Fils de sainte Jeanne-de-Chantal (avant qu’elle ne soit religieuse !), il appartenait à une très vieille famille de gentilshommes de Bourgogne dont la tradition fut souvent d’afficher de la bravoure et du panache. Celse, d’ailleurs, participa à plusieurs duels, alors interdits, et dut s’éloigner de Paris pour éviter les poursuites.
En 1627, pour rentrer en grâce, il s’engagea comme volontaire dans les troupes qui défendaient l’île de Ré assiégée par les Anglais qui tentaient d’y débarquer. Sa témérité causa sa perte. A un an, sa fille devenait orpheline de père.
Son cœur fut rapatrié à Paris et déposé au couvent des Couvent des Minimes de la place Royale.
Il fut inhumé en l’église Saint-Martin où, dans les années 2000, on pouvait voir, contre une colonne, une plaque de marbre indiquant la présence de sa dépouille. Le problème est que sa présence est également indiquée au couvent des Filles de la Visitation-Sainte-Marie où reposent sa femme et plusieurs membres de sa famille. Y fut-il transféré par la suite ?
30 décembre 2012
► Epistolière française
Château de Grignan et la collégiale à gauche.
© Béa
La collégiale St-Sauveur.
© Jean-louis Zimmermann
Tombe de Mme de Sévigné indiquée au sol.
© Renaud Camus
© Renaud Camus
Marie de Coulanges (1603 – 1633)
Couvent des Filles de la Visitation-Sainte-Marie (Paris)
Portrait présumé
Issue d’une des plus riches familles bourgeoises de l’époque, son père s’était enrichi d’abord comme fournisseur des armées puis comme fermier de gabelles pour la moitié de la France.
A la mort de son mari, elle s’installa dans sa famille où elle mourut. Sa disparition prématurée laissait sa fille complètement orpheline.
Tandis qu'elle était inhumée chez les Visitandines, son cœur et ses entrailles le furent  l’église Saint-Paul-des-Champs (Paris).
Célébrée pour sa beauté et dotée d’un bel esprit, elle avait un caractère plus renfermé que celui de sa mère, ce qui lui valut quelques critiques acerbes. Au travers de leur correspondance, elle révéla plus aimable.
 
En 1669, elle épousa François Adhémar de Monteil de Grignan lieutenant-général de Provence.  Lui, c’était son troisième mariage dont la dot, mirobolante, devait servir à l'amortissement de ses dettes.
Séparée de sa mère pour suivre son mari, elle fut à l’origine des Lettres de l’épistolière. Selon la marquise, François n’était pas
« le plus joli garçon, mais un des plus honnêtes hommes du royaume » .
Les dépenses fastueuses du ménage, pour maintenir son rang, principalement pour l’entretien et les réfections du château de Grignan, les entraînèrent jusqu'à la quasi-ruine dont il fut sauvé en bonne partie par le mariage de Charles de Sévigné, frère de Françoise.
D’une santé fragile, entre autres à cause de ses nombreuses couches, soignée par sa mère, Françoise de Grignan eut le chagrin de perdre son fils unique, Louis-Provence (1671-1704). Elle le suivit l’année suivante dans la tombe et, semble-t-il « peu regrettée de son mari, de sa famille et des Provençaux ». Elle mourut dans son château de Mazargues (depuis, un quartier de Marseille)
Elle aurait été enterrée, dit-on, le lendemain de sa mort en l’église des Grandes Maries du premier monastère de la Visitation de Marseille (un second fut construit par la suite) transformé en école.
Son mari :
 
Henri de Sévigné (1623 – 1651)
Couvent des Filles de la Visitation-Sainte-Marie (Paris)
Issu d’une très ancienne famille de Bretagne, pas riche sans être ruiné, son mariage avec Marie de Rabutin-Chantal lui arrangeait tout de même les finances. Ses contemporains n’en tracèrent pas un portrait flatteur que semble confirmer les recherches. Noceur, grand amateur de duels, il emmena sa femme dans sa propriété des Rochers, près de Vitré. Partageant  sa vie entre la Bretagne et Paris où, dès qu’il le pouvait, ce débauché menait grande vie avec ses maîtresses parmi lesquelles Ninon de Lenclos. Prodigue avec l’argent de sa femme, celle-ci, par amitié et bonté, alimentait les frasques de son époux qui mettait du désordre dans sa fortune.
Son amour des duels et des femmes le perdirent. Entraîné dans une querelle pour les beaux yeux de Mme de Gondran,  il se battit contre le chevalier d’Albret dont il était l’ami. Malgré des excuses et des embrassades, les deux duellistes en décousirent.   Le combat fut rapide.  Sévigné s'enferra dans son épée. Dénouement aussi absurde que la querelle elle-même. Quand la jeune marquise rentra de Bretagne, où elle se trouvait, son mari était déjà enterré: n'ayant ni portrait ni cheveux de lui, c'est à Mme de Gondran qu'elle alla les demander...Son chagrin fut apparemment très grand.
Henri de Sévigné fut inhumé parmi les membres de sa belle-famille.
Sur sa tombe, on pouvait lire cette épitaphe :
"Cy gist haut et puissant seigneur messire Henry marquis de Sévigné, chevalier, seigneur des Rochers. la Haye de Torcé, le Baron, Bodégat et autres lieux, conseiller du roi en ses conseils et gouverneur pour S. M. des ville et château de Fougères, qui avoit épousé dame Marie de Rabutin-Chantal, petite-fille de messire Philippe de Colanges (nota : l'enfeu où fut inhumé Henri de Sévigné appartenait à la famille de Coulanges), conseiller du roi en ses conseils ; il décéda le VIe jour de février MVIcLI, âgé de XXVII ans ou environ"
Eglise Saint-Martin. Google Earth
Ses enfants :
 
