingtaine de corps par an.
Ces charniers entouraient le cimetière sur ses côtés nord, sud et ouest, ce dernier étant surmonté d’un comble dans lequel les chirurgiens donnaient, notamment, des cours aux sages-femmes comme déjà évoqué.  
 

Y furent inhumées, parmi les principales personnalités :
 
Bien que toutes les personnalités eurent été inhumées dans l’église, on commencera par une étonnante épitaphe qui se trouvait dans le cimetière dont elle fut la seule conservée :
 
Dans ce petit endroit à part
Git un très singulier cornard ;
Car il était sans avoir femme.
Passants, priez Dieu pour son âme
 
Selon ce que l’on en sait, il s’agissait d’un pauvre diable que les gens du maréchal de Lavardin avaient trouvé en chassant dans un buisson de la forêt du Maine. Nous étions en 1599. Une difformité lui garnissait le front d’une haute corne qu’il s’efforçait de cacher par son bonnet. Conduit à la cour d’Henri IV comme curiosité, « le roi le donna à un de ses valets pour en tirer profit », écrivait Pierre de l’Estoile. Exhibé dans des foires, devenu la risée publique, le malheureux, un dénommé François Trouillac, en conçut un tel chagrin qu’il mourut trois plus tard à Paris. Inhumé dans le cimetière Saint-Côme, à l’époque on trouva fort plaisante son épitaphe aussi cruelle que ridicule posée sur tombe.
Gravure d’un auteur inconnu publiée dans le Magasin pittoresque (1841)
►BEZONS, ou Bazin de (famille)
Tous les membres de la Bezons reposant dans l’église Saint-Côme  furent inhumés dans la chapelle Talon. L’explication en est simple : la mère de Claude Bazin de Bezons, Suzanne Talon, était la fille d’Omer Talon.
-BEZONS Claude Bazin de (1617 – 1684)
Intendant de la justice, de la police et des finances de la généralité de Soissons, puis de Languedoc (1654- 1674), c'est à ce titre qu’il fut nommé commissaire à la vérification de la noblesse et qu’il dirigea dans cette province la grande enquête sur la noblesse ordonnée dans tout le royaume par Louis XIV. Egalement commissaire pour la réorganisation des universités de Toulouse et de Montpellier, de retour à Paris, il fut nommé conseiller d'État.
Bien que membre de l'académie française (1643), il ne laissa comme écrits que des pièces fugitives, dont quelques discours et harangues, ainsi qu'une traduction du traité de Prague signé en 1635.Il était le père du maréchal de France Jacques de Bezons et de l’archevêque Armand de Bezons.
-BEZONS Armand Bazin de (1654-1721)
Frère cadet du maréchal de France Jacques de Bezons  , successivement agent général du clergé de France (1680-1685), évêque d'Aire (1685 -1698), archevêque de Bordeaux ( 1698-1719) et député de la province ecclésiastique de Bordeaux aux assemblées du clergé de 1705, 1707, 1710, 1711 et 1715, puis archevêque de Rouen de 1719 à sa mort, il fut membre du Conseil de Conscience, établi en septembre 1715, après la mort de Louis XIV. Admis au conseil de régence, chargé de la direction des économats, c’est lui qui permit au fameux Guillaume Dubois d'être ordonné dans son diocèse.
Son épitaphe se lisait sur le cartel inférieur du mausolée familial.
Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
-BEZONS, Jacques Bazin de (1646 – 22 mai 1733)
Maréchal de France
Fils de Claude de Bezons, il était destiné à l’état ecclésiastique pour lequel il ne se sentait aucune vocation et dans lequel son frère cadet, Armand de Bezons, se distingua. Il s’échappa de la maison paternelle pour s’enrôler comme volontaire dans les troupes que Schomberg conduisait au Portugal (1165). Retrouvé par son père qui en fit un officier, il fit sa campagne au Portugal, ne revint en France qu’à la paix, et servit ensuite en Catalogne puis contre les protestants du Vivarais.
Prenant du grade au fur et à mesure de ses engagements, il obtint un régiment à son nom (1676) et, après deux nouvelles campagnes en Flandre, il prit part au siège de Philippsbourg et de Namur. Lieutenant général (1702), il passa en Italie, reçut le commandement de Mantoue et de l’armée du bas Pô. Après différents sièges en Italie, il fut investi du commandement du Havre et des côtes de la Manche, fut envoyé dans la vallée du Rhône et contribua à faire lever le siège de Toulon (1707) avant de suivre le duc d’Orléans en Espagne. Apprécié du roi qui le nomma maréchal de France en 1709, il repartit pour l’Espagne où, bien qu’ayant permis au maréchal de Villars d’attaquer Vaubonne, il se montra bien moins brillant qu’il ne l’avait été, manquant d’allant et d’esprit de décision.
Entré au conseil de Régence après la mort de Louis XIV, malgré le soutien du Régent, il brigua vainement différentes charges et finit par se retirer sur ses terres.
 
