RETOUR  SECONDE GUERRE MONDIALE
Wolf Wajsbrot (Juif Polonais)  (1925 – 21 février 1944) Apprenti mécanicien.
Sur l’Affiche rouge
© MCP
Stanislas Kubacki (Polonais)  (1908 – 21 février 1944) Bûcheron
Roger Rouxel (Français)  (1925 – 21 février 1944) Tourneur
Marcel Rayman/Rajman (juif Polonais) ( 1923 – 21 février 1944)
Sur l’Affiche rouge
10 mars 2014
► Résistant, membre des FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans – main-d'œuvre immigrée)
Une des dernières photos du groupe à la prison de Fresnes avant l'exécution. Cette photo servit pour les portraits de "l'Affiche rouge". Coll. Bundesarchiv-Koblenz
Après avoir refusé qu’on leur bande les yeux, le groupe fut fusillé au Mont-Valérien le 21 février 1944, sauf Olga Bancic qui fut guillotinée à la prison de Stuttgart trois mois plus tard.
Transféré au cimetière ancien de Nanterre (Hauts-de-Seine) le 10/11 novembre 1944.  Inhumé avec deux de ses cousins, Nerone Fontano (1921-1943) et Jacques Fontano (1926-1944), également assassinés par les Allemands.
Amedeo Usseglio Polatera (Italien) (1911 – 21 février 1944) Terrassier carrier
Maurice Fingercweig (juif Polonais) (1923 - 21 février 1944)
Sur l’Affiche rouge
Antoine Salvadori (Italien) (1920 – 21 février 1944) Plongeur
Salomon Wolf Schapira (Schapiro) , dit Willy (Juif Polonais) (1910 – 21 février 1944) Ouvrier fourreur
MANOUCHIAN Missak (1906 – 21 février 1944) et les membres de l'affiche rouge
Cimetière parisien d’Ivry, 39ème division (Val-de-Marne) puis le Panthéon, caveau XIII (Paris)
© MCP
Le procès expéditif du groupe fut entouré d’une propagande inouïe. La presse fut invitée : une trentaine de journaux français et étrangers étaient représentés. Les services de la propagande allemande envoyèrent une équipe cinématographique. Quatre jours de grand spectacle devant un tribunal militaire allemand, réuni à l'hôtel Continental à partir du 17 février 1944. En réalité, le procès ne compta qu’une seule audience, dans la matinée du samedi 19 février 1944. Un autre accusé, Migratulski, fut transféré devant une juridiction française.
© MCP
Cesare Luccarini (Italien) (1922 – 21 février 1944)
(*) commentaire(s)
Merci à Nicolas Badin pour ces deux photos
© MCP
Olga Bancic (Juive Roumaine) (1912 - 10 mai 1944)
Posant pour des sculpteurs, écrivant des poèmes, il fonda deux revues littéraires, « Tchank » (Effort) puis « Machagouyt » (Culture), traitant de la littérature française et arménienne, il fréquentait les "universités ouvrières" créées par les syndicats ouvriers. En 1934, il adhéra au Parti communiste et intégra le groupe arménien de la "MOI" (Main-d'Oeuvre Immigrée).
Après la défaite de 1940, il redevint ouvrier puis responsable de la section arménienne de la MOI clandestine.
 
En 1943, il fut versé dans les FTP (Francs-Tireurs et Partisans) de la "MOI" parisienne dont il prit la direction militaire en août, sous le commandement de Joseph Epstein. Son réseau se composait de 22 hommes et d’une femme.
Ils avaient fui le fascisme à Budapest, le génocide en Arménie, la guerre et les franquistes en Espagne. En France, ils étaient devenus comme les autres, amoureux, artistes, étudiants, pères de famille. Parce qu’ils étaient étrangers, et Juifs pour beaucoup, donc directement visés par le régime de Vichy, les FTP-MOI comptèrent parmi les réseaux les plus actifs de la résistance.
Depuis fin 1942, ces hommes menaient dans Paris une guérilla incessante contre les Allemands : ils ont réalisé en moyenne une opération armée tous les deux jours: attentats, sabotages, déraillements de trains, pose de bombes. Leur grand coup d'éclat eut lieu le 28 septembre 1943 lorsqu'ils abattirent Julius Ritter, responsable du S.T.O. en France et général S.S.
 
