RETOUR ALLEMAGNE
Mais toute cette mise en œuvre n’est possible que si l’autorité inspire le plus profond des respects ou la crainte. Dans le même registre, un passage du film d’Henri Verneuil I comme Icare, démontre bien que personne n’est à l’abri d’agir cruellement sous une autorité forte.
 
Identité nationale, avenir glorieux et race supérieure parce que pure. Cet idéal ne pouvait que pénétrer le cœur et l’âme de ce peuple humilié par la défaite de la Première Guerre mondiale, laminé par la crise de 1929 et pour qui la Walkyrie demeurait alors un modèle du genre. Si on la compare à la dictature stalinienne, la dictature nazie dégagerait presque des relents de romantisme.
 
Adolf Hitler sut ensorceler, hypnotiser et galvaniser ce peuple. Il devint un Messie d’un genre particulier armant des millions d’apôtres non seulement avec des engins de guerre, mais avec la plus redoutable de toutes les armes : ses idées. Et au bout du compte, aussi passionnant soit-elle, qu’importe la complexité du profil psychologique de cet homme qui plongea le monde dans la plus grande folie assassine des temps avec des conséquences géopolitiques toujours d’actualité. Cela fut et cela est.
Le tyran fractionne auprès de petits employés qui, en remplissant chacun soigneusement une tâche, se trouve être un des maillons rendant possible la réalité d’une grande chaîne de la tyrannie. Chaque petit maillon n’aura fait que son travail, obéi à un ordre. Le policier qui arrête, le fonctionnaire qui enregistre, le conducteur de train qui conduit son train. Les tyrans les plus féroces étant gardés pour la fin. Ce redoutable fractionnement permet à chacun de se soustraire de l’action du maillon en aval et de celui en amont. L’obéissance devient alors supportable. Qui peut être coupable d’avoir bien fait son travail ?
HITLER Adolf   (1889 - 30 avril 1945)
Cendres dispersées dans l'Elbe
Si certains ambitionnaient de pouvoir aller vomir ou se recueillir sur la tombe d’un acteur de cette période, ils seront déçus, car très rares sont les célébrités du genre à avoir une sépulture. Après les condamnations à mort consécutives au procès de Nuremberg et à d’autres, on fit en sorte qu’aucune opportunité ne soit offerte aux nostalgiques du régime de pouvoir y organiser un pèlerinage.
 
Quant à ceux qui connurent une sépulture normale dans un cimetière, c’est que leur rôle dans cette sinistre aventure ne relevait pas du crime contre l’humanité. Et puis, il y a les oubliés de nos livres d’histoire, ceux à qui on aurait du élever des monuments ou au moins graver leur nom dans une pierre à défaut de les conserver dans nos mémoires. Ce sont les héros de la résistance allemande qui, les premiers, ont payé de leur vie leur volonté d’ouvrir les yeux au reste du monde : Hans et Sophie Scholl en furent, parmi bien d'autres, un bel exemple.
 
Sur un plan historique, leur existence à laisser une empreinte éternellement indélébile. Ils sont devenus les maîtres-étalon de l’efficacité dans l’horreur absolue, et c’est cette effroyable exception dans la monstruosité qui les rend incontournables dans notre histoire. C’est en cela qu’Adolf Hitler restera à jamais l’un des personnages dominants de l’histoire du 20ème siècle. Peut-être le plus important de tous.
 
« J’ai l’horreur éternelle de la guerre » disait-il en septembre 1933 au moment où il se voyait confier les pleins pouvoirs pour quatre ans par les députés du Reichstag. Et c’est d’ailleurs au nom de cette même répulsion que, dans sa foulée historique, il créa la Gestapo, musela l’opposition et stimula la production de l’armement. Quelque chose a dû nous échapper…
 
Le 21 avril 1945, les troupes de Joukov et de Koniev atteignaient Berlin qui n’était plus défendue que par des adolescents et des vieillards recrutés en hâte ayant ordre de résister jusqu’au bout.
Le Messie germain !
Sources: pas de sources principales mais un ensemble de lectures (livres et revues) et la consultation de sites sérieux sur le sujet, m'ont permis de relier les unes aux autres des informations souvent incomplètes ou mal recopiées, mal traduites, dans certains sites. Un  exemple parmi d'autres "de vrai/faux et incomplet ":  "Wikipédia" en Français qui s'arrête à l'inhumation à Rathenau (qui est vrai) mais qui passe sous silence les 24 ans de Magdebourg (incomplet) ), pour reprendre à l'exhumation de 1970 (vrai, mais pas à Rathenau), pour une crémation dans la région (faux), etc.
 
