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PANTHÉON DE ROME ou basilique Santa Maria ad Martyres (Italie)
http://lesvoyagesduparisienheureux.fr/italie-rome-pantheon/
Plan général de la Rome antique
Champ de Mars : lan détaillé
Sans précédent dans l’architecture romaine, le plan général du nouvel édifice est exceptionnel. De façon harmonieuse, il réussit à concilier deux plans et deux techniques de construction en totale opposition : le porche d’entrée (pronaos), qui reprend le schéma classique du temple grec en pierre, forme un contraste absolu avec la rotonde édifiée en briques plaquées de marbre.Entre les deux, un bâtiment de transition.
 
Mais le plus impressionnant reste sa coupole à caissons, d’une hardiesse inouïe, s’élevant à 43 m. A l’image du lieu de résidence des dieux et de celle de l’univers dominé par Rome, elle symbolise la voûte céleste. Percée d’un oculus, seul puits de lumière de l’édifice, elle reste la plus grande coupole du monde en béton non armé.
 
Témoignage du génie romain, après presque deux millénaires, en dépit des mutilations volontaires et des mouvements telluriques répétés, cette construction remarquable ne présente pas de signe de faiblesse de sa structure.
Autrefois situé au fond d’une vaste cour et dominant le site, de nos jours, le monument est en contact direct avec la charmante, mais très touristique, piazza della Rotonda (place de la Rotonde).
© MCP
https://polychromieblog.wordpress.com/tag/romain/
Comme tous les autres lieux de culte païens, il fut fermé au 4ème siècle par les premiers empereurs chrétiens. Puis,  saccagé par les Barbares (410), il fut finalement sauvé de la destruction par l’empereur Byzantin Phocas qui le donna au pape Boniface IV (609). Ce dernier le consacra alors, comme église chrétienne, à la Vierge Marie et aux martyrs (Sancta Maria ad Martyres), vocable qu’elle porte toujours. Il y fit transférer des restes anonymes prélevés dans les catacombes, et installer un autel sur ces reliques.
© MCP
Intérieur du pronaos © Adam Car
Couverture du pronaos  © Erin Silversmith
La rotonde
 
Au centre du mur circulaire, face à l’entrée, se trouve le maître-autel. A sa droite et à sa gauche, alternent de  façon régulière des « chapelles » ornées de colonnes  et des édicules. Le décor de fausses fenêtres du niveau supérieur date 1747, année où elles remplacèrent de vraies ouvertures.
© MCP
Evidemment, sans personne on y voit plus clairhttps://www.panoramadelart.com/pantheon-rome
Magnifique coupole à caissons et son oculus, seul puits de lumière du Panthéon. © MCP
Emplacement des tombes principales
 
