Représentation du Malade imaginaire à Versailles devant Louis XIV
Qui dit "Béjart" dit "Armande" !  Très réducteur, car la tribu avait déjà, et depuis longtemps, son patronyme en haut de l'affiche de la troupe de Molière quand Armande rentra dans sa vie, à commencer par Madeleine sans laquelle il n'est pas certain que Jean-Baptiste Pocquelin soit devenu l'llustrissime  Molière.
 
Dans l’histoire du théâtre les dynasties d’acteurs ne sont pas exceptionnelles. Cependant, rares sont celles qui firent couler autant d’encre que la tribu Béjart. Toutes n’eurent pas non plus le privilège de lier leur destin à celui de Molière.
Outre leur histoire théâtrale commune indissociable de Molière, il ressort de cette fratrie un sentiment de liens très forts : un véritable clan se soutenant envers et contre tout durant toute leurs vies respectives et au-delà. C’est ce qui m’a le plus frappée au fur et à mesure de la lecture des documents biographiques.
 
Dans la famille Béjart, il y eut d’abord le père, Joseph, qui épousa la mère, Marie Hervé. De leur union naquirent : Joseph, Madeleine, Elisabeth, Jacques, Anne, Geneviève, Louis, Charlotte et Bénigne. De cette nombreuse fratrie quatre eurent leurs noms associés au Théâtre: Joseph, Madeleine, Geneviève et Louis . Excepté Jacques, souvent confondu avec son frère Joseph, et dont on ne sait guère de choses,  les autres semblent avoir disparu relativement jeunes.
 
Et puis il y eut le cas Armande que l'on verra un peu plus loin.
Sœur ou fille de Madeleine ?  Tout le monde s’en ficherait si Madeleine n’avait pas été la maîtresse de Molière laissant supposer, par les ennemis de Jean-Baptiste, que celui-ci avait donc épousé sa fille…
Joseph Béjart, le père (1585  – 1642/1643)
Passons rapidement sur Joseph père sur lequel les informations se réduisent à être :  « sieur de Belleville, huissier audiencier à la grande maîtrise des Eaux et Forêts » et qu’il épousa  Marie Hervé en 1615. On ignore son année de décès exacte.
Marie  Béjart, la mère (v. 1596 – janvier 1670)
Sous les charniers de l'église Saint-Paul-des-Champs (Paris)
 
En date du 10 ou 19 janvier, les registres de l’église Saint-Paul nous prennent  que « le corps de Madame Béjart a été apporté de Saint-Germain-l’Auxerrois et inhumé dans les charniers de l’église Saint-Paul le même jour ».
Quant aux registres de Saint-Germain-l’Auxerrois ils indiquent que « le dit jour (IVe janvier 1670) fut inhumée en l’église de Saint-Paul Marie Hervé âgée de quatre-vingts ans, décédée hier sur les six heures du matin, veuve de Joseph Béjart bourgeois de Paris, prise rue Frementeau, portée en carrosse en la susdite église  par permission » « signé Villambrun son gendre, Louis Béjart, fils de Marie Hervé » Selon une autre source elle serait morte le 9 janvier.
Joseph Béjart, dit l’Aîné  (1616/1617 – 25 mai 1659)
Sous les charniers de l'église Saint-Paul-des-Champs (Paris)
Sans pouvoir fixer avec précision ses débuts dans la troupe de Molière, on sait qu’il s’associa à toutes les tentatives théâtrales de sa sœur Madeleine. Il contribua en 1643 à la création de L'Illustre Théâtre.
La nature l’avait affublé d’un fort bégaiement. Bien que ce défaut, qui ne put être corrigé, le relégua dans des rôles marqués, il lui arriva d’interpréter des rôles de jeune premier. Suivant la troupe dans toutes ses pérégrinations provinciales, il profita de son passage à Lyon pour faire imprimer un recueil qu’il avait commencé dans le Languedoc.
Ce "Recueil des titres, qualités, blasons et armes des Seigneurs des Etas généraux de la province du Languedoc tenus en la ville de Montpellier en 1654 " avait peut-être été rédigé pour s’attirer les bonnes grâces des susdits seigneurs. Fort de ce premier succès littéraire, il en rédigea un second sur le même sujet mais concernant les Etats généraux tenus à Pézenas en 1655. Revenu avec la troupe à Paris, il jouait Lélie dans L'Étourdi quand il fut prit d’un malaise le 10 mai 1659. Son mal empira et, le 25, il trépassa sans avoir connu les années de gloire de la troupe. Il était considéré comme un honnête homme, un érudit en science héraldique et un comédien consciencieux. A défaut de la richesse qu’on lui prêta par la suite, Joseph avait certainement de substantielles économies quand il mourut.
 
