RETOUR ANGLETERRE - IRLANDE - ECOSSE
JACQUES II D’ANGLETERRE ET D’IRLANDE ou JACQUES VII D’ECOSSE (1633 – 16 septembre 1701)
Couvent des Bénédictins anglais de la rue Saint-Jacques (Paris)
Fils de Charles Ier d'Angleterre et de Marie-Henriette de France, il accéda au trône à la mort de son frère aîné, Charles II d’Angleterre, en 1685. Par son arrière-grand-mère paternelle, il appartenait à la Maison des Stuart régnant sur l’Ecosse.
Dans une Angleterre anglicane, son catholicisme, auquel il s’était converti (1668/1669), mais aussi sa politique pro-française et ses ambitions absolutistes le rendirent très impopulaire, et il dut affronter une opposition de plus en plus radicale de la part de l'élite religieuse et aristocratique anglaise.
Monument d’origine - gravure de Le Roy
De nos jours © MCP
© MCP
-les entrailles : placées dans deux urnes dorées, une partie fut déposée en l’église de Saint-Germain-en-Laye, et l’autre au collège des jésuites anglais de Saint-Omer, actuel lycée Alexandre Ribot (Pas-de-Calais). En 1686, le Père John Warner avait quitté la direction de ce collège pour devenir confesseur de Jacques II qui, après avoir laissé l'Angleterre, passa par le collège avec sa suite.
 
On pensait les entrailles de « Saint-Germain-en-Laye » perdues quand, le 12 juillet 1824, au cours des travaux de déblaiement nécessaires pour la construction du clocher actuel, on découvrit trois boites en plomb : l’une portait une inscription gravée sur une plaque d’étain : « Ici est une portion de la chair et des parties nobles du Corps du Très-haut, Très-puissant, Très-excellent Prince Jacques, second du nom, Roi de Grande-Bretagne ».
En septembre 1824, ces reliques furent inhumées en grande pompe et déposées sur un autel provisoire dans l'attente de la construction d'un monument définitif.
 
George IV d’Angleterre, ne souhaitant pas faire revenir en Angleterre des reliques de cet ancien roi catholique détrôné, préféra participer à la construction de la nouvelle église. Grâce en grande partie à son financement, un monument funéraire fut érigé dans la première chapelle du bas-côté droit et achevé en 1828 date à laquelle un cercueil contenant les trois boîtes put y trouver place.
En marbre blanc, inspiré de l’art funéraire antique, il fut réalisé par les architectes Alexandre Malpièce (1789-1864) et Jean Aimé Moutier (1791-1879), qui travaillaient alors sur l’édification de l’église. Le curé Collignon en rédigea l’épitaphe latine.
En 1855, lors de sa visite à Saint-Germain-en Laye, la reine Victoria décida de faire restaurer à ses frais le mausolée et finança la décoration de la chapelle et plus particulièrement la peinture décorative des murs réalisée par Blanchin. Les travaux furent effectués en 1857.
 
Et les deux autres boîtes que contenaient-elles ? On parle de « restes » de Marie d’Este-Modène et de sa fille, Louise-Marie Stuart. Mais de quels restes s’agit-il ? Ce ne peut être ni leurs corps, ni leurs cœurs dont les lieux d’inhumations sont identifiés avec précision. Et les entrailles ou autres viscères ? Les entrailles, bien que réputées inhumées au collège des Ecossais (plaques au sol à l’appui), l’acte de décès de Louise Marie Stuart, tenu par les registres de la paroisse de Saint-Germain, précise « […] et ses entrailles enterrées dans le sanctuaire du grand autel de notre église, vis à vis celles du roy Jacque second, de glorieuse mémoire, son père […] » Il s’agit clairement d’une portion des entrailles ou d’autres viscères. Idem pour sa mère.
Ancien collège des jésuites anglais à Saint-Omer
Eglise de Saint-en-Laye : chapelle Saint-Georges abritant le monument « aux quelques restes »
de Jacques II, de sa femme et de sa fille. © MCP
© MCP
A la mort de son père, bien que proclamé roi sous le nom de « Jacques III d'Angleterre et d'Irlande et VIII d'Écosse » par ses partisans, il ne parvint jamais à reprendre l’un de ses trônes. À l'échelle européenne, la plupart des pays avaient reconnu Guillaume III et Marie II d'Angleterre comme seuls souverains légitimes. La France tenta bien d'organiser son débarquement en Ecosse pour soulever le pays en sa faveur, mais une tentative en 1708 ne lui permit même pas de débarquer. Le traité d'Utrecht (1713) ayant engagé Louis XIV à reconnaître la loi de succession anglaise et à ne plus soutenir les revendications jacobites, il refusa la présence de Jacques François Stuart en France qui dut trouver refuge à Bar-le-Duc auprès du duc de Lorraine Léopold Ier et de ses parents. En 1715, après un débarquement en Ecosse pour une nouvelle vaine tentative de prise du pouvoir en Angleterre, il rembarqua pour la France. Après cet échec, le « Vieux Prétendant » se rendit à Avignon avant d’être contraint de la quitter et de s’exiler à Rome (1717) où le pape Clément XI lui accorda sa protection et où il mourut.
►Jacques François Stuart (1688 – 1er janvier 1766)
►Charles Edouard Stuart (1720 – 21 janvier 1788)
Resté dans la mémoire populaire sous le nom Bonnie Prince Charlie, il naquit durant l’exil italien de ses parents. Dit le « Jeune prétendant » pour le distinguer de son père, Jacques François Stuart, en le nommant Prince régent, ce dernier lui donna autorité à agir en son nom.
En 1745,  il mena un soulèvement pour tenter de rendre le trône à son père. Pour l’appuyer, il comptait sur une flotte française qui, endommagée par la flotte anglaise, fit demi-tour.  Charles dut alors essayer de lever une armée en Ecosse. Malgré un accueil mitigé des clans des Highlands, d’allégeance jacobite, il réussit à réunir une troupe suffisante pour marcher sur Edimbourg, qui se rendit rapidement. Dans la foulée, il défit la seule armée gouvernementale anglaise à la bataille de Prestonpans (21 septembre 1745).
Fort de cette victoire, et contre l’avis de ses conseillers, il décida de marcher sur Londres. Cette expédition se termina par sa défaite écrasante le 16 avril 1746 à la bataille de Culloden (Ecosse). Le vainqueur anglais, le duc de Cumberland (1721-1765), organisa d’atroces représailles qui lui valurent le surnom de « boucher des Highlands ».
Sa tête mise à prix, déguisé en femme, le virtuel Charles III d’Angleterre erra durant cinq mois escorté de deux ou trois compagnons. En septembre, il réussit à embarquer sur un navire français qui le ramena en France. La cause des Stuart était définitivement perdue. Charles passa le reste de sa vie en exil.
 
