RETOUR NAPOLÉON III SECOND EMPIRE
HAUSSMANN Georges Eugène, baron (1809 – 11 janvier 1891)
Cimetière du Père-Lachaise, 4ème division (Paris)
6 août 2012
Paris et Haussmann : deux noms à jamais indissociables à la grande joie des uns ou à la grande tristesse des autres. Jugé dévastateur ou urbaniste de génie, son œuvre prête aujourd’hui encore à polémique.
 
A rechercher le Paris d’antan, une indicible nostalgie nous envahit parfois. Pour s’imprégner d’une atmosphère on aimerait que la capitale ait conservé  des strates superposées de son évolution dans lesquelles on irait se perdre en remontant le temps. Mais à quoi pouvait bien ressembler ce Paris disparu objet de fantasmes ?
Pas à un endroit où les parisiens d’aujourd’hui aimeraient vivre. Malgré les amorces de modernisation du 18ème siècle, du Premier Empire et de la Restauration qui, à de rares exceptions, ne relevaient pas d’une vue d’ensemble, le Paris de la moitié du 19ème siècle n’était pas si éloigné de celui du Moyen Age.
La ville, terriblement exiguë, ne comportait que de rares places qui s’ouvraient au cœur d’un dédale de rues étroites et sombres où s’entassait une population dans de nombreux quartiers misérables. L’hygiène était catastrophique. En février 1832, la grande épidémie de choléra avait sonné comme un avertissement.
Exemple type d'une rue de Paris à l'époque: la rue des Anglais (1860), disparue.
© Marville
Les Trois glorieuses et la révolution de 1848 avaient aussi démontré que leur succès s’était bâti sur l’incapacité de l’armée à manœuvrer dans les ruelles étroites alors que les insurgés y construisaient aisément des barricades difficiles à franchir.
Autant de raisons qui poussèrent Napoléon III à modifier de façon radicale la structure de Paris. De plus, en exil en Angleterre, le futur empereur avait pu apprécier un Londres très en avance sur notre capitale. Presque entièrement brûlée lors de l’incendie de 1666, elle avait été reconstruite en cité moderne permettant le développement des services municipaux, de l’éclairage, la poste, le télégraphe, des égouts, des omnibus etc.
Arrivé au pouvoir, Napoléon III pouvait réaliser son rêve ; restait à trouver un homme capable de diriger des opérations de grande ampleur. Ce fut Haussmann.
 
Né d’une famille protestante, il avait connu une ascension politique foudroyante. D’un premier poste modeste, de secrétaire général de la Vienne en 1831 à la haute fonction de préfet de la Seine, à laquelle le nomma Napoléon III en 1853, il avait fait preuve d’une habileté politique peu commune.
 
Homme d'action rigoureux et organisé, il eut pour mission « d'aérer, unifier et embellir la ville ». L’empereur et Haussmann formèrent un tandem efficace. Obsédé par  la ligne droite, il était  prêt à amputer et à démolir pourvu qu’on puisse percer encore et encore des boulevards, des avenues, créer des places, aménager des espaces verts pour améliorer l’hygiène par une meilleure qualité de l’air, etc.
Pas moins   de quatre-vingt squares, le parc Montsouris ou encore celui des Buttes-Chaumont virent le jour. D'autres espaces existants furent  transformés et passèrent du statut d'espaces verts à celui de hauts lieux voués à la promenade (bois de Vincennes et de Boulogne).
Les Buttes-Chaumont: plutôt que de supprimer la butte comme il le fit avec d'autres dénivellations, Haussmann l'aménagea en lieu d'agrément.
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Quai des Orfèvres et le pont Saint-Michel: les travaux d'agrandissement du Palais de Justice firent disparaître tout un ensemble de maisons anciennes dont l'officine du très populaire arracheur de dents, Sabra.  
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Percement de l'avenue de l'Opéra: pour dégager la perspective de l'Opéra, il fallut arraser la butte des Moulins. Ce quartier élevé sur les remblais de l'enceinte de Charles V était voué au jeu et la prostitution.
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Rue Réaumur: élargie, elle est  de nos jours une des grandes artères de Paris.  Avant les travaux d'Haussmann, elle traversait un des coins les plus sinistres de la capitale.
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Ouverture du boulevard Henri IV
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Haussmann développa dans la cité intra-muros les deux axes du plan romain dont le tracé existait encore : la voie nord-sud (cardo) avec l'axe des rues Saint-Martin et Saint-Jacques, et l'est-ouest (decumanus) avec les rues Saint-Antoine et de Rivoli. Doublant la première voie avec les boulevards de Sébastopol et Saint-Michel ; poursuivant la seconde en perçant la rue de Rivoli jusqu'à la place de la Concorde qui ouvrait sur les Champs-Elysées. L'idée n'était pas nouvelle, Napoléon Ier en avait déjà formulé le projet. Mais Haussmann lui donna sa dimension moderne en joignant l'est et l'ouest de la capitale sur les deux rives. A l'axe « Rivoli-Seine » répondait l'axe « Saint-Germain-Seine ».
Sur internet, la liste exhaustive de ses réalisations se trouve facilement. Je la résume avec la carte ci-dessous.
Enfin, Paris ne serait pas Paris sans un autre grand bouleversement : l’agrandissement de la capitale par l’annexion des communes limitrophes en 1860. De cette année là datent les 20 arrondissements de Paris qui n’en comprenait alors que 12 limités par le mur des Fermiers-Généraux. Paris doubla d’un seul coup sa superficie.
Eglise St-Sulpice et la rue du Vieux-Colombier: comme le montre bien l'état actuel, on procédait à l'élargissement d'une artère en abattant les maisons d'un côté. Si le coin de droite n'a pas changé, celui de gauche s'est "haussmannisé"
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
© MCP
© MCP
Allez, une petite dernière...
Le  boulevard Arago: photographié en 1867. Trois ans après son percement, cette artère n'était pas encore très lotie malgré les grands emprunts lancés par l'Etat. Dans des quartiers considérés plus chics, la spéculation battait déjà son plein. Un coup à regretter de ne pas avoir été vivant à ce moment là à condition de l'être toujours aujourd'hui...
Charles Marville/Les Editions du Mécène et Gilles Leimdorfer pour le Figaro Magazine.
Pendant plus de seize ans, Paris se transforma en un gigantesque chantier que stoppa la guerre de 1870 et l’exil de Napoléon III. Les Parisiens n’en avaient pas fini pour autant avec le bruit et les cloaques. Les travaux reprirent et, trente ans plus tard, la première ligne de métro voyait le jour en 1900.
 
