Au retour des Bourbons, elle put enfin satisfaire ses aspirations littéraires en publiant plusieurs ouvrages. Intelligente et opportuniste, malgré les moqueries et les pastiches théâtraux, elle continua son chemin et à garnir grassement sa bourse.
Présente au congrès d’Aix-la-Chapelle (1819), elle reçut en consultation Metternich et le tsar Alexandre Ier avec lequel elle conçut un ouvrage sur Joséphine de Beauharnais, Mémoires historiques et secrets de l’impératrice Joséphine qui lui attira de nombreuses critiques.
Nonobstant des scandales à répétition, si elle renonça à des publications, elle continua la voyance, prédisant des évènements qui, pour certains s’avérèrent exacts.
Mettant en scène de façon remarquable sa publicité de son vivant comme posthume par une biographie, la Sybille du faubourg Saint-Germain demeure une pointure encore respectée dans son art.