A sa mort, son frère, le cardinal Henri Benoît Stuart, le fit inhumer dans la cathédrale San Pietro Apostolo à Frascati. A la mort de ce dernier, le corps de Charles Edouard fut transféré auprès de celui de son frère et de son père dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Seul son cœur resta dans la cathédrale.
Cathédrale de Frascati © LPLT
Monument funéraire d’origine et carditaphe en la cathédrale San Pietro Apostolo à Frascati. http://www.jacobite.ca/gazetteer/Frascati/Cattedrale.htm
►Henri Benoît Stuart (1725 – 13 juillet 1807)
Fils cadet de Jacques François Stuart, prétendant jacobite aux trônes d'Angleterre, d'Ecosse et d'Irlande sous le nom d’Henri IX, cardinal-duc d'York, il partit pour la France en 1745 afin d'aider son frère, le prince Charles Stuart, à préparer la campagne militaire jacobite pour reprendre les trônes que leur grand-père avait perdus. Après leur défaite, il retourna en Italie.
Ordonné prêtre (1748) , puis fait archevêque titulaire de Corinthe (1758), il fut nommé cardinal-évêque au titre suburbicaire de Frascati (1761) où il résida et travailla de nombreuses années tout en se rendant chaque jour à Rome où sa fonction de vice-chancelier l'appelait.
Lorsque Charles mourut, il se considéra lui-même comme le roi Henri IX d'Angleterre et Henri Ier d'Écosse. Malgré ses prétentions publiques au trône, Henri reste un homme paisible, soucieux de ses devoirs.
Après avoir bénéficié de revenus conséquents, la Révolution lui fit perdre tous ses gains comme abbé commendataire. Il perdit d’autres biens et ne reçut jamais des sommes promises par le gouvernement anglais. Mort à  Frascati, la durée de son cardinalat est le plus long de l'histoire de l'Eglise catholique romaine (60 ans et 10 jours).
Jacques François, Charles et Henri Benoît Stuart partagent le même sarcophage dans les grottes vaticanes et le même mausolée en la basilique Saint-Pierre, œuvre du sculpteur Antonio Canova (1757-1822).
Sarcophage des Stuart dans les grottes vaticanes.
Merci à Philippe Landru pour cette photo
Mausolée dans la basilique © MCP
© MCP
►Marie-Clémentine Sobieska (1702 - 18 janvier 1735)
Petite-fille du roi Jean III de Pologne, avec son époux, Jacques-François Stuart, elle s'établit à Rome où son parrain, le pape Clément XI, lui offrit le Palais Muti, un manoir dans les environs d'Albano (Latium) et des apanages. Après la naissance d’Hneri Benoît, elle se sépara de son mari pour infidélité et se retira au couvent Sainte-Cécile de Rome. Elle y resta deux ans, perdant peu la raison et la santé. Elle mourut au palais Muti et ne partage pas la sépulture de ses mari et fils.
Elle reçut les honneurs de funérailles royales à la Basilique Saint-Pierre à Rome. Clément XII demanda la création d'un monument dont son successeur, Benoît XIV, commanda la sculpture à Pietro Bracci (1700–1773).
Pompe funèbre de Marie-Clémentine à Rome
Tombeau © MCP
Sources principales :
 
