RETOUR LOUIS XVI ET LA RÉVOLUTION 
Son appétit de la vie, sa personnalité hors du commun et son immense charisme qui invitent souvent à la sympathie, comparés à la froideur affichée de Robespierre, font oublier que Danton avait beaucoup de sang sur la conscience et les mains avant de glisser, en novembre 1793, vers une politique plus clémente en souhaitant un retour à la vie normale.
 
Cette nouvelle vision de la politique accentua sa rivalité avec Robespierre qui, ne souffrant pas cette opposition publique à son gouvernement, décida d’en finir. Confiant dans sa popularité,  Georges pensait sincèrement que les robespierristes n’oseraient pas. Et pourtant.
Durant ce procès truqué, les paroles de Danton, portées par sa voix tonitruante, récusant ses juges et en appelant au verdict du peuple, en ébranlèrent plus d’un. Trop dangereux le Danton ! Il fallait le faire taire.
Saint-Just et Vadier firent voter en toute hâte un décret instaurant que tout prévenu accusé de conspiration serait mis hors des débats s’il insultait la justice nationale. Dans l’impossibilité de se défendre, comme convenu, les dantonistes et les autres furent condamnés à mort.
Jusqu’à ce qu’on lui coupât la parole avec la tête, ce fut avec courage que ce personnage, haut en couleurs et fort en bouche, resta fidèle à son portrait.
Dans la charrette, avec ses compagnons d’infortune, sa gouaille retentissait autant qu’elle le pouvait sur la foule. Elle atteignit son paroxysme quand le hasard de l’itinéraire le fit passer sous les fenêtres de Robespierre : « Robespierre, c’est en vain que tu te caches, tu me suis et l’ombre de Danton rugira de joie dans son tombeau quand tu seras à cette place ». Il avait raison, mais il lui faudra attendre encore un peu.
 
Arrivé sur la place de la Révolution, il se calma. La guillotine se dressait là, devant lui. Pensa-t-il à ses derniers jours heureux passés avec sa femme à Arcis-sur-Aube ?
 
Danton et ses amis assistèrent à l’exécution des filous. Puis ce fut leur tour. Hérault des Seychelles voulut embrasser Danton. Les bourreaux s’y opposèrent provoquant ainsi la dernière fureur du tribun: "Imbécile, tu n'empêcheras pas nos têtes de se baiser dans le panier ! ".  Il ne restait plus que lui. Il n’attendit pas que la planche soit nettoyée du sang de son prédécesseur. Le couperet tomba.
 
Comme il le lui avait demandé, sous prétexte que le peuple n’en voyait pas une tous les jours comme la sienne, Sanson promena la tête de Georges Jacques Danton autour de l’échafaud. Comme il l’avait prédit, le peuple cria bien « Vive la République ! » mais ce n’était pas l’enthousiasme des grands jours.
 
Georges Danton fut inhumé au cimetière des Errancis où une fosse commune lui servit de tombe avant de rejoindre les Catacombes comme ultime sépulture.
 
