RETOUR PERSONNALITES LIEES A HENRI IV
Rue de la Ferronnerie © MCP
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Le plus remarquable chez Henri IV fut peut-être d’avoir su se soumettre aux évènements de façon exceptionnelle ce qui lui permis de les infléchir dans le meilleur sens possible.
 
Il aurait dit que « Paris valait bien une messe ». C’était vrai que Paris valait bien cet effort, car sans ce sacrifice au rituel catholique, aucun règne légitime et encore moins d’espoir de paix civile n’étaient possibles. C’eut été bafoué la lucidité d’Henri III qui, faute d’avoir conçu lui-même un héritier, avait désigné ce parpaillot comme son successeur.
 
Dire que le futur Vert-Galant partait avec un handicap est une galéjade. Mais ce malin, osant d’incroyables sauts périlleux, dont les seuls filets de sécurité furent son intelligence, sa ruse et son bon sens, allait réussir l’exploit de
« pacifier » la France déchirée par les guerres de Religion et d’être considéré aussi par son peuple comme « la lumière du plus grand roi de la terre et le meilleur ». Le meilleur des juges venait de parler pour la postérité.
Sa mort brutale y fut pour quelque chose car, la minute précédent son assassinat, ce même peuple honnissait ce roi qui l’accablait d’impôts.  
 
Certes, nul n’étant parfait, au moment de sa mort, pour des raisons aussi diverses que nombreuses, Henri n’avait pu encore fédérer les intérêts de tous. Le poignard de Ravaillac, rue de la Ferronnerie,  nous priva de savoir ce que le « bon roi Henri » aurait fait du temps qui lui a manqué.
(*) commentaire(s)
Reuters/Gabet/Belet/Galaxy/BMJ
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La profanation révolutionnaire
 
Le samedi 12 octobre 1793, les extractions de caveaux en la basilique Saint-Denis commencèrent par celui des Bourbons et le premier cercueil qu’on en sortit fut celui d’Henri IV.
On le posa contre le mur, à droite de la porte d’entrée du caveau et on l’ouvrit. On déroula les bandelettes qui enveloppaient le corps qui apparu si bien conservé que la peau n’eût été couleur d’un parchemin qu’on aurait pu le croire endormi. Les traits du visage étaient parfaitement reconnaissables et les blessures faites par Ravaillac encore visibles. Impressionnés, les profanateurs, mus par un soudain respect, ne le jetèrent pas dans la fosse commune. Tous ceux qui avaient pu rentrer dans l’église vinrent le contempler. Rendu sur place le commissaire des Beaux-Arts, Alexandre Lenoir, alla jusqu’à lui serrer la main. Pendant deux jours la dépouille du Béarnais resta debout à faire face aux nombreux curieux venus le contempler.
A l’émotion que sa vue suscitait à certains, on aurait pu lui espérer un meilleur sort que celui prévu.
Mais le lundi 14, les visiteurs, rappelés sèchement à l’ordre, laissèrent le « seul roi de qui le peuple ait gardé un souvenir » se faire engloutir dans la fosse commune.
 
Entre temps, la moustache et, bien pire, la tête avaient disparu. Aujourd’hui, bien que la fameuse moustache coupée par un révolutionnaire fétichiste (ce qui est vrai) ait été mise au feu depuis longtemps, il continue à en exister autant que de cannes de Voltaire ou de mâchoires inférieures de Molière !
 
Quant à la tête momifiée, elle « réapparut » en 1919  entre les mains d’un antiquaire qui l'adjugea pour 3 francs à   un dénommé Bourdais, photographe à Montmartre. L’envie d’identifier cette tête le prit et durant des années, il constitua des faisceaux de concordances avec des descriptions d’époque et des portraits l’amenant à être persuadé qu’il s’agissait de celle d’Henri IV. Parmi les signes distinctifs communs au visage du roi et à la relique  on notera, entre autres, la forme du crâne, la cicatrice sur la lèvre et un grain de beauté.
Bourdais laissa un ouvrage agrémenté de photos et croquis comparatifs qui, effectivement, laissent perplexes. Il mourut en 1947 laissant à sa sœur l’héritage de son bric-à-brac et de la tête. A sa mort, dans les années 60, on constata qu’elle avait vendu la tête sans qu’on puisse vraiment identifier l’acheteur et remonter la moindre piste. Depuis, la tête n’avait jamais réapparu jusqu'à l'annonce extraordinaire de décembre 2015.
 
Et le coeur ? Le 29 septembre 1793, le représentant du peuple Thirion fit brûler sur un petit bûcher le coeur du roi avec celui de Marie de Médicis.  Un chirurgien fléchois, profitant du dispersement de la foule, recueillit les cendres qu’il plaça dans un flacon. Le 26 juin 1953, à l’occasion du quatrième centenaire de l’anniversaire d’Henri IV, le flacon fut transporté au château de Pau. Enfin, en 1814  les cendres reprirent le chemin de la chapelle du Prytanée de la Flèche où elle furent déposées dans une niche du  bras nord du transept.
 