-Vie de Jacques II roi d’Angleterre D’après les Mémoires écrit de sa main du révérend J.S. Clarke (1819)
-Dictionnaire universel des synonymes de la langue française contenant les snonymes de Girard […] et ceux de Beauzée, Dalembert (sic) Diderot et autres écrivains célèbres –Volume 2 (1818).
-The Jacobite Court in Exile at Saint-Germain and the Stuart papers par le Dr Gent-Rouffiac -Service Historique de la défense © Cengage Learning
-Archives du musée d’archéologie nationale
-Histoire de Paris et de ses environs par M. J. de Gaulle (1839)
-Topographica et Geneologica -Vol. VII (1841)
(*) commentaire(s)
18 février 2021
Lorsque sa seconde épouse, Marie d'Este-Modène, donna naissance à un fils, Jacques François Stuart, laissant présager la mise en place d'une dynastie catholique, les nobles anglais demandèrent l'aide du protestant Guillaume III d'Orange, son neveu, qui avait épousé sa fille Marie (future Marie II d'Angleterre). Guillaume débarqua en Grande-Bretagne à la tête d'une armée hollandaise et Jacques II fut contraint de se réfugier en France.
Considérant que sa fuite équivalait à une abdication, le Parlement accorda la couronne à Guillaume et Marie qui régnèrent conjointement à partir de 1689 sous les noms de Guillaume III et de Marie II.
Avec le soutien de troupes françaises, Jacques tenta bien de récupérer son trône en débarquant en Irlande, mais ses partisans furent défaits lors de la bataille de la Boyne en juillet 1690.Contraint de se réfugier de nouveau en France où, suivi de sa seconde épouse et certains de ses partisans, son cousin, Louis XIV, mit à sa disposition le château de Saint-Germain-en-Laye. C’est là qu’il mourut d'une hémorragie cérébrale sans jamais être revenu dans ses anciens royaumes.
 
Par testament, Jacques II avait souhaité reposer dans la paroisse où il mourrait, sans plus de dépenses que pour un simple particulier, avec cette épitaphe « ci-gît le roi Jacques ». Mais Louis XIV ne l’entendit pas ainsi. Grâce à l’acte de décès et à l’ouvrage du révérend J.S. Clarke on connait les lieux d’inhumation des différentes parties du corps qui fut embaumé « en la manière accoutumée » :
 
-le corps fut déposé dans deux cercueils en bois et un en plomb, confié au couvent des Bénédictins anglais à Paris et placé dans l'une des chapelles latérales de la chapelle Saint-Edmund (Edmond) (actuelle salle Jacques II).
En 1793, sa sépulture fut profanée pour en récupérer le plomb d’un cercueil. Certains avancent que son corps, bien conservé, serait resté exposé au public avant d’être amené des années plus tard à Saint-Germain-en-Laye. Il me semble bien plus sérieux de concevoir que ses ossements suivirent le sort des autres, à savoir être jetés dans une fosse laquelle, pour des raisons de proximité et de commodité, serait au cimetière de l’église Saint-Jacques-du-Haut-Pas, toujours en activité à cette époque, ou, plus probablement, au  Val-de-Grâce.
 
-le cœur fut placé dans un médaillon en vermeil et   déposé au couvent des Visitandines de Chaillot auprès de celui de sa mère. De nos jours, le couvent disparu se trouverait dans le 16ème arrondissement de Paris.
Selon l’acte de décès, on y aurait aussi laissé un morceau des entrailles, du cerveau, des poumons et un peu de chair « pour la consolation des peuples tant françois qu’anglois (sic), et pour conserver en ce lieu la mémoire d’un si grand et si religieux prince. »
 
-le cerveau et la partie charnue de sa tête furent placés dans la chapelle du collège des Ecossais à Paris où le duc de Perth fit élever, à ses frais, un beau monument exécuté par Louis Garnier (1639-1728).  Tous les principaux ornements, dont l’urne de bronze doré contenant l’organe, disparurent à la Révolution.
L'exil des derniers des Stuart à Rome.
 
En deux mariages, Jacques II eut une quinzaine d’enfants auxquels s’ajoutent ceux nés de ses maîtresses, dont le maréchal de France Jacques Fitz-James, duc de Berwick.
 
-Des huit enfants de sa première épouse, Anne Hyde (1637-1671), seuls deux atteignirent l’âge adulte , Mary et Anne qui furent toutes deux reines d’Angleterre.
 
-Des sept enfants de sa seconde épouse, Marie d’Este-Modène, seuls deux atteignirent également l’âge adulte et qui vécurent l’exil familial : Jacques François Stuart et Louise Marie Stuart.
Jacques François épousa la princesse Marie-Clémentine Sobieska dont il eut deux fils : Charles Edouard Stuart, le fameux Bonnie Prince Charlie, et Henri Benoît Stuart qui reposent en la basilique Saint-Pierre de Rome comme leurs parents. Avec eux disparaissait la dynastie des Stuart.
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par Marie-Christine Pénin
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