RETOUR PERSONNALITES LIEES AUX CAROLINGIENS
CHARLES II LE CHAUVE (823 - 6 octobre 877) Roi de Italie (840-877) et Empereur d’Occident (875-877)
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Parents  
► LOUIS Ier Le Pieux
► JUDITH DE BAVIÈRE
 
Epouses  
► ERMENTRUDE D'ORLÉANS
► RICHILDE
                   
Enfants  : sur ses neufs enfants répertoriés, on retiendra
► LOUIS, futur Louis II le Bègue
Le dernier grand empereur carolingien.
Né du second lit de Louis Ier dont il était le préféré, cette faveur occasionna plusieurs années de troubles avec la fratrie du premier lit. A la mort de son père (840), il s’allia avec son demi-frère, Louis le Germanique, contre Lothaire Ier. Ce renforcement d’alliance fut prononcé lors des serments de Strasbourg (842) dits en langue romane et en langue tudesque afin d'être compris par les troupes de l'ouest comme de l'est de la Francie, marquant ainsi la rupture entre les deux peuples.
La paix revenue, le traité de Verdun (843) répartit l’empire en trois, Charles devenant roi de la Francie occidentale à l’origine du royaume de France.
 
Cultivé, sportif et courageux, malgré ses nombreux appuis, il lui fallait aussi compter avec les grands, souvent versatiles et qui ne songeaient qu’à leurs intérêts. C’est ainsi qu’il se trouva piéger dans un régime féodal instauré par Charlemagne qui aliénait des terres et ses droits à l’aristocratie de même que, les fonctions publiques étant héréditaires, des dynasties de ducs et de comtes s’érigèrent affaiblissant le pouvoir royal. Charles tenta bien d’enrayer cette décadence du pouvoir en interdisant les charges héréditaires, la construction de châteaux-forts érigés sous prétexte de résister aux invasions, en légiférant sur les relations entre seigneur et vassal. Peine perdue, chacun continua à agir à sa guise.
 
Quant à l’aristocratie ecclésiastique, elle ne songeait qu’à récupérer la totalité des biens dont elle avait été spoliée auparavant et que Charles distribuaient à des laïcs.
Dans le même temps, les invasions des Normands continuaient de plus belle, les Bretons, qui n’avaient jamais accepté la domination carolingienne, se rebellaient et Charles cherchaient des ralliements qui résistaient. Bref, le roi luttait sur tous les fronts. Il avait beau être intelligent, habile et bon guerrier, les calamités se succédaient : famines, épidémies de peste, et encore les Normands dont il tenta de se débarrasser en les dédommageant grâce à de lourdes taxes imposées à ses sujets, lesquels,  las d’être les victimes des razzias vikings, se réfugiaient dans les châteaux forts que les seigneurs faisaient construire en hauteur malgré l’interdiction royale !  
Et ses fils qui ne le ménageaient pas !
 
Malgré tous ces problèmes, Charles, lorgnait toujours sur la Lotharingie où régnait son neveu, Lothaire II. Après la mort de ce dernier, Charles en fut couronné roi (869) mais dut céder une partie du territoire à Louis le Germanique lors du traité de Meerssen  870. Comme elle le fit mille ans plus tard, la Lorraine divisait déjà la France et l’Allemagne ! Le traité accorda aussi la partie nord du royaume de Provence.  
 
En 875, à la mort de Louis le Germanique il hérita du trône impérial, ainsi que des royaumes d'Italie et de Provence. Le 25 décembre 875 à Rome, il était couronné empereur à Rome.
Il se remettait à peine d’une pleurésie quand le pape Jean VIII, menacé par les Sarrazins, l’appela à son secours. Poussé par l’espoir d’un succès qui renforcerait son prestige, Charles se dirigea vers l’Italie dont la route lui fut coupée par l’armée du fils de Louis le Germanique. Sans renforts, il fit demi-tour. Mais gravement malade, à peine passé le col du Mont-Cenis qu’il mourait à Avrieux (Savoie). On parla aussi d’empoisonnement par son médecin..
Ainsi se terminait le long règne de celui qui, malgré ses détracteurs, fut l’un des plus grands rois carolingiens. En l’associant  à Charlemagne, les auteurs de chansons de geste lui rendirent le meilleur hommage auquel il pouvait prétendre.
 