Acte d’inhumation extrait des registres de la paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois
« Du dict jour (lundi 26 mai 1659) convoi de cinquante » - prêtres ? –  et quatre  - porteurs – vespres de Joseph Beygar  comédien pris sur le quai de l’Escholle et porté en carrosse  à St Paul. Reçu 20 l. » .
Geneviève Béjart, dite Mlle Hervé  (1624 – 3 juillet 1675)
Très probablement le cimetière des Aveugles (Paris)  
Geneviève avait contribué à la fondation de la troupe de l’Illustre Théâtre en 1643 et suivit la troupe dans ses déplacements en province.
Plus effacée que les autres, elle jouait les confidentes et les utilités sous le nom de sa mère, Mlle Hervé afin d’éviter trop de Béjart à l’affiche.
 
Elle se maria une première fois, puis convola une seconde fois avec le dénommé Jean-Baptiste Aubry des Carrières. Elle prit alors Aubry comme nom de scène, d’où parfois la confusion avec une autre actrice Mlle Aubry.
Après la mort de Molière, elle suivit la troupe qu’Armande et La Grange transférèrent rue Guénégaud. Le registre mortuaire de Saint-Sulpice indique que « le quatrième jour de juillet 1675 a été fait le convoi, servi et enterrement de Geneviève Béjart, âgée de quarante quatre ans, femme du sieur Aubry, paveur ordinaire du Roy ».
Elle n’avait pas quarante quatre ans mais bien cinquante et un ans. Pardonnons cette coquetterie à cette femme de théâtre dont le second mari était bien plus jeune qu’elle.
Louis Béjart dit cadet ou l’Eguisé (1630 – 13 octobre 1678)
Très probablement le cimetière des Aveugles (Paris)  
Déjà associé à ses aînés en 1653, on ne sait quand exactement il rejoignit la troupe où il se vit confier des quatrièmes et troisièmes rôles tragiques ou de second valet. Un jour, un valet de chambre, pour une raison ignorée, le blessa à la cuisse d’un coup d’épée. Louis en devint boiteux, infirmité dont de méchants pamphlets se moquèrent en rajoutant qu’il était borgne !
Quatre siècles se sont bientôt écoulés depuis la naissance d’Armande et le mystère sur l’identité de son père et de sa mère reste entier. Déjà de son vivant, Molière, que ses ennemis et rivaux,  comme Montfleury, accusaient d’être le père de sa femme, dut répondre de cette calomnie auprès du roi en lui présentant l’acte de baptême d’Armande. Louis XIV, rassuré par cette lecture, voulut clouer le bec aux détracteurs du couple en portant lui-même leur premier enfant sur les fonds baptismaux.
Esprit Madeleine Pocquelin Molière (1665 - 23 mai 1723)
Ancienne église Saint-Denys d'Argenteuil (Val-d'Oise)
Armande et Molière eurent trois enfants dont deux fils qui moururent en bas-âge.
Restait donc sa fille, Esprit Madeleine Pocquelin Molière. Orpheline de père, dotée d’une mère qui se refusait à abandonner le théâtre, Madeleine passa une quinzaine d’années au couvent.
Excepté exiger de sa mère ses comptes de tutelle à sa majorité, on ignore ce qu’elle fit après sa sortie du couvent.
Puis, on reprend le cours de sa vie. Elle rencontra Claude Rachel de Montalant 1646 -1738) de dix-neuf ans son aîné, organiste à Saint-André des-Arts de Paris dont l’excellente réputation n’était plus à faire.
Ils se marièrent en 1705 et, avec le temps, s’installèrent à Argenteuil où ils vécurent retirés et paisibles. Madeleine fut inhumée dans l’ancienne église Saint-Denys d’Argenteuil démolie en 1864/1865.
 
Le 4 juin 1738, le talentueux organiste s’éteignait à son tour. Conformément à ses dernières volontés, on l’inhuma chez les Augustins Déchaussés d’Argenteuil. Sa tombe fut détruite lors de la Révolution.
Ancienne église Saint-Denys d'Argenteuil
Armande Grésinde Claire Elisabeth Béjart (v. 1640 - 30 novembre 1700)
Eglise Saint-Sulpice (Paris)  
A l’époque, les scènes de désordre étaient fréquentes dans les théâtres, entre autres dues aux mousquetaires. Molière obtint de Louis XIV que les soldats du roi n’entrassent plus gratis aux représentations. Furieux, ceux-ci enfoncèrent les portes du théâtre en assommant à moitié les gagistes. Louis, costumé en vieillard pour la pièce à jouer, intervint en les priant d’épargner au moins un vieillard de soixante-quinze ans. Ce trait calma les esprits ; Louis en conserva son surnom de l’Eguisé que l’on retrouve à son décès dans les registres de la paroisse Saint-Sulpice.
Il se retira en 1670 de la troupe et vécut confortablement de sa pension (il fut le premier acteur pensionné), d’une rente de sa sœur Madeleine et de sa propre épargne. A la mort de Molière en 1673, il suivit Armande, Geneviève et son mari dans un même logis.
 