Mais tout ce chambardement eut un prix. La destruction de quartiers entiers, les expropriations massives et la faillite de nombreux petits propriétaires aux biens détruits valurent à Haussmann l'hostilité des Parisiens.
En parallèle, les nouveaux règlements imposaient des constructions d'un niveau de standing élevé, les fameux immeubles haussmanniens dont on lui reprocha la monotonie. Il en résulta une forte spéculation immobilière qui excluait de facto les classes les moins aisées de la société parisienne. On murmurait que les grands travaux de Paris enrichissaient certains dont le préfet lui-même. Il faut dire qu'il menait grand train le préfet, mariant royalement sa fille et donnant prise, par son comportement de parvenu, à toutes sortes d'attaques. On peut imaginer l'effet dévastateur sur ses contemporains lorsqu'il fendait la foule des réceptions officielles en déclarant, sur un ton badin : «Allons, allons, de la place, messieurs, vous savez combien j'aime les larges avenues!»
 
L'activité d'Haussmann au service de la transformation de Paris lui  permis d'accéder à la fonction de sénateur (1857) et de membre de l'Académie des Beaux-Arts (1867).
Quelques mois avant la chute de Napoléon III,  il fut destitué de son pouvoir par le nouveau cabinet en place. Ses successeurs poursuivirent son œuvre.
 
Après s'être retiré pendant quelques années près de Bordeaux, il revint à la vie publique comme député de la Corse de 1877 à 1881. Il resta bonapartiste et  consacra la fin de sa vie à la rédaction de ses Mémoires, un document important pour l'histoire de l'urbanisme de Paris.
 
Ainsi disparurent des pans entiers de l’histoire de Paris, même si d’autres furent à peu près conservés, comme le Marais.  
Mais le jugement sévère, et parfois justifié, des détracteurs contemporains de cette destruction ne doit pas occulter le nôtre. Paris bascula dans la modernité sans tuer son romantisme. Elle devint la ville lumière…
 
Le baron Haussmann mourut à Paris où un  grand boulevard, desservant de nombreuses célèbres enseignes parisiennes (Printemps, Galeries Lafayette, etc.),  porte son nom.  
Paris ne pourra jamais oublier Haussmann…
 
Il fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise. Si la chapelle familiale n'a rien d'ostentatoire, elle ne se situe pas n'importe où. La tombe se dresse sur l'avenue principale, une belle avenue bien droite et très chic...
Sources principales:
Ouvrage que je recommande tout particulièrement pour les amoureux de Paris qui ne le connaîtraient pas encore, illustré par de sublimes photos de 1852 à 1870 signées Charles Marville et Nadar :
-Paris sens dessus-dessous de Philippe Mellot- Ed. Michèle Trinckwel  (1993).
Sur le même principe, il existe en complément : Le nouveau Paris sens dessus-dessous du même auteur et du même éditeur (1995) avec des photos de Marville de 1864 à 1877.
 
- http://www.lefigaro.fr/photos/2009/03/27/01013-20090327DIMWWW00367-paris-avant-et-apres-haussmann.php
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par Marie-Christine Pénin
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