Françoise-Marguerite de Sévigné (1646 – 1705)
Eglise des Grandes Maries du premier monastère de la Visitation de Marseille (Bouches-du-Rhône)
François Adhémar de Monteil de Grignan (1632 – 30 décembre 1715)
Eglise Notre-Dame-du-Mont-Carmel Marseille (quartier de Mazargues) (Bouches-du-Rhône)
 
Doté d’une santé robuste jusqu’à l’âge de 83 ans il mourut lors d’un voyage officiel dans une auberge de Saint Pons en revenant de Lambesc vers Marseille. Le capitaine des gardes décida de continuer la route vers Marseille et de ne pas monter sur Grignan où se trouvait le caveau familial. Le 1er janvier 1716, sa dépouille, accompagnée d’un cortège d’officiers et de personnalités suivant son carrosse aux flambeaux allumés, arriva à Mazargues où on ne le mena pas à son château. Il fut directement inhumé tout à coté en l’église Saint-Roch  reconstruite au 19ème siècle sous le vocable de Notre-Dame-du-Mont-Carmel.
Notre-Dame-du-Mont-Carmel qui n'a plus grand chose à voir avec celle du passé, surtout l'environnement... © Pascal Poggi
On connait au moins trois enfants du couple, ceux qui atteignirent l'âge adulte dont Marie-Blanche et Pauline que Mme de Sévigné fit élever chez les Visitandines d’Aix-en-Provence.
Devenue marquise de Simiane, elle joua un rôle important dans la publication de la correspondance de sa grand-mère. Elle serait aussi à l'origine de la destruction d'une partie de la correspondance de la marquise et de toute celle de sa mère. Il est vrai que « fruit de l'infidélité et de l'ignorance d'un copiste » n’inspirait pas la confiance. Pauline, dévote était effrayée par l'audace des « réflexions » de sa grand-mère. Un fait est avéré, le travail des copistes a généré de nombreux raccommodages de l’œuvre originale dont il est parfois bien difficile de retrouver le texte vrai. Toutes deux furent inhumées dans ce couvent.
Charles de Sévigné (1648 – 1713)
Eglise Saint-Jacques-du-Haut-Pas (Paris)
© Monuments historiques, 1999
On peut être étonné de voir les lieux de sépultures de la famille fidèles à l’ordre de la Visitation. Rien que de très normal, puisque Jeanne de Chantal-Rabutin, grand-mère de Mme de Sévigné et plus connue sous le nom de sainte Jeanne-de-Chantal, était la fondatrice de cet ordre.
 

Sources principales: de nombreux ouvrages et sites ont été consultés pour la rédaction de cet article dont le Dictionnaire encyclopédique de la littérature française- Robert Laffont (1999)-
(*) commentaire(s)
© MCP
© Philippe Landru / Cimetières de France et d'ailleurs
Vivant sur le mode de la noblesse d’épée, Charles servait à l’armée et menait une joyeuse existence le reste du temps. Il eut un moment comme maîtresse la libertine Ninon de Lenclos qui avait partagé ses faveurs avec son père…Par ailleurs, et un peu en même temps, on lui comptait l’actrice Champmeslé qui, outre son mari, avait alors Racine dans sa vie...
Mme de Sévigné, tout en s’efforçant de lui éviter ruine et discrédit, le blâmant en lui rappelant la morale chrétienne, fit preuve à son égard de compréhension et de patience, comme elle l’avait avec son père. Elle riait même parfois de ses frasques ou, à ses dépens, de ses déboires.
En 1684, mettant un peu d’ordre dans sa vie dissolue, il épousa Jeanne-Marguerite de Bréhan-Mauron, fille d’un riche conseiller au parlement de Bretagne.
Il abandonna l’armée en 1703 pour s’installer à Paris où sa fin de vie fut sérieuse et même très chrétienne puisqu’il passa ses toutes dernières années dans une cellule du séminaire Saint-Magloire, une communauté de dévots dépendant de l’église Saint-Jacques-du-Haut-Pas où il fut inhumé. Il mourut sans postérité. Ses restes retrouvés au 19ème siècle, lors de travaux du sol, furent placés dans un reliquaire déposé avec d'autres dans un cercueil commun placé sous les dalles du choeur.  Sa veuve lui survécut jusqu'en 1737 et fut inhumée au cimetière de cette même église.
La famille de Mme de Sévigné
En effleurant un peu de sa famille, c'est aussi le femme et la mère qu'on entrevoit.
 
