RETOUR LOUIS XVI ET LA RÉVOLUTION
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[...] ils prenaient le corridor qui les menait au petit escalier d’accès au jardin au pied duquel ils furent tous massacrés.
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Les corps des Carmes étaient déposés dans une crypte dont l’entrée état fermée par une porte en bronze, ornée de bas-reliefs. Cette crypte fut aménagée pour abriter l’ossuaire où reposent les ossements des prêtres retrouvés dans le puits. Leurs corps, qui avaient été recouverts de chaux, furent retrouvés en 1867, à l'occasion de travaux et de fouilles.
Les restes des corps inhumés au cimetière ancien de Vaugirard furent mêlés aux ossements acheminés aux Catacombes à la fermeture du cimetière. Pour les lecteurs intéressés, la liste des victimes peut se trouver sur le site : http://www.sjdc.fr/?page_id=1255
Tous furent béatifiés en 1926.
 
Impossible d'échapper au souvenir macabre de cette journée du 2 septembre 1792 autour duquel ce lieu de sépultures a été organisé. La grande crypte dessert d'autres plus petites dans lesquelles les ossements sont présentés de façon plus ou moins intimiste. Pieusement conservés, les ossements, mais aussi  le dallage souillé du sang des victimes de l’ancienne chapelle du jardin aujourd'hui disparue.
Entrée au Carmel de la rue de Grenelle à Paris en 1784 en qualité de professe, elle prit alors le nom de mère Thérèse-Camille de l'Enfant-Jésus. Arrêtée puis libérée durant la Révolution, à partir de 1797, ayant bénéficié d’une dispense spéciale pour disposer de son héritage familial, elle racheta progressivement l’église et le couvent des Carmes qu’elle sauva de la ruine. Avec l’aide d’Alexandre Lenoir, elle participa activement à sa restauration avant de le céder à l'archevêché de Paris, la charge en devenant trop lourde.
Furent aussi inhumés avant ou après la Révolution
 
De nombreux religieux et quelques bienfaiteurs dont certaines pierres tombales, plus ou moins lisibles, sont exposées. On notera la sobriété et l'iniformité de celles de simples particuliers.
COUVENT DES CARMES-DÉCHAUSSÉS OU CARMES-DÉCHAUX  (Paris)
Cardinal et homme de lettres, Napoléon Ier le fit baron d'Empire et le créa conseiller titulaire. Sous la Restauration, il fut brièvement président du conseil royal de l’Instruction publique, fait pair de France ecclésiastique duc de Bausset-Roquefort. L'ordonnance royale de mars 1816 le fit entrer à l'Académie française
► BERTUS Pierre († 1629)
Après avoir professé dans plusieurs villes, surtout à Leyde, il se réfugia en France où Louis XIII le nomma cosmographe, historiographe et professeur royal de mathématiques. Il publia différents ouvrages théologiques et géographiques.
 
►BOVET, Mgr François de (1745-1838),
Grand-vicaire à Arras, il y devient prévôt de la cathédrale en 1781 et fut est mis à la tête de l'abbaye de Bonlieu la même année. Membre de l'Assemblée du clergé en 1785-1786, il siègea comme député de la province ecclésiastique de Tours.
Confirmé évêque et consacré en 1789, évêque de Sisteron, il émigra durant la Révolution . Il fut l'un  des 37 évêques qui ne démissionnèrent pas après la Bulle pontificale qui fit suite au Concordat de 1801.  Il ne résigna son siège épiscopal qu'en 1812 et ne rentra en France qu'en 1814. Archevêque de Toulouse ( 1817-1820), après s'être démis de ces fonctions, il fut nommé au chapitre de chanoines Saint-Denis où il finit ses jours1.
 
