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Photo Ariane Cauderlier
Le bassin et...
► Peintre français
Pour toute richesse, le père de l’Impressionnisme n’avait alors que sa que  famille nombreuse : deux fils de Camille Doncieux, Jean, né en 1867,  Michel né en 1878, et Alice Hoschedé, future Mme Monet avec ses quatre filles et ses deux garçons ; tout un petit monde que le peintre avait pris sous sa protection. On lui indiqua la maison de Louis Singeot à qui il la loua avant de l’acheter et d’en faire le centre du monde de l’Impressionnisme; car, dès qu’il fut célèbre, de très nombreux peintres, dont plusieurs Américains, vinrent y respirer l’air du maître.
 
Façonnant la terre au rythme de son projet, un grand bassin rempli de gracieux nymphéas vit le jour et chaque saison devait voir fleurir des bouquets de couleurs. Un jardin où la nature semblait avoir perdu la tête : des quantités de variétés de plantes y étaient savamment disposées qui s'harmonisaient pleinement, dans un sombre fouillis, dans une simplicité touffue. Et puis, avec en flèches des ifs presque centenaires, I'allée centrale enjambée d'arceaux en voûtes fleuries, comme une cathédrale de roses où l'on aurait célébré le culte de Flore... il faut dire que sept jardiniers officiaient chaque jour !
les célèbres nymphéas...
À la fin de sa vie, Monet souffrait d'une cataracte qui altéra notablement sa vue. Il fut opéré de l'œil droit dans les difficiles conditions de l'époque. Affecté par les modifications de ses perceptions visuelles consécutives à l'opération, il renonça à toute intervention sur son œil gauche. La maladie évoluant, elle eut un impact croissant sur ses derniers tableaux.
 
Il avait vécu  à Giverny 43 ans soit la moitié de sa vie, la moitié la plus inspirée, la plus productive, celle qui lui conféra reconnaissance mondiale et gloire.
Le 5 décembre 1926, par un froid matinal, Claude Monet s’éteignit.   Toute la nuit, sa belle-fille  Blanche (fille d’Alice) était restée au chevet du mourant. Depuis la mort d'Alice,  Blanche Hoschedé veillait sur Monet. Blanche se dirigea vers l’un des ateliers où elle décrocha un rideau de cretonne à motifs de fleurs dont elle recouvrira le cercueil.  Surtout pas de drap noir ! Le noir, pour Monet n'est pas une couleur !
En présence Georges Clemenceau, son grand ami, qui tentait de surmonter sa douleur, Claude Monet fut mené au petit cimetière de Giverny sur une simple charrette paysanne poussée par deux villageois.
 
Depuis,  il repose avec plusieurs membres de sa famille à l'ombre du clocher de Sainte-Radegonde dont il faillit quitter lla tranquillité pour se faire inhumer au Panthéon !
 
Monet au Panthéon!
 
En 2009, profitant de l'effervescence provoquée par la grande rétrospective “Monet“ qui devait se tenir en 2010, le marchand d'art Guy Wildenstein tenta de convaincre Nicolas Sarkozy de la "panthéonisation" de Monet sous prétexte qu'il n'avait pas reçu  les honneurs qu'il méritait.
 
A la mort de Michel, dernier fils de Claude Monet, l'Institut de France, I'Académie des Beaux-Arts, le musée Marmottan précisément, héritèrent de "tout Monet" ; non seulement des toiles qui restaient, les siennes et celles de sa collection, évaluées à 7 milliards d'anciens francs, mais encore de la maison de Giverny, des ateliers, du jardin et du bassin aux nymphéas.  
Extrait de l'article paru dans le n°318 du Journal des Arts signé par Maureen Marozeau
 