Ceux qui l’accompagnaient décidèrent de l’embaumer pour le transporter, selon sa volonté, jusque la basilique Saint-Denis. Les moyens du bord valant largement leur méconnaissance, le résultat de l’opération fut catastrophique. Très vite, du cercueil se dégagea une odeur épouvantable. Ne pouvant continuer à être porté à cause de l’infection, il fut placé dans un tonneau enduit de poix en dedans et en dehors. Mais cela ne fut pas suffisant. Aussi, le cortège fut-il à peine arrivé à Nantua, que le tonneau et son contenu auraient été inhumés dans l’abbaye bénédictine de Nantua.
Panoramio
Apparition de Charles II dans le songe d'un moine et son inhumation à Saint-Denis. (France, 15ème siècle).
Sept ans plus tard, en 884, suite au rêve d’un moine demandant la dépouille de Charles dans la basilique, il y fut transporté et inhumé dans un sarcophage en cuivre, ou de marbre rouge, derrière entre les autels du Trésor et de la Trinité.
Aux alentours de l’année 1223, un nouveau tombeau lui fut érigé et placé au milieu du chœur. Magnifique monument en bronze et émail coloré et doré représentant le roi gisant sur une plaque posée avec sur quatre lions en bonze reposant sur des colonnettes.
L’ensemble fut fondu à la Révolution. Ses ossements, trouvés dans un coffre mis dans une sorte d’auge en pierre, furent jetés dans une fosse avant d’être déposés dans l’ossuaire de la basilique en 1817.
Col. Gaignières BnF/Gallica
Ermentrude d’Orléans (825 – 6 octobre 869)
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
 
Fille d’Eudes d’Orléans, descendante de Charles Martel, elle avait épousé Charles en 842. Malheureusement, malgré les neuf enfants qu’il lui fit, dont le futur Louis II le Bègue, son époux vouait une grande passion à sa concubine, Richilde d’Ardennes. Cependant par crainte du courroux papal, Charles ne la répudia pas. Ce fut pourtant une affaire matrimoniale qui sépara le couple.
Au contraire de Charles, son neveu, Lothaire II, roi de Lotharingie, chassa la sienne. Et Charles de le soutenir dans son bras de fer avec le pape. Et Charles d’être montré du doigt par ce dernier.  Ermentrude préféra alors quitter en 867 ce mari de la mauvaise cause pour se retirer en l’abbaye de Hasnon, près de Valenciennes d’où elle suivit de loin les péripéties politiques. Elle décéda à Saint-Denis un mois après que Charles ait été sacré roi de Lotharingie. Le temps de la faire inhumer dans la nécropole royale, de ne pas la pleurer et Charles épousait Richilde.
Le gisant visible à Saint-Denis fait partie des commandes de Louis IX en 1264.
© Erwan Le Marchand
© MCP
12 mai 2014
► Richilde d’Ardennes (v. 845- 910)
Lieu inconnu
 
Aimée passionnément par Charles du vivant d’Ermentrude, il l’épousa en 870 un peu plus de trois mois après son veuvage. Et si, après l’enfer que lui avait fait vivre les fils de son premier lit, il faisait à Richilde un héritier selon son cœur ? Le roi, jusqu’alors plutôt chaste et austère, se mit à l'ouvrage mais aucun des enfants qu’elle lui donna ne survécut. Elle fut couronnée impératrice en 877.
 
Devenue veuve, la belle, tenta de profiter de la jeunesse et du décès prématuré des fils du nouveau roi, Louis le Bègue. Elle voulait reprendre le pouvoir en soutenant les opposants à son beau-fils qui ne l’aimait pas, ce qu’elle lui rendait bien.  
Et si, Boson, son frère chéri, atteignait la souveraineté ? A force de démonstrations d’affection pour son frère elle fut d’ailleurs accusée d’inceste et les seigneurs du royaume refusèrent de se soumettre à son autorité. Les deux clans s’affrontèrent jusqu’au moment où Richilde réalisa que ses intrigues pouvant se retourner contre elle et son frère, elle choisit de soutenir Louis. Puis Louis mourut deux ans seulement après son père. L’occasion était trop belle pour Richilde qui revint au pouvoir pendant les règnes des jeunes Louis III et Carloman II …qu’elle enterra. Mais son autorité étant toujours contesté et le royaume menacé par les Normands. Alors, les Grands l’obligèrent à se retirer à Vienne, auprès de son cher Boson, qu’elle avait aidé à devenir roi de Provence. Elle serait morte le 2 juin 910 sans qu’on connaisse son lieu de décès.
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TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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