►CLAMECY Jean-Duval de (1599 - 1669)
Dit le Révérend Père Bernard de Sainte-Thérése, il était carme déchaussé. Envoyé en mission à l’étranger, et se révélant très doué pour l'appentissage des langues, il apprit toutes celles des pays qu'il traversait. Nommé évêque de Babylone (1638), il parcourut l’Asie Mineure et la Perse, étudia ces pays et composa un Dictionnaire des langues Orientales qui eut un grand impact à sa parution. créateur du Séminaire des Missions Etrangères de la rue de Babylone. T
Usant de sa popularité et de sa fortune, « Monsieur de Babylone » contribua largement à la fondation à Paris, du Séminaire des Missions Etrangères de la rue du Bac qui ouvrit en 1664.  Son cœur fut conservé au séminaire.
Jusqu’à la première guerre mondiale, la tradition vaticane voulait que le siège épiscopal de Bagdad soit confié à un Français.
►LA LUZERNE, Mgr César-Guillaume de (1738-1821)
►SOYÉCOURT Camille de (1757 -1849)
VIVIEN Nicolas († 1637)
Maître à la Chambre des Comptes, il facilita par tous ses moyens l’installation à Paris des Carmes et fut, en quelque sorte, le fondateur de leur couvent. Par faveur spéciale, il fut inhumé avec les religieux.
Sources principales:
-Brochure éditée par Saint-Joseph des Carmes
- Les 200 cimetières du vieux Paris de Jacques Hillairet -Ed. du Cherche-midi (1958)
-http://adelaitre.pagesperso-orange.fr/JeanDuval.htm
(*) commentaire(s)
Docteur en droit et docteur ès lettres, il occupa d’abord une chaire de droit commercial à Lyon puis, avec une rare éloquence, la chaire de littérature étrangère à la Sorbonne. Très sensible à la paupérisation de la classe ouvrière, il fut le principal fondateur de la Société de Saint-Vincent-de-Paul en 1833, premier réseau de charité organisé par des laïcs. Le pape Jean-Paul II a salué en lui « un précurseur « de la doctrine sociale de l’Eglise développée dans l’encyclique Rerum Novarum de 1891. Il est probablement la « grande personnalité » inhumée en ce lieu. Sa tombe se situe dans une crypte à part.  Il fut béatifié en 1997.
Ailleurs... © MCP
Au-dessus d'un autre reliquaire, les portraits de Mgr Jean Marie du Lau et des frères La  Rochefoucault. © MCP
Transformé en Bal des Tilleuls, puis en prison sous la Terreur, le couvent fut rouvert en 1797 par une communauté de Carmélites ayant à sa tête Mlle de Soyécourt, connue sous son nom de religieuse comme la Mère Camille de l’Enfant Jésus , dont le père avait été emprisonné aux Carmes en 1794 avant d’être décapité le 22 juillet et inhumé dans une des fosses de Picpus.
En 1841, la charge étant trop lourde, elle vendit le couvent à l'archevêque de Paris.  En 1845, Mgr Affre y établit les Hautes études ecclésiastiques, puis  une communauté de Dominicains ; l’Institut catholique et le séminaire des Carmes l’occupent depuis 1875.
 
Depuis bien longtemps, la sérénité a retrouvé sa place dans le jardin témoin de ces atrocités. Une petite colonne y rappelle le nom de la première des victimes, L. Guérin.
Ce même escalier, de nos jours © MCP
Les Carmes-Déchaussés, ou Carmes-Déchaux,  provenaient de la réforme que sainte Thérèse d'Ávila avait introduite dans l’ordre des carmes en 1568. Cette réforme incluait que les carmes iraient dorénavant pieds nus dans des sandales, d'où leur nom.
 
Désireux de leur procurer un établissement en France, le pape Paul V confia leur installation à la bienveillance d’Henri IV. Arrivés à Paris quelques semaines après l’assassinat de ce denier (1610), il leur fallut attendre le mois de mai 1611 pour pouvoir prendre possession d’une maison avec jardin à la hauteur de l’actuel n° 70 de la rue de Vaugirard. A la suite du rapide développement de la communauté et de l’affluence du peuple aux offices, les carmes, qui avaient agrandi leur propriété, posèrent la première pierre de leur nouveau couvent en 1613. Achevé trois ans plus tard, d’autres travaux suivirent dont ceux de l’église consacrée en 1620.
 
Dès le début de la Révolution, le prieur des Carmes offrit au Comité du district une partie des dépendances du couvent pour servir de caserne, ce qui fut accepté ; mais le local s’avérant trop petit, les religieux payèrent son agrandissement de leurs deniers.
Par un décret d’octobre 1790, leur maison fut désignée pour recevoir les Carmes des Billettes et ceux de la place Maubert.
Lorsque le District des Carmes fut remplacé par la section du Luxembourg, on transforma l’église en prison et, dès le mois d’août 1792, de nombreux prêtres arrêtés y étaient incarcérés. En quelques jours cent soixante prisonniers se trouvèrent réunis dans des conditions déplorables, parmi lesquels : Mgr Jean-Marie du Lau (1738-1792), archevêque d’Arles ; Mgr Pierre-Louis de La Rochefoucauld-Bayers (1744-1792), évêque de Saintes, et son frère, Mgr François-Joseph de La Rochefoucauld-Bayers (1736-1792), évêque de Beauvais.
 