Après la mort du roi, un tireur d’horoscope fit remarquer « qu’Henri IV naquit 14 siècles, 14 décades et 14 ans après la Nativité, un 14 décembre et qu’il mourut un 14 mai, après avoir vécu 4 fois 14 ans, 14 semaines et 14 jours. Enfin il y avait 14 lettres dans son nom : Henri de Bourbon ».  Dont acte.
Statue équestre d'Henri IV sur le pont-neuf, aujourd'hui le plus vieux pont de Paris
HENRI IV (1553 - 14 mai 1610)  roi  (1589-1610)
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Cœur  et entrailles : Chapelle St Louis du Prytanée de La Flèche (Sarthe)
Bien des années auparavant, l’astrologue Thomassin lui avait prédit qu’il mourrait « entre le treizième et le quatorzième jour…et en carosse ». Henri, habitué à toutes sortes de pronostics, s’en était bien amusé.
 
Comme Châtel, l’intention de Ravaillac de tuer le roi était connue de beaucoup. Beaucoup qui se turent. En écrivant
« Sur la mort du roi, tous s’entendaient à demi-mot, ne se compromettant pas, mais laissant aller le fou », Jules Michelet avait peut-être raison.
 
En décembre 1594, Henri avait déjà été victime d’un attentat commis par Châtel ancien élève des Jésuites que le roi, par mesure de rétorsion, exila pendant neuf ans. A leur retour, Henri leur donna la propriété de La Flèche où ils purent reprendre leur rôle d’éducateurs. Reconnaissants les Jésuites lui demandèrent de leur accorder son cœur qui leur fut amené escorté par quatre cents cavaliers quelques années plus tard.
 

La baston des funérailles…
 
Du 10 au 21 juin l’effigie du roi, veillée par les seigneurs, resta exposée au Louvre permettant à la foule parisienne de venir rendre un dernier hommage au souverain. Il est à noter qu'Henri IV fut le dernier roi a bénéficié du protocole de l'effigie rites funéraires royaux. Deux cents cierges éclairaient la pièce tendue de tapisseries et de soie et où le couvert du roi était dressé comme s’il était encore en vie; les mets servis étaient ensuite donnés aux pauvres. Cent messes furent dites chaque jour.
 
Au bout d’un mois, le cercueil se dirigea vers Notre-Dame. Mais, la préséance fut encore source de querelles. Cette fois il s’agissait de savoir qui des prélats ou du Parlement marcherait le plus près de l’effigie. Alors,  l’évêque de Paris, en colère et contre toute attente, s’empara violemment de l’effigie. Le comte de Soissons, au lieu de calmer l’évêque, le soutint dans sa déraison.  Le comportement honteux des deux hommes retomba sur toute la Cour et ce fut bientôt la mêlée générale. Leurs coups de pieds et leurs coups de poings ayant été plus efficaces, les parlementaires remportèrent le premier round. La revanche des religieux était pour basilique Saint-Denis. Là, le comte de Soissons refusa de rompre devant les membres du Parlement le baston (bâton) qui indiquait la fin terrestre du roi et refusa que les grâces soient dites à leurs tables pendant le dîner qui suivit !
 
De surcroît, la crise du logement sépulcral du moment et la mort brutale du roi faisaient qu'Henri IV n'avait de place prévue. Son cercueil fut donc déposé  à la hâte sur des tréteaux dans le caveau des cérémonies (crypte d'Hilduin). Henri IV fut inhumé sans tombeau, sans mausolée.
« Assemblage » post révolutionnaire dans la crypte des Bourbons © MCP
De nos jours © MCP
15 décembre 2010. La tête d'Henri IV retrouvée et identifiée !
 
Découverte sensationnelle, s'il en est !
 
Le docteur Philippe Charlier, médecin légiste et paléopathologiste et Jean-Pierre Babelon, historien spécialiste d'Henri IV, ancien directeur du château de Versailles, conservateur en chef des Archives de France et actuel président de la société Henri IV, peuvent être heureux.
On imagine l'émotion de Jean-Pierre Babelonde qui, à 79 ans, après un long suspens, peut enfin ajouter un chapitre à son oeuvre: peut-être le plus formidable.
Comme déjà précisé,  la tête momifiée  « réapparut » en 1919 entre les mains d’un antiquaire qui l'adjugea pour 3 francs à un dénommé Bourdais, photographe à Montmartre. L’envie d’identifier cette tête le prit et durant des années, il constitua des faisceaux de concordances avec des descriptions d’époque et des portraits l’amenant à être persuadé qu’il s’agissait de celle d’Henri IV. Parmi les signes distinctifs communs au visage du roi et à la relique on notera, entre autres, la forme du crâne, la cicatrice sur la lèvre et un grain de beauté.
Bourdais laissa un ouvrage agrémenté de photos et croquis comparatifs qui, effectivement, laissent perplexes. Il mourut en 1947 laissant à sa sœur l’héritage de son bric-à-brac et de la tête. A sa mort, dans les années 60, on constata qu’elle avait vendu la tête sans qu’on puisse vraiment identifier l’acheteur qui conserva dans le plus secret  son précieux achat jusqu'à ce qu'en 2008, il se décide à la faire expertiser et à en révéler un peu plus: il l'avait achetée en 1955 pour la somme de 5000 francs.
 
Finalement, les analyses, s'appuyant aussi sur des caractéristiques connues d'Henri IV (verrue, cicatrice, etc.), ont défintivement confirmé l'authentification de la tête qui devrait rejoindre la basilique Saint-Denis d'ici le printemps si tout le monde arrive à se mettre d'accord. Une décennie plus tard, chaque nouvelle affirmation ayant systématiquement provoqué de  nouvelles polémiques entre spécialistes, le crâne n'est toujours pas à la basilique.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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