Les documents pris en référence sont extraits des archives centrales de Moscou.
(*) commentaire(s)
Le 25, l’encerclement de la capitale du Reich était terminé. L’Armée rouge s’emparait du Reichstag le 30. C’était la fin pour Hitler qui rédigea son testament : « Je meurs le cœur joyeux en songeant aux incomparables faits et prouesses de nos soldats au front, de nos femmes au foyer, de nos paysans et nos ouvriers ainsi qu’aux exploits, uniques dans l’histoire, de la jeunesse qui porte mon nom… »
 
Berlin, aux ruines wagnériennes, s’effondrait entraînant dans sa chute l’empire qui devait durer mille ans. Le chef, en premier lieu, se devait de donner « l’exemple glorieux d’un devoir accompli jusqu’à la mort ».
Hitler était atteint de dépression, d’inflammation du côlon, de troubles cardiaques et de la maladie de Parkinson. Gorgé de médicaments, il n’était pourtant pas considéré comme cliniquement fou ou drogué. Préférant pour lui succéder l’amiral Dönitz à Himmler ou à Göring, considérés comme traîtres, il lui remit les pouvoirs.
 
Le 29 avril, Hitler avait appris la mort de Mussolini et le sort réservé à son cadavre. Terrorisé à l’idée du sort identique que pouvait lui réserver Staline ou d’être exhibé dans un zoo berlinois lors d’une cérémonie orchestrée par les Juifs, il décida de se suicider et demanda à être brûlé pour éviter toute exhibition de sa dépouille.
Lors d’une brève réception d’adieu, il exigea qu’après sa mort son corps soit brûlé ainsi que celui d’Eva Braun qu’il avait épousée la veille.
Il se retira et se tua d’un coup de revolver rejoignant dans la mort Eva Braun qui venait de s’empoisonner. Leurs corps, déposés dans un trou d’obus d’une petite cour de la Chancellerie, furent  arrosés d’essence.
A l’extérieur, une poignée de gamins fanatiques continuaient à se battre.
 
A partir de cet instant, vérités et contre-vérités se bousculent au portillon de la réalité historique. De nombreux détails concernant « l’après découverte » des corps sont encore aujourd’hui sujets à conflits entre historiens. Certains pensent même qu’Hitler n’est pas mort dans son bunker et qu’il survécut.  Soyons sérieux !
 

► La rumeur persistante de la fuite
 
A la décharge de ceux qui croient en la  fuite d’Hitler et en sa survie, Staline fut le premier à en être convaincu jusqu’à sa mort malgré les preuves du contraire qu’il détenait. Il préféra laisser courir le bruit que les Américains l’avaient fait échapper et qu’ils le gardaient dans un coin secret.
Le suicide de son pire ennemi laissa Staline dans un état de frustration qu’il ne surmonta jamais laissant le mythe de la fuite s’installer relayé par la chape de plomb sous laquelle les Russes enterrèrent leur découverte.
De surcroît, la découverte du cadavre de Gustav Weler, la doublure d’Hitler, suicidé ou abattu peu avant la chute de Berlin, participa  aussi à la confusion.
 
► Une vérité enfermée durant presque cinquante ans
 
La vérité, connue seulement des Russes, mit beaucoup de temps à être révélée pour au moins deux raisons :
- Il fallut attendre la mort de Staline pour que les premiers témoins des derniers jours d’Hitler, prisonniers des Russes, soient libérés et puissent enfin parler, parmi lesquels: Rochus Misch, garde du corps d’Hitler et témoin de sa mort,  libéré en 1954 mais qui mit des années avant de raconter.
 
- Il fallut ensuite attendre l’effondrement de l’ex U.R.S.S. pour que  tous les témoins de cette affaire, y compris cette fois les Russes, puissent se sentir libres de s’exprimer sur le sujet. En plus de ces témoignages, le tout nouveau libre accès aux  archives soviétiques aida aussi à lever définitivement le moindre doute.
 
► Des restes embarrassants
La "croix" indique le lieu de crémation d'Hitler
La rumeur de la mort du Führer s’étant propagée, le SMERSH* lança une opération de recherche du corps.
 
Le 4 ou 5 mai, des soldats russes se rendirent au bunker d’Hitler où ils ne s’attendaient pas à ce qu’ils découvrirent. Juste à la sortie qui menait au jardin du bunker, ce furent d’abord le corps calciné de Goebbels qui, par manque d’essence n’avait pu se consumer complètement et reconnaissable à son profil caractéristique, celui de sa femme, ceux de ses six enfants et enfin les corps méconnaissables d’Hitler et d’Eva Braun.
Tôt le lendemain matin, une équipe du SMERSH, menée par Ivan Klimenko, prit en charge les cadavres pour effectuer une autopsie effectuée à la clinique de Berlin-Buch. Pour authentifier celui d’Hitler, on mit la main sur l’assistante du dentiste du Führer qui, tant bien que mal, identifia les dents comme les siennes ainsi que celles d’Eva Braun, ce qui sera confirmé des années plus tard avec des moyens plus modernes.
* SMERSH : version anglaise pour l’abréviation du Russe « Smiert chpionam » (« Mort aux espions »), nom utilisé pour désigner les départements de contre-espionnage de l’union Soviétique durant la Seconde Guerre mondiale. Cette organisation, chargée d'éliminer les « traîtres, déserteurs, espions et éléments criminels » de l'Armée rouge, fut démantelée en 1946.
 