"Hugues Gall, directeur de la Fondation Claude-Monet, créée par l'Académie des beaux-arts et chargée de la gestion des biens et du droit moral du peintre, s'opposa fermement à ce transfert. Soutenu par le maire et les habitants de Givemy, Hugues Gall défend la mémoire du peintre, lequel « n’aurait pu imaginer que sa dépouille, repose ailleurs qu'à Giverny». Et de rappeler que plus de 500 000 admirateurs font chaque année le pèlerinage pour visiter la propriété et les jardins du peintre, avant d’aller se recueillir sur sa tombe.
Et quand bien même l'Académie venait un jour à changer d'avis, le dernier mot revient aux héritiers de la famille Hoschedé. Comme nous l'ont indiqué les services funéraires de la Ville de Paris, ceux-ci, propriétaires de la concession de Givemy, peuvent parfaitement s'opposer à l'ouverture de la sépulture. Arrière-petit-fils d'Ernest et Alice Hoschedé, le critique d'art Philippe Piguet rappelle que, lorsque la propriété de Giverny est tombée dans l'escarcelle de l'Académie des beaux-arts, le conservateur des lieux, Gérald Van der Kemp, souhaitait transformer la tombe familiale en “un monument à Monet“. A l'époque, la famille avait eu recours aux d’un huissier de justice pour faire valoir ses droits. Au-delà de ces querelles juridiques, Philippe Piguet s'étonne que la famille n'ait pas été approchée par Guy Wildenstein : « Ce qui me surprend le plus est que les partisans de ce dossier n'ont pas saisi la personnalité de Monet. Il n'était pas du tout intéressé par les honneurs. N’oublions pas qu'il avait refusé que son ami Clemenceau lui remette la Légion d'honneur. Et qu'il n'avait pas répondu à l'invitation de l’Institut de France à succéder à Luc-Olivier Merson pour siéger à l'Académie des beaux-arts, (NDLR)".
L’affaire semble donc bien compromise et devrait s'éteindre tel le feu de paille de 1999. « Givemy est un tout. Ce lieu raconte une histoire très forte. Cette intimité familiale est si bien ressentie par les visiteurs», conclut Philippe Piguet. À ceux qui estiment que Monet, comme son œuvre, finira par tomber dans le domaine public, le critique d'art répond qu'il «n'appartient pas aux gens mais à l’histoire». C'est sans doute ce qu'avait fini par comprendre Gérald Van der Kemp, qui a lui-même choisi de reposer au cimetière de Giverny, à une dizaine de mètres de CIaude Monet.
Photo Ariane Cauderlier
Photo Ariane Cauderlier
Photo Jean-Michel Peers
Photo MCP
Photo MCP
Portrait extrait d'une toile de Carolus Duran
Jean Monet (1867 – 1914)
Fils aîné de Claude Monet et de Camille Doncieux, ses premières années furent marquées par la précarité de la famille qui vivait dans des conditions difficiles, presque sans ressources. Mais l'enfant grandit entouré de la tendre sollicitude de sa mère et de son père qui, attendrit, en fit un de ses sujets de peinture. En 1897, Jean épousa Blanche Hoschedé, la plus connue des quatre filles de sa belle-mère Alice. Il mourut prématurément d'une mladie incurable.
Michel Monet (1878 - 1966)
Il était le second fils de Claude Monet et de Camille Doncieux.
Passionné de voitures, il mourut  dans un accident d'auto sur le pont Clémenceau à Vernon.
Deux fois marié, mais sans aucune descendance, seul héritier de son père, il légua la propriété de Giverny à l'Institut de France et, pour éviter la dispersion de l'exceptionnelle collection de tableaux de son père (Monet lui-même, Renoir, Pissarro, Degas, Berthe Morisot, Sisley, Caillebotte, etc.), il la légua au musée Marmottan, devenu le musée Marmottan Monet.
Blanche Hoschedé (1865 - 1947)
Des quatre filles d'Alice, Blanche fut la seule qui s'adonna, avec talent d'ailleurs, à la peinture. En cette fin de 19e siècle, c'était un passe-temps bien vu pour les jeunes filles de bonne famille, qui étaient encouragées à dessiner et faire de l'aquarelle tout autant qu'à jouer du piano ou chanter.
Blanche, attirée dès son plus jeune âge par la peinture, préférait l'huile sur toile, comme Monet à qui elle vouait une admiration sans borne. En 1897, Blanche avait épousé Jean, le fils aîné de Claude Monet. Veuve, réputée pour sa grande bonté, elle revint vivre à Giverny et veilla sur Claude Monet jusqu’à son dernier souffle.
Blanche entre Claude Monet (à g.) et Georges Clémenceau.
Une toile de Blanche
Suzanne Hoschedé ( - 1899)
Theodore Earl Butler (1861-1936)
Le cortège nuptial de Theodore Robinson
A main gauche, juste à côté du caveau "Monet", il y a une autre tombe, moins connue des flots de touristes, sauf peut-être des Américains: c'est celle de Théodore Earl Butler et de quelques uns de ses descendants.
Peintre impressionniste américain,  il épousa Suzanne Hoschedé, une des belles-filles de Claude Monet. A ce titre, il fut l'un des rares artistes américains   autorisé à peindre dans le fameux jardin du maître.
Au delà de son œuvre, il est connu pour le rôle qu'il joua entre les peintres américains résidant alors à Giverny. Poursuivant sa carrière aux Etats-Unis et en France, en 1921 il revint à Giverny où il décéda.
Les drapeaux
On ne peut quitter le cimetière de Giverny sans évoquer :
Gérald Van der Kemp (1912 - 2001)
Conservateur en chef du domaine de Versailles et des Trianons de 1953 à 1980, il se consacra à la "renaissance" du château et des Trianons. Il obtint notamment du Premier ministre de l'époque, Michel Debré, un décret grâce auquel le mobilier du palais, dispersé depuis la Révolution, put retrouver sa place.
Avec brio, il s'occupa aussi de la restauration de la maison et du jardin de Claude Monet à Giverny.
Camille Doncieux (1847 - 1879)
   Cimetière communal de Vétheuil (Val-d'Oise)
Enfin, il serait injuste de conclure cette incursion dans la vie de Claude Monet en oubliant sa première femme et la mère de ses deux fils: Camille Doncieux.
Très présente dans les toiles de Claude Monet, dont elle fut un de ses grands modèles jusqu'à sa mort, Camille épousa Monet en 1870. Elle était aussi un modèle très apprécié de Renoir et d’Edouard Manet. Camille fut la compagne de l’époque de Vétheuil où elle décéda victime d’un cancer de l’utérus. Elle donna à Monet deux fils, Jean et Michel, la naissance de ce dernier ayant fragilisé sa santé déjà précaire. Elle fut inhumée dans le petit village marquée par la présence du couple et de leurs amis artistes.
Photo www.flick.com
Sources principales :CLAUDE MONET, une vie de Michel de Decker - Editions PERRIN et Wikipedia
                                 
