Rentré au Mercure de France, il y écrivit plusieurs articles de longue haleine et acquit assez rapidement l’audience des lettrés. Bien qu’il se fît beaucoup d’ennemis par son sectarisme, il s’imposa de plus en plus par des morceaux de bravoure, comme ses différentes Eloges : sur Henri IV (1770), Fénelon (1771), Racine (1772), etc.
 
Déjà couronné huit fois par l’Académie française, il y fut reçu en 1776. Saisi d’une envie de retour au théâtre, pendant dix ans il s’évertua à faire jouer ses pièces qui, sauf Philoctète (1783), ne rencontrèrent qu’un succès d’estime.
 
En fait, La Harpe donna toute sa mesure à partir de 1786 en faisant son cours de littérature dans l’espèce d’établissement que Pilâtre de Rozier venait de fonder à Paris sous le nom de « lycée » pour l’enseignement des lettres et des sciences. Du jour au lendemain, il devint la coqueluche de la haute société parisienne ce qui ne l’empêcha pas de devenir un farouche partisan de la Révolution, se coiffant du bonnet phrygien pour déclamer en public des odes à la liberté de sa composition.
 
Néanmoins arrêté comme suspect en 1794, il prit la Révolution en horreur, fit un retour spectaculaire sur lui-même durant ses mois d'incarcération et sortit de prison tout confit de dévotion… Il se mit à fréquenter avec ostentation les églises et, dans son cours du Lycée, ne cessa d’attaquer violemment les Encyclopédistes.
Il reprit ses cours au lycée, fut proscrit au 18 fructidor, parvint à se cacher avant de revenir à Paris grâce au 18 brumaire.
En 1801, ayant conservé un petit côté frondeur, il eut l’imprudence de publier la Correspondance littéraire, recueil de lettres qu’il avait adressé de 1774 à 1791 au grand-duc Paul de Russie, futur empereur Paul Ier. Ce recueil, plein de jugements assez sévères à l’égard de ses contemporains, valut à son auteur d’être l’objet d’un scandale jusqu’à sa mort quand il fut victime de l’épidémie de grippe qui sévissait à Paris.
 
Jean-François La Harpe fut inhumé dans l'ancien cimetière  de Vaugirard dont le terrain commença à être amputé dès 1837 entraînant les premières exhumations.
Sa dépouille fut translatée au Père-Lachaise le 29 décembre 1838 où elle trouva asile, sous une simple dalle, dans l’enclos du Bosquet près de Jacques Delille. A cette occasion, M.Tissot, de l'Académie,  qui était aussi représentée par MM. Dupaty et Villemain, se fendit du discours d'hommage suivant :
 
MESSIEURS,
 
Si l’homme célèbre dont nous venons rendre les dépouille à l’éternel repos, n’avait pas reçu de la nature le don sacré du génie, il possédait d’autres qualités éminentes, amour du vrai et du beau, un goût sûr et délicat, une connaissance parfaite de notre langue, et l’art de la manier avec succès en vers et surtout en prose. Appelé par une vocation du cœur et de l’esprit à la critique littéraire, initié par un long exercice à tous les mystères de la composition, il était entré en commerce intime avec les plus grands écrivains.
 
La Harpe a souvent jugé en homme qui les connaissait tout entiers, Homère et Virgile, Démosthène et Cicéron, Aristote et Horace, Regnier et Boileau, Fénelon et Bossuet, l’austère Bourdaloue et le suave Massillon. S’il n’a pas mesuré toute la hauteur de Corneille, s’il n’a point pénétré assez avant dans le génie de l’auteur du Misanthrope, il a étudié avec amour et caractérisé avec un tact exquis notre second Molière, la Fontaine, qui nous a donné, sous le titre de Fables, tant de véritables comédies. Ce travail appartient en propre à notre Aristarque ; mais, c’est surtout à l’école de Voltaire qu’il apprit à pénétrer tous les secrets de l’art et de la langue de Racine. De même que Platon, qui ne rougit pas de composer ses ouvrages avec les discours de Socrate, la Harpe écrivit ses plus belles pages sur l’auteur d’Iphigénie, avec des souvenirs de Ferney. En lisant ces pages, on croit entendre quelquefois les paroles de Voltaire transporté d’admiration pour son maître.
 