Le monument funéraire disparu du maréchal, de deux de ses fils et de son frère, était appliqué au milieu du mur du fond de la chapelle, vis-à-vis de l’entrée. Il se composait de quatre cartels de marbre noir disposés en losange et accompagnées de trophées militaires et ecclésiastiques, que surmontait un écusson aux armes de la famille, timbré de la couronne ducale et entouré des colliers  des Ordres du Roi, avec deux bâtons de maréchal en sautoir et deux lions pour support.
Le cartel placé au sommet du mausolée portait l’épitaphe du maréchal :
Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
Les épitaphes de ses fils, Louis Gabriel (1740) et Jacques Etienne († 1742), étaient gravées sur les cartels du milieu.
Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
►BÈZE Nicolas de (1483 - 1543)
Oncle du calviniste Théodore de Bèze, sa  tombe de marbre noir portait ses  armes  également peintes sur des vitres. Près de la sépulture, Théodore lui avait dédié trois épitaphes enluminées : en latin, en grec et en Français, reproduite ci-dessous. Inhumé dans la nef.
Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
►BOUTHILLIER DE CHAVIGNY (famille)
 
-BOUTHILLIER Denis (v. 1540 - 1622)
Avocat au parlement de Paris
 
-BOUTHILLIER DE CHAUVIGNY François († 1731 ou 1751 selon les sources)
Evêque de Troyes dont les talents dans les affaires l’appela au conseil de Régence pendant la minorité de Louis XV. Inhumé dans la chapelle familiale, aucune trace de sa sépulture n’a été conservée. Malgré les années de décès différentes selon les sources, il mourut à l’âge de 90 ans.
 
►DAUTRUY Jean († 1646)
Lequel, selon son épitaphe, fut un des plus célèbres docteurs de la Sorbonne où il professa la théologie avec une grande réputation, et se livra à des travaux assidus pendant trente années. Très apprécié de la famille Talon, il fut inhumé dans leur chapelle familiale.  
Frères indissociables, tous deux historiens, gardes de la bibliothèque du roi, ils étaient très liés avec le président Jacques-Auguste de Thou qu’ils secondèrent dans la rédaction de son Histoire universelle et qui les institua tuteurs de ses enfants et administrateurs de ses biens. Installés dans l’hôtel du défunt, ils y animèrent ce qu'on appela l'académie des frères Dupuy où l’on défendait notamment le système parlementaire et le gallicanisme.
Pierre fut aussi conseiller d’état et, en tant que juriste, collabora à la politique de Richelieu.
►LOYSEAU Charles (1556 – 1627/ 1628)
►MALPEINE Léonard de († 1768)
Auteur d’une traduction de l’anglais d’un essai sur les hiéroglyphes […] de Warburthon
Avocat au parlement de Paris, il imita son père, Renaud Loyseau, de bonne réputation en tant que jurisconsulte qui fut honoré de la confiance de Diane de Poitiers. Nommé lieutenant particulier du présidial de Sens, dont il prépara la soumission à Henri IV, puis bailli bailli de Châteaudun, il se maintint à cette place pendant dix ans avec compétence. A l'instar de nombreux jurisconsultes de l'époque, il avait une connaissance profonde du droit romain qu'il mélangeait judicieusement au droit coutumier pour en résoudre les nombreuses difficultés et défaillances. Auteur de nombreux traités, il mourut à Paris laissant le souvenir d’un homme de grand savoir.
►TALON (famille)
Cette famille possédait une chapelle dans laquelle plusieurs de ses membres furent inhumés, parmi lesquels :
-TALON Omer (v. 1595 – 1652)
Incontestablement la plus célèbre figure de la famille, entré au barreau de Paris (1613), puis avocat au parlement de Paris (1631) après la démission de son frère aîné, Jacques Talon, sa remarquable éloquence, renforcée par langage sain et de bon goût, lui valut d’acquérir une grande notoriété et, défenseur des prérogatives des magistrats, il n'hésita pas à résister à Richelieu. Jusqu'à la fin du règne de Louis XIII, il conserva ses distances vis-à-vis du gouvernement royal, adressant des remontrances au roi qui ne les goûtait guère.
Lors de la Fronde, il assura Anne d'Autriche de son soutien et conclut en sa faveur lorsqu'elle se fit proclamer régente. Cependant, partisan des anciennes traditions monarchiques et religieuses, mais opposé à l’absolutisme royal, quelques années plus tard, il mena la lutte des parlementaires contre la politique de Mazarin et de la régente. Il s'opposa au lit de justice qui fit suite au rejet par le parlement d'un édit financie,r et prononça une violente harangue condamnant la politique du cardinal et dénonça le pitoyable état de la France tout en restant prudent, dévoué au roi et aux lois. Epitaphe latine gravée en lettres dorées sur une table ovale en marbre noir  en commun avec sa femme, Suzanne Choart.
-TALON Denis (1628 – 1698)
Fils d’Omer Talon, auquel il succéda comme avocat général au Parlement de Paris, il fut aussi conseiller d'État. Un moment procureur général au procès de Fouquet, la cour ne le trouvant pas assez zélé le remplaça.  Procureur général aux Grands jours d'Auvergne, il finit sa carrière en 1693, comme président à mortier du Parlement de Paris. Il fut également un farouche combattant du jansénisme.
-TALON Jacques (†1648)
Autre fils d’Omer Talon, il fut avocat général (1618-1631), puis conseiller d’Etat.
 