La fin
 
Le 16 novembre 1943 Missak devait rencontrer Joseph Epstein, chef des FTP de la région parisienne,  sur les berges de la Seine à Evry. Missak ignorait qu’il était suivi déjà depuis quatre mois et que ce matin là, la Brigade spéciale lui emboitait le pas à la sortie de son domicile. Après une vaine tentative de fuite, il fut arrêté avec Epstein.  Il était 10 heures. En fait, ce jour-là et les jours suivants,  toutes les unités combattantes de la "MOI" parisienne furent démantelées sans qu’on sache  s’il s’agissait d'un travail de police bien mené ou d'une dénonciation, même si cette version emporte davantage les suffrages des historiens et qui a été retenue dans le film, L’Armée du crime, de Robert Guédigian (2009).
 
Un chef arménien, huit Polonais, cinq Italiens, trois Hongrois, deux Arméniens, un Espagnol, une Roumaine et trois Français seulement ; neuf sont juifs et tous sont communistes ou proches du P.C. Les Allemands n’allaient pas rater une si belle occasion de « faire savoir à l’opinion française à quel point leur patrie était en danger » à cause des étrangers.
 
C’est ainsi que naquit la fameuse « Affiche rouge » placardée dans Paris et sur laquelle apparaissent dix visages aux traits titrés, marqués par les séances de torture véhiculant la représentation de la Résistance selon les nazis et Vichy : ces hommes ne sont pas des libérateurs mais des criminels, des terroristes.
 
Les concepteurs de l’affiche ont réalisé une composition faite pour marquer les esprits. Le choix de la couleur : le rouge, couleur de sang: le sang des meurtres perpétrés par « l’armée du crime » ; des preuves illustrées de leurs crimes en photos : un arsenal d’armes – des déraillements de trains – des corps criblés de balles. Sauf  Robert Witchitz, que les Allemands prirent pour un juif, ce qu'il n'était pas, les Français du groupe, George Cloarec et Roger Rouxel  n’y figurent pas. Que des noms à consonance étrangère, juifs, communistes pour un complot « Judéo-bolcheviques-apatrides » contre la France et les Français.
Transféré au cimetière de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) le 22 février 1951
Illustration à venir
Tombe de Missak Manouchian  et de son épouse, Mélinée © MCP
Monument à la mémoire de Missak Manouchian et des fusillés de son groupe qui reposent auprès de lui © MCP
Les Allemands le prenant pour un Juif, ce qu’il n’était pas, il apparait sur l’Affiche rouge.
Depuis son incarcération, ses parents demandaient à le voir ce qui leur fut refusé. L'autorisation leur fut accordée alors que leur fils venait d'être exécuté...
Conformément au désir de sa mère, il fut transféré dans le caveau de la famille le 20 octobre 1944.
La femme de Missak, également résitante, fut  inhumée avec lui.
Avant d'être exécuté Missak lui adressa une lettre qui inspirera le dernier vers du poème de Louis Aragon, "L'affiche rouge" :
"21 février 1944
Ma chère Méline,
Ma petite orpheline bien-aimée,
Dans quelques heures je ne serai plus de ce monde....Je m'étais engagé dans l'armée de la libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et du but...... Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité, après la guerre qui ne durera plus longtemps....J'ai un regret profond de ne pas t'avoir rendue heureuse. J'aurais bien voulu avoir un enfant de toi, comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre, sans faute, d'avoir un enfant pour accomplir ma dernière volonté.... Je mourrai tout à l'heure avec mes vingt-trois camarades, avec le courage et la sérénité d'un homme qui a la conscience bien tranquille...."
© MCP
© MCP
Robert Witchitz (1924 – 21 février 1944) Télégraphiste
Sur l'Affiche rouge
Transféré au cimetière parisien de Pantin, 29ème division (Seine-Saint-Denis) le 6 juillet 1949
Illustration à venir
Transféré au cimetière de Pont-à-Vendin (Pas-de-Calais) le 13 décembre 1944
Illustration à venir
© MCP
© MCP
Transféré au cimetière du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) le 6 septembre 1946 et inhumé dans le carré militaire.
Illustration à venir
Jonas Geduldig, dit Michel Martinuk (juif Polonais)  (1918 – 21 février 1944) Mécanicien
Arpen Lavitian /Tavitian (Arben Abramovitch Dav'Tian) (Arménien) (1898 – 21 février 1944) Serrurier
Transféré au cimetière du Père Lachaise, 97ème division (Paris) le 28 février 1944
Szalma Grzywacz (juif Polonais) (1910 – 21 février 1944) Cordonnier.
Sur l’Affiche rouge.
Léon Goldberg (juif Polonais) ( 1924 – 21 février 1944)
Emeric Glasz (juif Hongrois) (1902 – 21 février 1944) Ajusteur
Spartaco Mario Fontano (Italien)  (1922 – 21 février 1944) Tourneur. Sur l’Affiche rouge
© MCP
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© MCP
Exécution du groupe au Mont-Valérien. Ce cliché a été authentifié par la Direction de la mémoire du patrimoine des archives du ministère de la Défense (AFP)
Olga mourut guillotinée à la prison de Stuttgart trois mois plus tard.
© MCP
© MCP
Né dans une famille de paysans arméniens, Missak avait huit ans lorsque son père fut tué par des militaires turcs au cours d'un massacre. Sa mère mourut de maladie aggravée par la famine qui frappait la population arménienne. Les atrocités du génocide le marquèrent pour la vie.
 