La vie de la Harpe fut orageuse, parce que ses passions étaient vives, son caractère irascible, sa mission pleine de dangers ; en effet, on n’affronte pas impunément tous les amours-propres littéraires de son époque. La Harpe est accusé d’une sévérité excessive, et même d’injustice envers ses contemporains ; s’il n’a que trop mérité ce grave reproche, du moins n’a-t-il pu décourager personne d’avoir du génie ; au reste, lorsqu’’il n’écoute que la voix de sa raison éclairée par un examen consciencieux, il prononce des arrêts qui ne seront pas réformés par la postérité. Montesquieu, Fénelon lui-même, n’ont pas toujours eu cette sûreté de jugement.
 
La Harpe avait un ardent amour des lettres, et cette passion était si forte en lui que rien ne put l’éteindre, l’affaiblir, ou la suspendre, ni la pauvreté, ni le malheur, ni la prospérité, ni l’irrésistible influence d’une révolution qui ne souffrait guère de partage, ni les persécutions qu’elle n’épargnait pas même à ses plus ardents sectateurs. Jeté dans les fers, comme Pélisson, la Harpe cultiva, comme lui, les lettres, pendant sa captivité ; ce fut aussi dans les fers qu’il se sentit touché de religion, de même que le courageux ami de Fouquet. Heureux le nouveau converti, si la ferveur de son zèle ne l’eût pas entraîné plus d’une fois à oublier que la philosophie vient du ciel comme la religion, et que leur union intime est le vœu le plus cher des amis de l’humanité. Toutefois, son nouvel apostolat nous a valu, sur la Bible et les prophètes, de belles considérations, dans lesquelles il se montre le digne émule de Fénelon.
 
Le nom de la Harpe ne saurait jamais être effacé des annales de l’Académie française. Elle sera toujours reconnaissante des services que cet habile écrivain a rendus aux lettres en général et particulièrement à notre langue, en défendant les principes du goût par des préceptes et des exemples.
 
On relira toujours avec plaisir ses éloges de Racine, de la Fontaine, et de Fénelon, qui sont des modèles d’analyse littéraire et d’éloquence tempérée, la seule qui convînt au genre de son talent et au caractère de ses héros.
 
Le Théâtre français gardera le souvenir de Warwick, et de Philoctète surtout, dont l’auteur est souvent un heureux interprète de Sophocle.
 
La Harpe a conquis, par des travaux de toute la vie, une place à côté d’Aristote et de Quintilien. Son Cours de littérature, malgré des défauts que tout le monde connaît, restera comme un monument supérieur, dans quelques parties, à ce que les anciens ont créé de plus parfait dans la critique. Enfin, pour exprimer ici toute ma pensée sur la Harpe, ses savantes études de l’art, et le culte éclairé, religieux, n’a cessé de rendre aux grands écrivains, lui feront partager l’immortalité de leur nom. Quelle plus magnifique récompense pouvait-il espérer dans les transports de sa passion pour la gloire !
 

En revanche, on peut tenter l’explication suivante quant à sa raison de reposer dans cet enclos. En 1772, bien qu’élu à l’Académie française, le maréchal-duc de Richelieu avait fait bloquer l'élection de Delille.
Outré, La Harpe fit observer dans le Mercure de France qu'il était indigne qu'un talent aussi exceptionnel en soit réduit à dicter des thèmes latins à des écoliers. En 1774, Delille était non seulement reçu à l’Académie mais fut nommé à la chaire de poésie latine du Collège de France.
 
En accueillant La Harpe dans l’enclos, soit l'Académie française, qui en est propritaire,  n'a pas souhaité abandonner l'un des siens, soit les Delille ont ainsi marqué leur reconnaissance.
1er mars 2012
Sources principales:
- Dictionnaire encyclopédique de la littérature française. Col. Bouquins
- http://www.academie-francaise.fr/translation-des-restes-de-la-harpe-du-cimetiere-de-louest-au-cimetiere-de-lest
(*) commentaire(s)
© MCP
LA HARPE Jean-François de (1739 – 11 février 1803)
Ancien cimetière de Vaugirard puis cimetière du Père-Lachaise, 11ème division (Paris)
Le Bosquet Delille avec la tombe de La Harpe (seconde en partant de la droite) © MCP
► Ecrivain et critique littéraire français d’origine suisse
RETOUR LITTÉRATURE
Fils d’un gentilhomme suisse au service de la France, de bonne heure il crut en sa vocation de poète qui se révéla médiocre. Passant au théâtre, il écrivit Warwick (1763), tragédie qui plut à Voltaire.
Dès ce jour, il se fit l’élève de ce dernier et chercha tellement à l’imiter qu’il s’attira le surnom de « Singe de Voltaire ».
 
Affligé par le peu de succès rencontré par ses tragédies qui suivirent, Voltaire lui conseilla de se consacrer à la critique littéraire.
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par Marie-Christine Pénin
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