Mais aussi le cœur de :
 
►LA PEYRONIE François Gigot de (1678 – 1747)
Erigé par les chirurgiens, le carditaphe du célèbre chirurgien, fondateur de l'Académie de Chirurgie,  se présentait sous la forme d’un génie en bronze tenant un miroir de la vérité offrant le buste de La Peyronie, dans un médaillon de marbre blanc, à la France représentée par un globe et trois fleurs de lys. Derrière se voyait l'urne contenant le cœur  et différents attributs des sciences et de la chirurgie ; en bas l’épitaphe latine gravée sur un marbre noir et les armes du défunt.
D'après Millin -Epitaphier du vieux Paris-T.III © MCP
Sources principales :
-Epitaphier du vieux Paris –Tome III
-Antiquités nationales ou recueil de monuments pour servir l’Histoire […] –par Aubin-Louis Millin –Tome troisième (1791)
-http://medarus.org/Medecins/MedecinsTextes/divers_institutions/chirurgiens_barbiers.html
(*) commentaire(s)
Les chirurgiens et l’église Saint-Côme.
 
De nos jours, il bien difficile de concevoir la persévérance séculaire que manifestèrent les chirurgiens pour la reconnaissance et l’organisation de leur profession.
 
En charge de la petite chirurgie, l'ancien métier de barbier-chirurgien remontait au Moyen Âge, à une époque où la chirurgie avait été condamnée par l'Église et où, pourtant, de nombreux actes chirurgicaux étaient nécessaires : lors du concile de Tours (1163), l'Église avait décrété : “Ecclesia abhorret a sanguine” (“L’Église a le sang en horreur”)…En 1215, le IVe concile du Latran alla plus loin et interdit aux prêtres d'exercer la chirurgie.
Cette interdiction de la pratique de la chirurgie par les médecins, la plupart membres du clergé, conduisit des professions comme les arracheurs de dents, les marchands forains ou les barbiers à réaliser des interventions de petite chirurgie. C’est ainsi que les chirurgiens, qui ne dépendaient pas de l’université, furent péjorativement considérés comme de simples gens de métiers, des « manuels sans savoir », et repoussés par les médecins avec un mépris clairement affiché.
 
Jean Pitard, premier chirurgien de saint Louis, Philippe III et Philippe IV le Bel eut l’idée de réunir les chirurgiens parisiens en une corporation. À sa demande, vers 1268, Louis IX créa la confrérie de Saint-Côme et de Saint-Damien, des frères jumeaux guérisseurs anagyres, qui définissait et organisait pour la première fois le métier de chirurgien.
En 1437, ils furent autorisés à suivre des cours de Médecine. Au 18ème siècle, La Peyronie fonda l’Académie de Chirurgie.
 
Dès son origine, cette confrérie s’était installée dans les dépendances de l’église. Durant trois siècles ses membres ambitionnèrent des privilèges de rang dans l’église dont ils étaient privés, faute de ne pas appartenir à l’Université. Autorisés à avoir une école de chirurgie (collège Saint-Côme) (1515), François Ier leur accorda enfin les prérogatives qu’ils attendaient depuis si longtemps en les agrégeant à l’Université (1545), avec les mêmes grades que les autres universitaires, à condition de visiter et soigner gratuitement les malades et blessés qui réclamaient leur assistance.
Mais la cohabitation avec les marguilliers de l’église ne se fit pas sans heurts. Après plusieurs années de lutte juridique entre les deux partis, la fabrique de l’église leur céda un emplacement dans le charnier ouest du cimetière, contre le mur du couvent des Cordeliers.
Les chirurgiens y élevèrent un bâtiment où ils purent recevoir leurs consultations et dispenser des cours de leur art, comme aux sages-femmes. Ce local servait aussi à leurs archives et de bureau pour leurs assemblées.
Par la suite, en accord avec les Cordeliers, moyennant une redevance, ils eurent la jouissance d’un vaste emplacement où ils installèrent leurs écoles (1615), puis leur amphithéâtre (1691).
 
A noter que la confrérie des chirurgiens n’était pas la seule érigée dans l’église ; celles du Saint-Sacrement et des compagnons charpentiers y faisaient aussi célébrer leurs offices.
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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-Temple (enclos, église et cimetière du) (75) (disparus)
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