2. Victor Emmanuel II
4. Cœur du cardinal Consalvi
5. Raphaël et juste à côté à droite : Maria Antonietta di Bibbiena et Annibal Carrache
6. Humbert Ier et Marguerite de Savoie
7. Baldassare Peruzzi
8. Dans la chapelle S. Giuseppe di Terrasanta : Arcangelo Corelli, Perin del Vaga,  Tadeo  Zuccari, Flaminio Vacca
https://www.planetware.com/rome/pantheon-i-la-rp.htm
►BIBBIENA Maria Antonietta di ( ?- ?)
Raphaël aimait les femmes et notamment la belle Margherita Luti, son modèle et sa maîtresse. Très ami avec le cardinal de Bibbiena, camerlingue du pape Léon X, en signe de profonde estime le cardinal aurait offert sa nièce, Maria Antonietta de Bibbiena, en mariage au jeune artiste. La tradition veut aussi que, face au peu d’empressement de Raphaël, le pape s’en mêlât en exigeant rupture avec Margherita et épousailles avec Maria Antonietta.
Mais le peintre mourut avant de répondre aux injonctions papales. A défaut, à sa propre mort, Maria Antonietta eut la consolation d’être inhumée à la droite de Raphaël dont, comme le rappelle son épitaphe, elle fut l’épouse promise…
© MCP
►BARROZZI Jacopo DA VIGNOLA (1507-1573)
Architecte, après une formation à Bologne, il se rendit à Rome où il étudia les monuments antiques. Présent au côté du Primatice à Fontainebleau, de retour en Italie, il fut au service du pape Jules III (1546), pour lequel il acheva la villa Giulia en collaboration avec Vasari, et éleva, sur la via Flaminia, la petite église dédiée à saint André (1550-1553). Parmi ses diverses réalisations, on compte la villa Lante et ses jardins à Bagnaia (1566).
Les quinze dernières années de sa vie furent notamment occupées par la transformation pour les Farnese de la forteresse de Caprarola en villa de plaisance.
Il donna encore des plans pour Sainte-Marie-des-Anges à Assise. Nommé architecte de la basilique Saint-Pierre à la mort de Michel-Ange, il n’y réalisa rien de très important. Sollicité par Philippe II d’Espagne, il envoiya à Madrid des plans pour l'église de l'Escorial. Vraisemblablement sous l'influence de Peruzzi, il mesura et étudia les monuments de l'ancienne Rome, cherchant à retrouver les règles qui régissaient l'architecture antique. Il consigna l’ensemble des résultats de ses réflexions dans un Traité sur les cinq ordres d'architecture (1562) qui lui valut, aux 17ème et 18ème siècles, d'être considéré comme le législateur de l'architecture. Cet ouvrage est sans doute son principal titre de gloire. Emplacement de sa sépulture non précisé.
Palais Farnese de Caprarola © Livioandronico2013
►DEL VAGA Perin, Piero di Giovanni Bonaccorsi, dit (1501-1547)
Peintre né à Florence où il débuta sa formation, on le retrouva à Rome comme collaborateur de Raphaël, mais aussi à Gênes comme Consul de l’Arte dei Pittori. Il fut également peintre officiel du pape Paul III.
Auteur de nombreuses fresques, entre autres pour le palais Baldassini à Rome où il signa Tarquin le Superbe fondant le temple Jupiter Capitolin.
Tarquin le Superbe fondant le temple Jupiter Capitolin (v. 1521)
Florence-Galerie des Offices
Il fut inhumé dans la chapelle San Giuseppe di Terrasanta (8 sur le plan)
Madone à l’Enfant – Rome-Palais Montecitorio
A droite et à gauche de l’autel se trouvent plusieurs plaques funéraires © Alarmy
© MCP
►HUMBERT Ier (UMBERTO Ier) (1844 - 29 juillet 1900) – Roi d’Italie
Fils de Victor-Emmanuel II de Savoie, auquel il succéda en 1878, il eut l’intelligence de se faire appeler Humbert Ier d’Italie, et non Humbert IV de Savoie, marquant ainsi l’unification de toute l’Italie sous son nom. Il joua son rôle de souverain constitutionnel alors que la gauche italienne occupait le pouvoir et eut, en fait, peu d’influence sur la politique de son règne marqué par la conclusion de la Triplice (1882) et une tentative d’expansion coloniale.
 