Le registre mortuaire de Saint-Sulpice indique que « Louis Béjart, sieur de Léguisé, officier au régiment de la Ferté, âgé d’environ quarante-cinq ans, mort le treize rue Guénégaud, au logis du sieur Mécard, marchand chandelier, et ont assisté au dit enterrement Jean-Baptiste Aubry et Isaac-François Guérin, beaux-frères du défunt ». Il fut probablement inhumé dans le même cimetière que Geneviève.
Mais rien n’y fit, la médisance traversa les siècles traînant avec elle ses interrogations auxquelles personne ne peut répondre puisque le fameux acte de baptême n’a jamais été retrouvé comme d’ailleurs celui de Joseph et de Geneviève Béjart.
Comme seule la récupération de ce document permettrait de clore le débat, on a pas fini d'en parler...
 
A la grande tristesse de Madeleine Béjart, Molière troussait une actrice, la Debry, quand il tomba amoureux d’Armande, de vingt ans sa cadette, qui suivait la troupe depuis quelques temps. Surmontant moult difficultés, il l’épousa le 12 février 1662. En 1663, elle fit ses premiers pas sur scène sous le nom de Mlle Molière avant de créer les premiers rôles féminins tels que celui d'Elmire, dans Le Tartuffe, d'Angélique, dans Le Malade imaginaire, etc.
 
Sans être belle, Armande était piquante et capable d’inspirer une grande passion.
Que n’a-t-on pas écrit sur le ménage Molière ! Armande fut-elle une coquette imprudente ou vraiment infidèle ? A sa décharge, ne s’étant pas mariée par amour, son quadragénaire de mari, morose, songeur, affairé et jaloux n’engendrait pas la joie au logis. Et Molière n’était pas auréolé de la gloire qu’on lui connait aujourd’hui… Quoiqu’il en soit, elle était présente à son dernier soupir et ne ménagea pas sa peine pour lui obtenir un lieu de sépulture décent.
 
Après la mort de Molière, Jean-Baptiste Lully fit en sorte de chasser la troupe du Palais Royal. Armande et La Grange installèrent la troupe rue Guénégaud qui fusionna avec celle du Marais. Tous deux veillèrent à la survie de l’œuvre de Jean-Baptiste. Dans son théâtre, elle continua à interpréter les rôles qu'il avait écrits pour elle,  comme à la Comédie Française dont elle fut sociétaire dès sa création en 1680.
 
En 1677, enceinte de ses œuvres, elle se remaria avec le comédien Isaac François Guérin d’Estriché avec qui elle connut une vie de couple simple et heureuse faisant les beaux jours de l’hôtel Guénégaud.
 
Armande se retira des planches en 1694 et mourut à son domicile parisien de la rue de Touraine, aujourd’hui rue Dupuytren. Elle fut inhumée le 2 décembre en l’église Saint-Sulpice.
Les sépultures de l'église furent profanées durant la Révolution, laissant sur le sol des milliers d'ossements. Ceux d'Armande s'y trouvaient très certainement.
 
Isaac François Guérin d’Estriché joua jusqu’à ses quatre-vingt ans. Il fallut une attaque d’apoplexie pour qu’il acceptât enfin de se retirer. Il mourut en 1728 doyen de la Comédie française.
Sources principales : Dictionnaire des comédiens français d'Henry Lyonnet
Sources Madeleine Molière : http://www.musimem.com/moliere.htm
(*) commentaire(s)
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LES BÉJART ET MOLIÈRE
Madeleine Béjart  (1618 – 17 février 1672)
Sous les charniers de l'église Saint-Paul-des-Champs (Paris)
Molière connaissait la famille Béjart quand il rencontra Madeleine, déjà comédienne, en 1642. Madeleine à qui Molière devait tant et dont le nom ne peut en être séparé.
L’année suivante, Madeleine signa l’acte de création de l’Illustre théâtre. Femme de tête et d’affaires, elle fut la maîtresse, le guide et le conseil de Molière et aussi celle qui tenait la caisse ! Elle fut le bon génie qui présida à l’éclosion de l’œuvre de Molière.
Selon Tallemant des Réaux « Elle était belle, elle était galante, elle avait beaucoup d'esprit, elle chantait bien; elle dansait bien; elle jouait de toute sorte d'instruments; elle écrivait fort joliment en vers et en prose et sa conversation était fort divertissante. Elle était de plus une des meilleures actrices de son siècle et son récit avait tant de charmes qu'elle inspirait véritablement toutes les feintes passions qu'on lui voyait représenter sur le Théâtre.»
Alors que Molière la trompait avec la Debry, une actrice de la troupe, il n’était pas indifférent aux charmes d’Armande qui suivait la troupe depuis quelques temps ; Armande qu’il épousa en 1662. Bien que blessée dans son amour, Madeleine sut s’incliner devant les faits. En 1670, elle jouait encore Cléonice dans Les Amants magnifiques.
Le 10 janvier 1672, la troupe se donnait à Saint-Germain quand Madeleine tomba malade. Selon sa volonté, elle fut inhumée auprès des siens. Molière et Béjart cadet signèrent son acte d’inhumation.
Femme d’affaires jusqu’au bout elle avait tout prévu pour la répartition de ses biens après sa mort.
Englobée dans la gloire de Molière, Madeleine n’a peut-être pas la place qu’elle mérite dans l’histoire du théâtre.
Extrait du registre paroissial de Saint-Sulpice
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
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au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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