Il était âgé de 19 ans quand, avec son frère Karabet,  il arriva à Marseille puis à Paris où il se fit embaucher comme tourneur chez Citroën pour subvenir à ses besoins et à ceux de son frère malade qui décéda en 1927. La grande crise économique le mit au chômage.
© MCP
Monument en hommage aux FTP-MOI de "l'Affiche rouge", érigé à l'endroit où furent arrêtés Manouchian et Epstein.
Collection ONAC 78
© MCP
Thomas Elek (juif Hongrois) (1924 – 21 février 1944) Etudiant.
Sur l’Affiche rouge
Transféré au cimetière d’Argenteuil (Val-d'Oise) le 4 novembre 1944
Illustration à venir
Rino Primo Della Negra (Italien)  (1923 – 21 février 1944) Ouvrier
Transféré au cimetière de  Nonancourt (Eure) le 12 janvier 1945
Illustration à venir
Georges Cloarec (Français) (1923 – 21 février 1944) Manœuvre
Joseph Boczov (Juif Hongrois)  (1905 – 21 février 1944) Sur l’Affiche rouge
Mélinée Manouchian (1913 – 6 décembre 1989 (sur la tombe, il est indiqué 1990 !)
Les vingt-deux autres comdamnés outre Manouchian
Celestino Alfonso (Espagnol)  (1916 – 21 février 1944)
Sur l’Affiche rouge
Transféré au cimetière communal d'Ivry (Val-de-Marne) le 13 mars 1945
Illustration à venir
Leurs corps furent déposés dans des fosses individuelles creusées à la hâte (division 40) au cimetière parisien d'Ivry.  Par la suite, neuf corps furent repris par les familles pour reposer ailleurs. Sur les treize encore présents, onze sont répartis à droite et à gauche du monument à leur mémoire. Pour une raison inconnue Schapira repose un peu plus loin. Quant à Witchitz, il repose dans un caveau familial.
 
Le 21 février 2024, Missak Manouchian et son épouse Mélinée ont fait leur entrée au Panthéon.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
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au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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