En 1898, il avait récompensé le général Fiorenzo Bava-Beccaris, responsable du massacre de Milan : une tuerie au canon de manifestants qui protestaient contre la cherté des produits alimentaires (mai 1898).
En cette Belle-Epoque qui se caractérisait aussi par sa litanie d’assassinats anarchistes, cette action lui fut fatale. A peine avait-il été intronisé qu’il était déjà victime d’une agression par un anarchiste. Dix ans plus tard, il échappait de nouveau à une tentative d’assassinat. Le troisième essai fut le bon. Alors qu’il se promenait en calèche ouverte à Monza, près de Milan, l’anarchiste Gaetano Bresci , revenu spécialement des États-Unis pour « venger » les victimes de la sanglante répression milanaise, le tua de trois coups de révolver.
Après de grandioses funérailles, Humbert Ier fut inhumé dans une chapelle où son épouse, Marguerite de Savoie, le rejoignit vingt-six ans plus tard (6 sur le plan)
Funérailles d'Humbert Ier
© MCP
►MARGUERITE DE SAVOIE (1851 - 4 janvier 1926)
Cousine germaine d’Humbert Ier, qu’elle épousa en 1868, elle est  connue pour avoir été une protectrice des arts et des lettres. Elle fonda diverses sociétés culturelles, fut la bienfaitrice de plusieurs œuvres comme la Croix-Rouge, etc. Bien qu’esprit religieux et conservateur, ses actions caritatives la rendirent populaire auprès de la plupart des italiens. Passionnée d'alpinisme, elle fut la première femme à escalader le mont Rose, deuxième sommet des Alpes.
Mais son nom passa surtout à la postérité grâce à un artisan italien qui, en 1889, créa la fameuse pizza  « Margherita » en son honneur. A l’époque, cette nouvelle pizza avait pour particularité de présenter les trois couleurs du récent drapeau de l'Italie unifiée : vert, blanc, rouge.
Morte à Bordighera,  sa dépouille mortelle fut transportée par train jusqu’à Rome qui s’était préparée à une cérémonie grandiose. Menée en grande pompe de la gare  Panthéon,
Marguerite de Savoie fut inhumée près de son époux (6 sur le plan).
Photo d'époque par Th. Vaucher
© MCP
►PERUZZI Baldassarre (1481-1536)
Peintre et architecte, l’essentiel de sa carrière se déroula à Rome où il eut l’occasion de travailler, sous la direction de Raphaël, à la décoration de Sainte-Marie de la Paix.Parmi tous ses travaux, on notera surtout son œuvre principale : l’édification et le décor de la villa Farnesina où il développa un magnifique décor en trompe-l’œil. Ses dons de perspective et son goût pour la fiction monumentale triomphèrent dans les scènes de théâtre réalisées pour les fêtes de Léon X (1510). Reconnu comme le meilleur disciple de Bramante, il lui succéda à la direction des travaux de la basilique Saint-Pierre (1520). Il signa, entre autres,  les dessins du tombeau du pape Adrien VI.
Fait prisonnier par les Espagnols durant le sac de Rome (1527), une fois libéré il retourna à Sienne, sa ville natale, et y devint architecte appointé par la République qui l'employait à des plans de fortification. Vivant alternativement à Sienne et à Rome, entre 1530 et 1535, son œuvre la plus importante des ses dernières années fut le palais Massimo alle Colonne à Rome. On le considère aussi comme un précurseur du maniérisme.
Villa Farnesina : Salone delle Prospettive tout en trompe-l’œil
Inhumé en la basilique, au-dessus de son épitaphe se trouve son buste placé dans une niche (7 sur le plan)
© MCP
© MCP
►UDINE Giovanni da (1487-1564)
Peintre et architecte, il prit très jeune l’habitude d’observer et de dessiner les plantes et les animaux, ce qui, par la suite, le fit considérer comme le premier peintre de natures mortes moderne. Mais si différents musées ont conservé de ses croquis et dessins, il fut surtout connu et sollicité comme spécialiste des fresques et des décors grotesques en stuc.
Après un séjour à Venise, il arriva à Rome  où il devint élève puis assistant de Raphaël  Il participa à de nombreux  travaux : loggia di psiche de la villa Farnesina, etc., et, après la mort de Raphaël, il poursuivit les projets commencés par son maître, comme la villa Madame.
Après le sac de Rome (1527), il partit à Florence, où il travailla aux stucs de la Sagrestia Nuova  (la nouvelle sacristie) à San Lorenzo. Puis, à Venise  il prit aussi part à la réalisation des stucs du Palazzo Grimani di Santa Maria Formosa (v.1540).
En tant qu’architecte, il contribua à la construction de la tour de l’Horloge et d’une fontaine à Udine sa ville natale.
En 1560, il rentra à Rome pour travailler au troisième étage de la Loggia di Raffaello du Vatican (loggia du cardinal Bibbiena).
Aucune information sur l’emplacement précis de sa tombe.
Etude de perroquet (1515/1520)
Grotesques : Loggia di Raffaello (loggia du cardinal Bibbiena)
►VACCA Flaminio (1538-1605)
Sculpteur de la Renaissance, rénovateur de l’antique, ses œuvres majeures, mais non magistrales, se trouvent principalement dans diverses églises romaines (basilique Ste-Marie-Majeure, église de Gesù ; église neuve, …), dans des palais, etc. Il signa également le lion faisant pendant au lion antique de l'époque romaine de la Loggia dei Lanzi à Florence. Son Memorie di varie antichità trovate in diversi luogia della Città di Roma (1594), plusieurs fois publié, reste une source de première main sur la découverte de sculptures et d'antiquités romaines vers la fin du 16èmesiècle. L'auteur s'attarde aussi à décrire la destruction d'antiquités, notamment par le programme d'urbanisation du pape Sixte V.
Le lion de la Loggia dei Lanzi © Sailko
Membre de la Confraternità dei virtuosi formée au Panthéon, à sa mort, sa réputation lui valut les honneurs d’une modeste sépulture  dans la chapelle S. Giuseppe di Terrasanta (8 sur le plan)
© Lalupa
►VICTOR-EMMANUEL II, roi d'Italie
►ZUCCARI (ZUCCARO) Taddeo (1529-1566)
Après une première formation reçut de son père, il la compléta en venant à Rome dès 1540 où il copiait surtout les antiques et les chefs-d'œuvre de Raphaël et de Michel-Ange. La décoration de la façade du palais Mattei (1548) révéla à tous son talent, et le duc d'Urbin l'appela pour compléter le décor du chœur de la cathédrale (1551). De retour à Rome deux ans plus tard, il connut un grand succès au service des papes Jules III, Paul IV et Pie IV ainsi que des cardinaux Ranuccio et Alexandre Farnèse.
Adoptant le style maniériste, la qualité de ses œuvres ne fut pas toujours à la hauteur de ses ambitions avec parfois certaines outrances.
Cependant, la décoration de la chapelle Frangipani à San Marcello al Corso (Scènes de la vie de saint Paul, 1558 ou 1559-1566) montre un ton beaucoup plus classique, qui marqua également ses dernières œuvres : Sala Regia au Vatican (1564-1565), palais Farnèse (1563-1565) et villa Farnèse de Caprarola. On connaît surtout ses œuvres de fresquiste et de dessinateur, qui révèlent une personnalité très riche, d'une grande capacité de synthèse et d'invention.
Palais Farnese : Entrée triomphale à Paris de François 1er,
Charles-Quint et Alexandre Farnèse en 1540.
Eglise San Marcello al Corso : La conversion de saint Paul
Taddeo Zuccari fut inhumé en la basilique où une plaque signale sa présence dans la chapelle S. Giuseppe di Terrasanta
(8 sur le plan).
© MCP
Mais aussi  :
 