(*) commentaire(s)
Photo Ariane Cauderlier
Fille ainée d’Alice Hoschedé, elle fut l’un des modèles favoris de son beau-père Claude Monet et figure sur plusieurs tableaux connus du peintre, tel que Les deux Femmes à l'ombrelle de 1886. Au début des années 1890, le peintre américain Theodore Butler vint s'installer à Giverny. Il tomba amoureux de Suzanne et l’épousa après avoir affronté l'opposition farouche de Claude Monet qui voyait d'un très mauvais œil tous ces « misérables Américains » (venus là par admiration de son œuvre !) de passage à Giverny qui pourraient bien séduire une ou plusieurs de ses belles-filles. Rassuré par la confortable situation financière de la famille de Théodore, Monet céda. Leur mariage fut immortalisé par un autre peintre américain, Theodore Robinson, sous le titre Le Cortège nuptial.
Suzanne Hoschedé-Butler mourut après une longue maladie. Sa sœur Marthe aida alors Theodore à l’éducation de ses enfants puis l’épousa.
Après avoir vécu et travaillé à Vétheuil (Val-d’Oise) et laissé derrière lui le souvenir de Camille Doncieux, sa première épouse, Claude Monet s’installa à Giverny en avril 1883. Cette installation, qui allait rendre le petit village mondialement connu, coïncidait avec la mort de son ami le peintre Edouard Manet.
Claude et Alice, séparés de leurs conjoints respectifs, vivaient déjà ensemble lorsqu’Alice devenue veuve d’Ernest Hoschedé, collectionneur et ami de Claude Monet, elle épousa ce dernier en 1892 remplissant la nichée du peintre de quatre filles et de deux fils. Alice fut un modèle très apprécié de son mari mais aussi de Carolus Duran.
Alice Hoschedé (1844 - 1911)
Parmi celles et ceux qui sont inhumés dans le même caveau que Claude Monet:
MONET Claude (1840 – 5 décembre 1926)
Cimetière de Giverny (Eure)
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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