Ses parents :
 
Celse-Bénigne de Rabutin-Chantal (1596 – 1627)
Eglise Saint-Martin de Saint-Martin-de-Ré (Charente-Maritime) puis les Visitandines du Fg Saint-Antoine ?
SÉVIGNÉ Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (1626 - 17 avril 1696)
Collégiale Saint-Sauveur de Grignan (Drôme)
Soutenant les Princes lors de la Fronde, la marquise fréquentait les milieux mondains de ce parti.
 
Veuve à vingt-cinq ans, jolie, spirituelle, confortablement lotie malgré les dettes de feu son époux, bien que courtisée, Marie resta sage. Elle brillait dans les salons où l’on rivalisait d’esprit, cultivait l’art de la conversation orale ou épistolaire. Un tantinet snob, elle restait très attachée à ses origines aristocratiques.
Fouquet, alors en pleine ascension sociale, qui lui fit des avances, fut de ses proches. Elle le soutint discrètement lors de son procès. Sans se mêler de politique, elle prit parti contre Colbert mais se ménageait ses contacts avec la Cour même elle ne la fréquentait pas vraiment.
Occupée à élever ses enfants et à les marier, Françoise-Marguerite épousa François de Castellane-Adhémar de Monteil, comte de Grignan de la meilleure noblesse de Provence.
 
En 1671, Françoise quitta Paris pour rejoindre son mari, laissant sa fille, Blanche, en nourrice chez sa grand-mère. Cette année fut cruciale pour Mme de Sévigné qui, séparée de sa fille, entama l’œuvre qu’on lui connait. Comme toute femme d’esprit et mondaine, elle avait déjà écrit des lettres dans le registre « galant » alors en vogue.
Mais avec le départ de sa fille, le ton et le flux de la correspondance furent bouleversés : deux fois par semaine, parfois davantage, elle lui adressait de longues lettres où tout y passait. Dans le but de ne pas ennuyer sa lectrice, notre épistolière s’adonnait autant aux anecdotes et commérages de Paris, de la Cour aux confidences intimes, qu’aux conseils et aux plaintes, aux gémissements de la douleur de leur séparation.
Elles se retrouvaient de temps à autre à Paris ou à Grignan et dès qu’elles quittaient la pluie du courrier reprenait. Ce flot est sans équivalent. Plus d’un millier de lettres furent retrouvées pour combien de perdues dont les réponses de Françoise.
 
A Paris, installée au cœur du Marais, la marquise, tout en se montrant à la Cour, veillait sur ses biens et sur son fils pour lui éviter la ruine et le discrédit dont la vie de patachon le menaçait. Elle se préoccupait encore et toujours de Françoise dont les finances et surtout son mauvais état de santé la préoccupaient. Pour arranger les affaires, elle maria Charles à la fille d'une riche famille. La ruine était parée, restait la santé.
En 1694, la marquise vint s’installer à Grignan où elle soigna Françoise avec angoisse et dévouement. Celle-ci se remettait quand, à son tour, sa mère tomba malade. Avec l'âge, elle était plus soucieuse de dévotion. C'était aussi dans l'air du temps...
La pensée de la mort ne la quittait plus. A force de la craindre pour la bien-aimée, en deux semaines, elle se laissa emporter par elle.
Dès le lendemain, Mme de Sévigné fut inhumée dans le caveau seigneurial des Grignan en la collégiale Saint-Sauveur. Sa tombe fut profanée en 1793.
Depuis, il se racontait que son crâne avait été scié pour le faire expertiser par un spécialiste de l'époque. On avait même émis des doutes quant à sa présence. En 2005, à l’occasion de travaux, le caveau fut ouvert. Parmi d’autres ossements, on découvrit effectivement un crâne scié en deux.
 
De nos jours, une dalle au sol indique la sépulture de celle dont les écrits restent un inestimable témoignage du siècle de Louis XIV. Sans cette "chroniqueuse", que saurions-nous de la fin de Vatel ?
© MCP
© MCP
► Marie-Blanche de Grignan (1670 - 1735) y devint religieuse en 1686.
► Pauline de Grignan (1676 – 1737)
RETOUR LITTÉRATURE
Ce furent surtout les vingt-cinq dernières années de sa vie qui firent de Mme de Sévigné, notre plus célèbre auteure de Lettres.
 
Issue de la noblesse par son père, Celse de Rabutin-Chantal et d’une très riche famille bourgeoise par sa mère, Marie de Coulanges, Marie se trouva orpheline à sept ans. Confiée à l’affection de sa famille maternelle, elle reçut une éducation souple et libérale ainsi qu’une solide instruction littéraire et linguistique plutôt exceptionnelle pour une fille à l’époque. La logique sociale n’ayant cure de son capital intellectuel, en 1644, elle épousa Henri de Sévigné qui lui fit deux enfants : Françoise-Marguerite et Charles.
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par Marie-Christine Pénin
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