►le cœur du cardinal Ercole CONSALVI (1757-1824) (4 sur le plan) dont le corps fut inhumé en l’église San Marcello al Corso.
 


Sources principales
-https://www.rome-roma.net/pantheon-rome.html
-https://it.wikipedia.org/wiki/Pantheon_(Roma)
-http://davidmacchi.blogspot.com/
-EU Universalis : Jacopo Barozzi par Renée PLOUIN
-Journal l’Illustration n°4324 du 16 janvier 1926
-https://www.larousse.fr/encyclopedie/peinture/Peruzzi/153809
(*) commentaire(s)
14 mars 2019
Y furent inhumés...
 
Avec ses treize sépultures répertoriées, si  le Panthéon de Rome abrite peu de personnalités, elles sont toutes de « qualité », voire illustres pour au moins une belle poignée d’entre elles.
Si l’on se réfère aux dates de décès des résidents, la première inhumation faite directement au Panthéon serait celle de Raphaël († 1520). La dernière est celle du roi Humbert Ier († 1900), le seul à bénéficier d’un  monument.
L’église fut longtemps  l’objet d’un combat d’influence entre la papauté et la ville de Rome. Mais avec la formation du royaume d’Italie (1861- 1946),   la Maison de Savoie obtint du pape de se faire attribuer l'église pour que les rois y soient inhumés. Mais entre fascisme, Deuxième Guerre mondiale et création de la république italienne, le Panthéon ne reçut que trois dépouilles royales : Victor-Emmanuel II, Humbert Ier et sa femme, Marguerite de Savoie. Mis à part le sarcophage de Raphaël,  Humbert Ier  est le seul à bénéficier d’un monument mais modeste.
Temple dédié à toutes les divinités de l’Antiquité protectrices de la Gens Iulia, notamment à Mars et Vénus, il fut érigé à l’initiative d’Agrippa entre 27 et 25 av. J.-C. sur le Champ de Mars. Détruit deux fois par un incendie (80 et 110 apr. J.-C.), il fut reconstruit sur ordre d’Hadrien, entre 118 et 128, qui fit rétablir sur le fronton la dédicace d‘origine dédiée à Agrippa.
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par Marie-Christine Pénin
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