Veuf d'Antoinette Gabriel Charpentier, il s'était remarié avec Louise Gély qui se trouva, pour peu de temps encore, en charge des deux fils survivants de son premier mariage : Antoine et François-Georges.
Il fut arrêté le 30 mars 1794 en même temps que Desmoulins, Delacroix, Westermann, Guzman, Philippeaux et Hérault de Seychelles.
De façon à ternir son image auprès du peuple, on tenta de l’impliquer dans les affaires financières louches de Fabre d’Eglantine qui se retrouva présent sur le banc des accusés entourés de Chabot, Basire, Delaunay, l’abbé d’Espagnac, Disdericksen et des frères Frey traînant tous derrière eux une réputation véreuse.
Source concernant Antoine et François-Georges Danton : Paris Révolutionnaire de G. Lenôtre. (1895)
(*) commentaire(s)
►Antoinette Gabriel Charpentier (1760-10 février 1793)
Cimetière Sainte-Catherine (Paris)
Fille de Jérôme François Charpentier, limonadier, propriétaire, depuis 1773, du Café Parnasse ou Café de l'École qui se trouvait à l'emplacement de La Samaritaine (Paris), elle épousa Georges le 14 juin 1787.
De leur union naquirent quatre garçons dont deux atteignirent l’âge adulte : Antoine et François-Georges. L’aîné était mort à l’âge de onze mois (1789). Le 10 février 1793, alors que Danton était en mission en Belgique, Antoinette décéda en mettant au monde son quatrième fils, mort-né.
►Antoine Danton (1790-14 juin 1858) et François-Georges Danton (1792-18 juin 1848)
Cimetière d’Arcis-sur-Aube (Aube)
De retour le 17, en apprenant la nouvelle, fou de douleur, Danton eut alors une réaction bien singulière. Profondément amoureux de sa femme, il s’adressa au sculpteur Claude André Deseine (1740-1823), sourd et muet, qui, moyennant une liasse d’assignats, accepta de le suivre au cimetière Sainte-Catherine où reposait la défunte. En pleine nuit, avec l'aide du gardien du cimetière, il la fit  déterrer, ouvrit le cercueil, la couvrit de baisers en l'implorant de lui pardonner pour ses nombreuses frivolités sexuelles. Puis, à sa demande, Deseine pratiqua un moulage du visage de la morte. Le buste mortuaire d'Antoinette, exposé l'année même de sa mort au prix d'un scandale rapidement étouffé, est aujourd'hui présenté au musée de Troyes dans l'Aube. Pendant des jours, personne n'osa l'aborder tant il semblait muré dans sa peine. Pourtant, quatre mois plus tard, ce veuf inconsolable se remariait avec Louise Gély.
La mort de Danton quatorze mois plus tard et les tourmentes politiques qui suivirent furent probablement autant d’éléments qui ne permirent pas le transfert de ses cendres à la fermeture du cimetière. Quelle fut leur destination ? Ossuaires des cimetières du Père-Lachaise ou du Montparnasse, Catacombes, restées enfouies sur place : tout est possible.  
►Louise Gély (1776 - 28 juillet 1856)
Cimetière du Montparnasse, 2ème division (Paris)
Fille de Marc-Antoine Gély, huissier-audiencier au Parlement de Paris et membre du Club des Cordeliers, il semble que Danton l’ait connue avant la Révolution. En 1792, il lui un emploi de commis au ministère de la Marine.
Louise, âgée de seize ans, s’occupait des fils de Georges et d’Antoinette quand celle-ci mourut en couches. Quatre mois après son décès, entre affection et aspect pratique, Georges épousait Louise qui, dix mois plus tard, à dix-sept ans, se retrouvait veuve. Après avoir confié les enfants du révolutionnaire à leur famille dans l'Aube, elle continua son chemin.
Certains lui reprochèrent d'avoir détourné son mari de la politique, d'avoir causé indirectement sa perte en lui faisant préférer "les charmes agrestes et familiaux d'Arcis-sur-Aube au chaudron infernal de la Convention". Mais Louise était si jeune…
Elle se remaria avec Claude-François-Étienne (1767 – 1828), administrateur et homme politique créé baron d’Empire.
A sa mort, elle fut inhumée au cimetière du Montparnasse.  
© MCP
© MCP
Merci à Joseph Granata pour cette photo et les suivantes
En 1848, les habitants d’Arcis, imitant toutes les communes de France, décidèrent de planter un arbre de la Liberté. En souvenir de la Première République, on alla, avec fanfare et foule de curieux, demander aux fils Danton un arbre de leur jardin. Que se passa-t-il alors dans l’esprit de François-Georges ? A la vue de tout cet appareil et en entendant tout ce bruit, il tomba évanoui et mourut deux mois plus tard.
Antoine resta seul, vivant presque reclus avec une dame de compagnie, Mme Rivière, qui partageait sa solitude. De cette cohabitation naquit une  fille, Sophie Octavie, qu’il adopta sans épouser la mère. Il mourut dix ans, presque jour pour jour, après son frère. Tous deux furent inhumés au cimetière d’Arcis-sur-Aube.
Près de ses père et oncle, repose aussi Sophie Octavie Rivière (1828-1897) qui avait épousé, en 1850, Louis André Menuel (1828-1878), notaire et maire d’Arcis-sur-Aube.
DANTON Georges (1759 - 5 avril 1794)
Cimetière des Errancis (Paris) puis les Catacombes (Paris)
A la mort de leur père, ses deux fils furent presque de suite envoyés à Arcis-sur-Aube. Orphelins, sans ressources, ils furent, tour à tour, recueillis par différents membres de leur famille maternelle. Adultes, installés dans la maison où leur père avait envisagé ses vieux jours, écrasés par leur patronyme, ils se tinrent toujours à l’écart, menant l’existence découragée de bourgeois d’une petite ville. Antoine, avait quelques talents artistiques mais ne signait pas ses dessins.
François-Georges, tout en étant le portrait vivant de son père n’en possédait pas le tempérament. Taciturne, sauvage, d’une grande susceptibilité nerveuse, sa petite enfance avait imprimé à son caractère des traces indélébiles.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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