Dans le bunker, au milieu de papiers brûlés, d’autres corps gisaient, mais seuls dix furent sujets de toute l’attention des Russes: ceux d’Adolf Hitler, d’Eva Braun, de Goebbels, de sa femme, de leurs six enfants et celui du général Hans Krebs qui s’était suicidé lui aussi dans le bunker.
 
L’autopsie réalisée sur le corps masculin découvert comme étant celui d’Hitler se trouva en partie confirmée : les médecins y notaient en effet l’absence d’une pièce du crâne, celle qui devait permettre de conclure qu’Hitler s’était suicidé par arme à feu. Le morceau retrouvé par la suite reste sujet à caution, puisqu’il semble appartenir à une femme.
En revanche, ce que les Russes avaient découvert et qui resta longtemps ignoré, était une capsule de cyanure dans la fameuse mâchoire démontrant bien la volonté d’Hitler de ne pas rater sa sortie.
 
Et les restes ?
 
Adolf Hitler avait souhaité être inhumé à Linz dans un caveau géant du parti National-socialiste.  Des pierres précieuses venues de l’Oural auraient complété le décor du tombeau en or placé au cœur du caveau…
 
Début juin 1945, ses restes et les neuf autres corps furent transportés jusque Rathenau et inhumés dans un champ (ou une forêt ?) près du village de Neu Friedrichsdorf, à environ un kilomètre à l'est de Rathenau où le SMERSH avait son enceinte.
 
Huit mois plus tard, ils étaient exhumés pour être ensevelis dans la garnison de Magdebourg (Allemagne de l’Est) au 32 et 36 Westerndstraße (aujourd’hui Klausenerstraße) sans que rien ne transpirât auprès des Alliés qui, par ailleurs, ne souhaitaient pas contrarier Staline en quoique cela soit (hélas, pour la future carte de l’Europe !).
Aussi longtemps que le territoire était sous l’autorité soviétique le secret pouvait être bien gardé.
Mais en 1970, devant restituer au gouvernement de l’Allemagne de l’Est les lieux qu’ils occupaient à Magdebourg, les Russes craignirent la découverte des dépouilles et que le lieu devienne un lieu de pèlerinage néo-nazi.
 
Le 13 mars 1970, Yuri Andropov, chef du KGB, adressa une lettre “top secrète” à Leonid Brejnev, découverte avec l’ouverture des archives soviétiques, qui disait :
" En février 1946, dans les locaux de notre camp militaire situé à Magdebourg le Département spécial du KGB, dans le cadre de la 3ème armée, a procédé à l’inhumation des cadavres d’Hitler, Eva Braun, Goebbels, la femme de Goebbels et de leurs enfants. Au total dix corps furent enterrés. Conformément à l’opportunité d’exploitation conforme aux intérêts de nos troupes, le camp militaire est sur le point d’être transféré aux autorités allemandes. Tenant compte d’une possibilité de construction ou autres travaux de terrassement sur l’emplacement qui peut conduire à la découverte du site d’enfouissement, par la présente, je suggère que les restes soient exhumés et détruits par incinération. La procédure sera menée en secret par une équipe d’agents du Département spécial du KGB”.
 
Le 16 mars, Brejnev, Kossyguine, et Podgorny donnaient respectivement leur accord. L’opération de destruction finale des restes d’Hitler et des autres fut nommée “Archive(s) ». Tout se passa comme prévu.
 
Le 4 avril au soir, les os furent déterrés et placés dans des boîtes. A l'aube du 5 avril, les boîtes furent empilées sur un bûcher  à l’extérieur de la commune de Schönebeck à onze kilomètres de Magdebourg puis, d'un pont qui enjambe l'Elbe, à Biederitz (à une vingtaine de kilomètres de Schönebeck), les cendres furent dispersées dans la rivière. Certains affirment que les ossements auraient été brûlés à Magdebourg et les cendres jetées dans les égouts de la ville.
 
Le dossier "Archive(s)" se concluait par cette inscription laconique:  "La destruction des restes a été exécutée dans un feu de camp sur un terrain non cultivé dans la région de la ville de Schönebeck, à onze kilomètres de  Magdebourg."
 
Toutefois, il faudra encore longtemps pour que le secret entourant les restes du personnage et la sombre fascination qu’il continue à exercer cessent d’alimenter l’imaginaire collectif.
L'ultime sépulture d'Adolf Hitler: extrait d'un film sur You Tube importé par GSHelga
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par Marie-Christine Pénin
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