Le 2 septembre 1792, le couvent des Carmes-Déchaussés, rentrait tragiquement dans l’Histoire.
 
Les prêtres « jureurs » et les « réfractaires »
 
Incontournable dès qu’on aborde la Révolution, la notion de prêtres « jureurs », ou assermentés, et celle de « réfractaires », même si par ces définitions on en comprend le sens, mérite quelques précisions historiques.
Plan Turgot par Bretez (1739)
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Le dallage © MCP
Là, plusieurs rangées de crânes dont certains portent encore la marque des coups de sabres des massacreurs. Les noms des défunts figurent en lettres d’or sur des plaques de marbre noir. © MCP
► Furent inhumés dans l'église Saint-Joseph des Carmes ou le cimetière
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►BAUSSET, Mgr Louis François de (1748-1824)
Frère de César Henri, ministre de la Marine sous Louis XVI,  il était évêque de Langres avant la Révolution où il s'exila.  A la suite du Concordat, il démissionna de ses fonctions avant de rentrer en France lors de la première Restauration. Créé cardinal, ministre d'Etat en 1817, Louis XVIII lui restitua, « à titre ecclésiastique », ses titres de duc et pair de France.
►OZANAM (Frédéric) (1813 – 1853)
De gauche à droite, les pierres tombales de Mgrs Bovet, Bausset et La Luzerne © MCP
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2 octobre 2016
Lorsqu’arriva la Révolution, l’Eglise de France, toute puissante, avait besoin de réformes. Le bas-clergé souhaitait d’une part, une répartition plus équitable des revenus ecclésiastiques et, d’autre part, que l’accès au haut-clergé cessât d’être réservé à la noblesse.
Pour y remédier, en juillet 1790, l’Assemblée Constituante vota la Constitution Civile du clergé : prêtres et évêques devenaient des fonctionnaires élus et rétribués par l’Etat.
 
En attendant la réponse du pape qui tardait à venir, Louis XVI la ratifia en décembre. La moitié du clergé séculier prêta serment à la constitution : on les nomma les « jureurs » ou les « assermentés ».
Quant à ceux qui la refusèrent, les  « réfractaires », ils furent démis de leurs fonctions, se retrouvèrent sans ressources et clandestins.
 
Au printemps 1791, le pape ayant signifié son désaccord, des jureurs rejoignirent les rangs des réfractaires. Toutefois, grâce à son droit de veto qu’il avait encore, le roi pouvait encore les protéger.
Mais après la chute de la monarchie le 10 août 1792, la Commune de Paris prit le pouvoir et voulut neutraliser les individus soupçonnés de compromettre le salut public ; dès le 11, elle fit procéder à l’arrestation de tous les prêtres réfractaires. Le couvent des Carmes devint l’une des prisons où ils furent détenus.
 
Parmi les 48 sections composant la division administrative de Paris, celle du Luxembourg, dont dépendaient dorénavant les Carmes, était particulièrement virulente.
D’une façon plus générale, les massacres de Septembre se préparaient. A la Législative, Tallien. transmit la volonté de la Commune : purger la nation des prêtres perturbateurs.
Aux Carmes, ceux qui persévéraient à ne pas jurer sur la Constitution Civile du Clergé, ne se faisaient guère d’illusions.
 
Le massacre
 
Le 2 septembre, à quatre heures, ordre fut donné de se rendre au jardin, y compris les vieillards et les infirmes. Et soudain, Maillard, sinistrement célèbre comme chef des massacreurs de la prison de l’Abbaye, surgit à la tête de sa troupe de forcenés au cri de : « Mort aux réfractaires ! »
Les premières victimes tombèrent sous leurs coups de sabres, dont Mgr du Lau. Ceux qui tentèrent de s’échapper furent rattrapés sans pitié.
On regroupa les survivants dans l’église, qui se réfugièrent dans le chœur, avant de les refaire sortir deux par deux. Après s’être assuré qu’ils refusaient toujours de prêter serment, ils prenaient le corridor qui les menait au petit escalier d’accès au jardin au pied duquel ils furent tous massacrés.
En moins de deux heures, cent dix victimes périrent ainsi formant un tas de cadavres qu’on dépouilla. Au total : cent quinze martyrs.
Une trentaine d’entre eux furent jetés dans une fosse commune de l’ancien cimetière de Vaugirard (disparu), et les autres dans un puits du jardin des du couvent.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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